Place de la vaccination Gardasil® -Cervarix® dans la prévention du cancer du col de l'utérus PDF Download
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Author: Florence Bonhomme
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 310
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Book Description
Avec près de 500 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année dans le monde et 270 000 décès, le cancer du col de l'utérus est un véritable problème de santé publique. Il représente la deuxième cause de cancer chez la femme dans le monde. Avec 3 387 nouveaux cas estimés au cours de l'année 2000 et environ 900 décès par an, il reste en France le troisième cancer de la femme jeune. L'histoire naturelle de ce cancer est de nos jours bien connue. Le rôle étiologique des infections à certains papillomavirus humains (HPV-16 et 18) a été mis en évidence dans 70% des cancers du col utérin. Cette association entre infection HPV et cancer du col a été la base du développement des vaccins prophylactiques Gardasil® et Cervarix®. Les essais cliniques ont démontré une prévention de 70% à 82% des cas de cancers du col utérin associés aux types viraux du vaccin, dans la population per protocole. Les autorités Françaises ont recommandé une vaccination en trois doses, des jeunes filles de 14 ans et celles de 15 à 24 ans n'ayant jamais eu de rapports sexuels, ou au plus tard dans l'année suivant leur premier rapport. L'arrivée de cette vaccination suscite un espoir majeur pour la santé des femmes et devrait permettre de faire un nouveau grand pas dans la prévention. La vaccination constitue un complément au dépistage par frottis cervico-utérin dans la prévention du cancer du col. Mais, à ce jour des interrogations persistent pour positionner la vaccination dans la stratégie de prévention : population cible, effets indésirables à long terme, accessibilité du vaccin, impact sur l'incidence des cancers du col utérin, effet de la vaccination sur le comportement des jeunes filles vaccinées vis-à-vis du dépistage...
Author: Florence Bonhomme
Publisher:
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Languages : fr
Pages : 310
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Book Description
Avec près de 500 000 nouveaux cas diagnostiqués chaque année dans le monde et 270 000 décès, le cancer du col de l'utérus est un véritable problème de santé publique. Il représente la deuxième cause de cancer chez la femme dans le monde. Avec 3 387 nouveaux cas estimés au cours de l'année 2000 et environ 900 décès par an, il reste en France le troisième cancer de la femme jeune. L'histoire naturelle de ce cancer est de nos jours bien connue. Le rôle étiologique des infections à certains papillomavirus humains (HPV-16 et 18) a été mis en évidence dans 70% des cancers du col utérin. Cette association entre infection HPV et cancer du col a été la base du développement des vaccins prophylactiques Gardasil® et Cervarix®. Les essais cliniques ont démontré une prévention de 70% à 82% des cas de cancers du col utérin associés aux types viraux du vaccin, dans la population per protocole. Les autorités Françaises ont recommandé une vaccination en trois doses, des jeunes filles de 14 ans et celles de 15 à 24 ans n'ayant jamais eu de rapports sexuels, ou au plus tard dans l'année suivant leur premier rapport. L'arrivée de cette vaccination suscite un espoir majeur pour la santé des femmes et devrait permettre de faire un nouveau grand pas dans la prévention. La vaccination constitue un complément au dépistage par frottis cervico-utérin dans la prévention du cancer du col. Mais, à ce jour des interrogations persistent pour positionner la vaccination dans la stratégie de prévention : population cible, effets indésirables à long terme, accessibilité du vaccin, impact sur l'incidence des cancers du col utérin, effet de la vaccination sur le comportement des jeunes filles vaccinées vis-à-vis du dépistage...
