Contribution à l'étude de l'influence des parois sur la cinétique des réactions en phase gazeuse : la combustion du cyanogène en présence de silice

Contribution à l'étude de l'influence des parois sur la cinétique des réactions en phase gazeuse : la combustion du cyanogène en présence de silice PDF Author: Jacqueline Gallard Hasid
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Languages : fr
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Contribution à l'étude cinétique des réactions de combustion et d'inflammation, vitesse de propagation des flammes, par A. Van Tiggelen

Contribution à l'étude cinétique des réactions de combustion et d'inflammation, vitesse de propagation des flammes, par A. Van Tiggelen PDF Author: Adolphe Van Tiggelen
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Languages : fr
Pages : 27

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Cinétique et mécanisme des réactions d'inflammation et de combustion en phase gazeuse

Cinétique et mécanisme des réactions d'inflammation et de combustion en phase gazeuse PDF Author: Centre national de la recherche scientifique (France)
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Category : Combustion
Languages : fr
Pages : 272

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Contribution à l'étude cinétique des réactions de combustion et d'inflammation

Contribution à l'étude cinétique des réactions de combustion et d'inflammation PDF Author: A. van Tiggelen
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Languages : fr
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Contribution à l'étude cinétique de la réaction lente d'oxydation du benzène en phase gazeuse

Contribution à l'étude cinétique de la réaction lente d'oxydation du benzène en phase gazeuse PDF Author: Marie-Odile Delcourt
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Languages : fr
Pages : 172

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Réactions de déshydratation des sels. Influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique

Réactions de déshydratation des sels. Influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique PDF Author: Gérard Thomas
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Languages : fr
Pages : 117

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Nous avons voulu aborder de façon systématique le problème de l'influence de l'atmosphère gazeuse sur la vitesse d'une réaction de décomposition d'un solide. Pour cela, nous avons choisi d'étudier des systèmes univariants dont l'évolution était bien déterminée : Nous nous sommes placés dans le cas très fréquent où une interface plan séparant l'ancienne phase de la nouvelle se propage à vitesse constante vers l'intérieur du cristal. Cette constante d'avancement interfacial est une fonction de la pression du gaz émis par la réaction. Afin de préciser de quelle manière cette influence se fait sentir, nous avons été amené à imaginer des mécanismes mettant en jeu des processus connus : Réaction d'interface, adsorption, changement de phase, ..., mais qui n'avaient jamais été clairement juxtaposés. Aux systèmes envisagés, nous avons appliqué un traitement quasi-chimique qui a rendu relativement aisée l'écriture des réactions : Les solides étudiés ont été identifiés à un ensemble d'éléments structuraux, fonction de la nature des liaisons à l'intérieur du cristal. L'expression de la vitesse v de la réaction en fonction de la pression PG du gaz - pur ou appartenant à un mélange binaire - émis par la réaction a pu être donnée dans le cas de chaque régime pur. Ainsi, outre le type de courbe v(P) monotone décroissante pour laquelle existait une justification théorique, et que nous avons retrouvé dans de nombreux cas purs, nous avons mis en évidence la possibilité d'obtenir une courbe v(P) présentant un maximum. Ceci est l'indice d'une véritable catalyse par la phase gazeuse, alors que jusqu'à présent, seuls les solides étaient considérés comme catalyseurs. Des exemples expérimentaux de chaque type de courbe corroborent nos modèles réactionnels. Une grande partie des hypothèses nécessaires à leur élaboration semble vérifiable par l'expérience ; ainsi avons-nous pu mettre en évidence que le sulfate de lithium monohydraté, tout comme le borax, était le siège de réaction unique dans la gamme de pression et de température considérées ; une substance présentait une courbe v(P) monotone décroissante, l'autre une courbe à maximum. Il est également apparu sur un exemple concret - celui du chlorure de baryum dihydraté - que les conditions thermodynamiques d'apparition des phases nouvelles sont prépondérantes dans l'étude d'une courbe v(P). Aussi, pour chaque réaction étudiée. avons-nous soigneusement envisagé chacun des aspects structuraux, thermiques et massiques. Nous avons par ailleurs souligné l'influence, sur la vitesse de réaction, de la nature et de la pression partielle de gaz supposés chimiquement inertes, pour une pression partielle constante du gaz émis. De tels résultats peuvent s'interpréter en admettant une adsorption concurrente du gaz inerte et du gaz émis sur les sites de l'interface solide-gaz. En définitive, nous avons montré de façon quantitative l'importante influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique d'une réaction de décomposition mettant en jeu des constituants formant un système univariant.

Contribution à l'étude des processus d'initiation hétérogène des réactions en chaînes en phase gazeuse

Contribution à l'étude des processus d'initiation hétérogène des réactions en chaînes en phase gazeuse PDF Author: Chantal Marteau
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Languages : fr
Pages : 118

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Réactions de déshydratation des sels. Influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique

Réactions de déshydratation des sels. Influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique PDF Author: Gérard Thomas (auteur en génie des procédés).)
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Languages : fr
Pages : 0

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Nous avons voulu aborder de façon systématique le problème de l'influence de l'atmosphère gazeuse sur la vitesse d'une réaction de décomposition d'un solide. Pour cela, nous avons choisi d'étudier des systèmes univariants dont l'évolution était bien déterminée : Nous nous sommes placés dans le cas très fréquent où une interface plan séparant l'ancienne phase de la nouvelle se propage à vitesse constante vers l'intérieur du cristal. Cette constante d'avancement interfacial est une fonction de la pression du gaz émis par la réaction. Afin de préciser de quelle manière cette influence se fait sentir, nous avons été amené à imaginer des mécanismes mettant en jeu des processus connus : Réaction d'interface, adsorption, changement de phase, ..., mais qui n'avaient jamais été clairement juxtaposés. Aux systèmes envisagés, nous avons appliqué un traitement quasi-chimique qui a rendu relativement aisée l'écriture des réactions : Les solides étudiés ont été identifiés à un ensemble d'éléments structuraux, fonction de la nature des liaisons à l'intérieur du cristal. L'expression de la vitesse v de la réaction en fonction de la pression PG du gaz - pur ou appartenant à un mélange binaire - émis par la réaction a pu être donnée dans le cas de chaque régime pur. Ainsi, outre le type de courbe v(P) monotone décroissante pour laquelle existait une justification théorique, et que nous avons retrouvé dans de nombreux cas purs, nous avons mis en évidence la possibilité d'obtenir une courbe v(P) présentant un maximum. Ceci est l'indice d'une véritable catalyse par la phase gazeuse, alors que jusqu'à présent, seuls les solides étaient considérés comme catalyseurs. Des exemples expérimentaux de chaque type de courbe corroborent nos modèles réactionnels. Une grande partie des hypothèses nécessaires à leur élaboration semble vérifiable par l'expérience ; ainsi avons-nous pu mettre en évidence que le sulfate de lithium monohydraté, tout comme le borax, était le siège de réaction unique dans la gamme de pression et de température considérées ; une substance présentait une courbe v(P) monotone décroissante, l'autre une courbe à maximum. Il est également apparu sur un exemple concret - celui du chlorure de baryum dihydraté - que les conditions thermodynamiques d'apparition des phases nouvelles sont prépondérantes dans l'étude d'une courbe v(P). Aussi, pour chaque réaction étudiée. avons-nous soigneusement envisagé chacun des aspects structuraux, thermiques et massiques. Nous avons par ailleurs souligné l'influence, sur la vitesse de réaction, de la nature et de la pression partielle de gaz supposés chimiquement inertes, pour une pression partielle constante du gaz émis. De tels résultats peuvent s'interpréter en admettant une adsorption concurrente du gaz inerte et du gaz émis sur les sites de l'interface solide-gaz. En définitive, nous avons montré de façon quantitative l'importante influence de l'atmosphère gazeuse sur la cinétique d'une réaction de décomposition mettant en jeu des constituants formant un système univariant.

Contribution à l'étude de l'influence de la porosité sur la vitesse d'oxydation du carbone

Contribution à l'étude de l'influence de la porosité sur la vitesse d'oxydation du carbone PDF Author: Joseph Serpinet
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Languages : fr
Pages : 70

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"L'exposé de notre travail comprendra trois parties : 1) la description des expériences que nous avons réalisées dans le même esprit que nos prédécesseurs, c'eat-à-dire en mesurant la vitesse de combustion en fonction de la surface B.E.T. d'échantillons de graphite de nouveaux types. Nous y ajouterons les mesures que nous avons été amenés à faire à cette occasion de différentes grandeurs cinétiques : vitesse absolue de réaction, énergie d'activation d'Arrhenius, concentration des divers oxydes gazeux dans les produits de la réaction. 2) Une étude théorique et expérimentale de la possibilité de limitation de la vitesse de réaction, par la lenteur de la diffusion de l'oxygène dans les pores du graphite. Ceci nous a conduit d'une part à rejet l'hypothèse d'une intervention de la diffusion de l'oxygène et d'autre part à rattacher nos résultats expérimentaux à la théorie de Thiele-Wheeler sur les réactions chimiques dans les pores des catalyseurs. 3) L'exposé des solutions que nous suggérons à notre tour pour remplacer cette "hypothèse de la porosité" et expliquer le fait que dans les expériences de Magrone, comme dans les nôtres, la vitesse d'oxydation n'est presque jamais proportionnelle à la surface B.E.T. tout au long de la combustion d'un même échantillon de graphite."