Author: Adeline Delecourt
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Category :
Languages : fr
Pages : 184
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Book Description
Certains cancers sont associés ou causés par des virus, c’est le cas du papillomavirus pour le cancer du col de l’utérus. Parmi les 120 types de papillomavirus connus, deux types sont particulièrement impliqués dans le développement de lésions pré-cancéreuses et de cancers, ce sont les types 16 et 18 responsables de prés de 70% des cancers du col de l’utérus. C’est une infection sexuellement transmissible fréquemment rencontrée au début de l’activité sexuelle qui est généralement éliminée naturellement par les défenses immunitaires du sujet. Cependant, la persistance de l’infection est un facteur majeur d’évolution vers une forme maligne des lésions. Des méthodes de prévention existent, notamment le dépistage par frottis mais aussi la vaccination introduite plus récemment. Deux vaccins sont disponibles, le Gardasil® et le Cervarix®, ils sont composés de pseudo particules virales qui vont mimer la structure de la capside du virus. La réponse immunitaire engendrée par l’injection de ce vaccin va permettre d’éliminer le virus lors d’une infection future et ainsi de prévenir certaines pathologies de la sphère ano-génitale
Author: Céline Adriansen
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Languages : fr
Pages : 248
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Book Description
Les papillomavirus humains (HPV) infectent la peau et les muqueuses. Certains génotypes dits à haut risque (en particulier les types 16 et 18) sont impliqués dans le développement du cancer du col de l’utérus, l’un des cancers les plus fréquents chez la femme jeune. La majorité des infections à HPV guérissent spontanément, mais 10 à 15 % des infections dues aux papillomavirus à haut risque persistent et sont responsables de lésions précancéreuses et du cancer du col de l’utérus. La mise sur le marché de deux vaccins préventifs anti-HPV permet d’envisager l’éradication de ce cancer : - un premier vaccin HPV quadrivalent, GARDASIL®, indiqué dans la prévention des néoplasies intraépithéliales cervicales, vulvaires et vaginales, du cancer du col de l’utérus et verrues génitales associés aux types d’HPV 6, 11, 16 et 18 - un deuxième vaccin HPV bivalent, CERVARIX®, indiqué dans la prévention des néoplasies cervicales intraépithéliales et des cancers du col de l’utérus associés aux types d’HPV 16 et 18. La vaccination apparaît comme un moyen de prévention primaire très prometteur chez les jeunes filles non infectées. Cependant le dépistage par frottis cervico-utérin reste indispensable en prévention secondaire. Certaines questions restent en suspens : efficacité du vaccin après plusieurs années, nécessité de rappels, innocuité à long terme... .
Author: Justine Gourdin
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Languages : fr
Pages : 0
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Book Description
Les papillomavirus humains (HPV) peuvent être responsables de la formation de lésions cancéreuses au niveau du col de l'utérus. Le cancer du col de l'utérus est le 4ème cancer le plus fréquent chez la femme dans le monde. Le frottis cervico-utérin est le meilleur outil de dépistage du cancer du col utérin. Il permet de détecter les modifications précancéreuses et de réduire l'incidence et la mortalité. Trois vaccins sont actuellement commercialisés dont deux depuis 12 ans. En France, la couverture vaccinale des vaccins anti-HPV reste basse, cela est principalement dû à la mauvaise opinion des français sur les vaccins de manière générale. La mise en place de programme de vaccination et de dépistage notamment au Royaume-Uni a permis d'obtenir des résultats de vraies vies sur l'efficacité et la tolérance des vaccins. Chez l'homme, l'infection à HPV est très fréquente aussi. Deux vaccins disposent d'une AMM pour les lésions anales, le cancer anal et les verrues génitales.
Author: Peter L. Stern
Publisher: Oxford University Press, USA
ISBN: 0199543453
Category : Medical
Languages : en
Pages : 171
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Book Description
Cervical cancer is the second most common form of cancer found in women, and it is responsible for more than a quarter of a million deaths worldwide each year. With approximately 70% of cervical cancers now known to be caused by two types of the human pailloma virus (HPV), there is great interest surrounding the approval of the first preventative vaccines for clinical use. Despite this excitement, many questions remain about how the new vaccines should best be implemented and how cervical cnancer screening will change following vaccination. Part of the Oxford Oncology Library series, this practical handbook provides an overview of the role of HPV in the pathology of cervical cancer and its current screening and management, the principles of immune control of HPV infection in cervical cancer, and the challenges of implementing HPV vaccines and future developments.
Author: Charlène Dufresne
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Category :
Languages : fr
Pages : 106
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Book Description
La 4e de couverture indique : La prévention vaccinale contre le cancer du col de l'utérus existe depuis 2006 en France avec deux vaccins : Gardasil® et Cervarix®. Cette vaccination est recommandée chez les jeunes filles de Il â 14 ans et la couverture vaccinale au 31 décembre 2015 n'est que de 13,7%. Cette étude s'est intéressée aux causes de ce si faible taux en se demandant si l'information qui avait été délivrée aux parents des jeunes filles ciblées par cette prévention leur apportait les connaissances suffisantes pour faire un choix éclairé. Une étude quantitative et descriptive a donc été réalisée chez les parents des 5Cn dans 3 collèges d'indre-et-Loire. Elle a montré que les connaissances des parents d'élèves sur le cancer du col de l'utérus et la vaccination étaient suffisantes mais que l'indécision face à ces vaccins était causée par un manque d'information et de recul, notamment sur les effets indésirables. De plus, cette enquête a mis en évidence l'importance du médecin généraliste dans l'information et l'adhésion des usagers.
Author: Clémence Boulnois
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ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 82
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Book Description
Le cancer du col de l'utérus est actuellement le onzième cancer en termes d'incidence en France. Grâce à des méthodes de prévention efficaces, le cancer du col de l'utérus est en constante diminution. Cependant, on compte aujourd'hui encore 1100 décès par an en France dus à ce cancer. Dans 100% des cas, le cancer du col de l'utérus est associé à une infection persistante par un papillomavirus humain (HPV) à tropisme génital. Les HPV sont de petits virus nus, et possèdent une grande résistance en milieu extérieur. En conséquence, la transmission est très importante, que ce soit par contamination directe ou indirecte. On distingue les HPV à bas risque oncogène des HPV à haut risque oncogène, parmi lesquels on retrouve les HPV 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58. Ces HPV sont responsables de lésions cancéreuses du col de l'utérus, de la vulve, du vagin, du pénis et de l'anus. Un moyen de prévention existe: la vaccination anti-HPV. Deux vaccins sont actuellement commercialisés : un vaccin bivalent (Cervarix®), qui agit contre les HPV 16 et 18, et un vaccin quadrivalent (Gardasil®) qui agit contre les HPV 6, 11, 16 et 18. Les I-IPV 6 et 11 ciblent les condylomes. L'efficacité de ces vaccins en termes de diminution des lésions pré cancéreuses a été démontrée, ce qui permet d'espérer qu'ils contribueront à la diminution de l'incidence du cancer du col de l'utérus. Cependant, on constate une faible acceptation de la vaccination: en 2015, seules 13,7% des jeunes filles étaient vaccinées. D'autre part, on sait que d'autres types de HPV peuvent provoquer des lésions cancéreuses. C'est dans ce contexte qu'un nouveau vaccin, le Gardasil 9®, a obtenu son autorisation de mise sur le marché (AMM) en mars 2015. Sa commercialisation était prévue pour l'automne 2017 en France. Le Gardasil 9® comporte les mêmes HPV que le Gardasil®, auxquels s'ajoutent les HPV 31, 33, 45, 52 et 58. Ce vaccin devrait ainsi élargir le spectre de protection par rapport aux vaccins déjà existants. Les études réalisées vont dans ce sens : l'efficacité du Gardasil 9® est au moins équivalente à celle de Gardasil®, en termes de prévention des maladies et lésions dues aux HPV 6, 11, 16 et 18, et les études sur l'immunogénicité du vaccin permettent de se projeter sur son efficacité face aux lésions et maladies dues aux HPV 31, 33, 45, 52 et 58. Seul un recul de quelques dizaines d'années pourra permettre l'observation d'une éventuelle baisse de l'incidence du cancer du col de l'utérus et ainsi de conclure de manière certaine à l'efficacité et la sécurité du vaccin nonavalent Gardasil 9 ®.
Author: Marina Bert
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Languages : fr
Pages : 282
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Book Description
L’infection à papillomavirus est la plus fréquente des infections sexuellement transmissibles pouvant conduire chez la femme à l’apparition d’un cancer du col de l’utérus. En France en 2012, le nombre de nouveaux cas de cancer du col de l’utérus est estimé à 3028 et le nombre de décès par cancer du col de l’utérus est estimé à 1 102 en faisant le deuxième cancer le plus fréquent chez la femme après le cancer du sein. Le dépistage du cancer du col de l’utérus est un acte primordial du combat contre l’infection à papillomavirus qui repose sur un test cytologique: le frottis cervico-utérin. De plus, l’arrivée sur le marché des vaccins Gardasil® puis Cervarix® en 2007 a fait de la prévention du cancer du col utérin une des priorités médicales internationales. Si la mise sur le marché des ces vaccins a été suivie d’une adhésion massive à la vaccination de la jeune population féminine, cet engouement semble malheureusement s’essouffler. Sans doute pour partie parce que l’introduction d’un nouveau vaccin soulève invariablement de nombreuses questions et semble être à l’origine d’effets secondaires chez les patients vaccinés bien qu’aucune relation cause/effet ne soit mise en évidence. Le pharmacien d’officine qui est un interlocuteur privilégié, facilement accessible, est un maillon incontournable dans la politique de prévention vaccinale.
Author: Keith Wailoo
Publisher: JHU Press
ISBN: 0801899591
Category : Medical
Languages : en
Pages : 352
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Book Description
In 2007, Texas governor Rick Perry issued an executive order requiring that all females entering sixth grade be vaccinated against the human papillomavirus (HPV), igniting national debate that echoed arguments heard across the globe over public policy, sexual health, and the politics of vaccination. Three Shots at Prevention explores the contentious disputes surrounding the controversial vaccine intended to protect against HPV, the most common sexually transmitted infection. When the HPV vaccine first came to the market in 2006, religious conservatives decried the government's approval of the vaccine as implicitly sanctioning teen sex and encouraging promiscuity while advocates applauded its potential to prevent 4,000 cervical cancer deaths in the United States each year. Families worried that laws requiring vaccination reached too far into their private lives. Public health officials wrestled with concerns over whether the drug was too new to be required and whether opposition to it could endanger support for other, widely accepted vaccinations. Many people questioned the aggressive marketing campaigns of the vaccine's creator, Merck & Co. And, since HPV causes cancers of the cervix, vulva, vagina, penis, and anus, why was the vaccine recommended only for females? What did this reveal about gender and sexual politics in the United States? With hundreds of thousands of HPV-related cancer deaths worldwide, how did similar national debates in Europe and the developing world shape the global possibilities of cancer prevention? This volume provides insight into the deep moral, ethical, and scientific questions that must be addressed when sexual and social politics confront public health initiatives in the United States and around the world.
Author: Sophie Isautier
Publisher:
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Languages : fr
Pages : 0
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Book Description
Le cancer du col de l'utérus se situe au deuxième rang des cancers chez la femme en terme d'incidence, faisant dans le Monde environ 250 000 morts. En France métropolitaine, le dépistage par frottis cervico-utérin a permis de faire reculer ce cancer au 10ème rang en terme d'incidence. En revanche, à la Réunion la situation est différente. Le cancer du col est le deuxième cancer de la femme et ce malgré un net recul grâce au dépistage par frottis. Cette situation particulière s'explique en partie par les réticences de la population à se faire dépister. Les différences ethniques et culturelles face à la maladie et à la mort, l'accès aux soins moins facile, le niveau de vie moins élevé semblent être des raisons à cette différence entre l'île et la métropole. Le dépistage a des limites. Il n'est pas organisé en France et toutes les femmes n'y ont pas recours. Ainsi, en 2007 l'apparition sur le marché des vaccins antipapillomavirus apparaissait comme une alternative intéressante pour palier les lacunes de la prévention secondaire. Ces vaccins, ciblant les deux souches les plus fréquentes de papillomavirus oncogènes (HPV 16 et 18), permettraient de protéger contre 70 % des cas de cancers du col. Depuis leur mise sur le marché, de nombreuses questions ont été soulevées quant à leur efficacité réelle, leur innocuité et leur place dans la prévention du cancer du col. Même si les conséquences de cette vaccination ne seront connues que dans plusieurs années, celle-ci semble avoir un rôle important à jouer en association avec le dépistage, permettant ainsi de réduire encore la prévalence de ce cancer.
