Place de l'anesthésie loco-régionale de la main aux urgences PDF Download
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Author: Nicolas Bryon
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Languages : fr
Pages : 144
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Book Description
Author: Rémy Artz
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 0
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Book Description
Introduction : les recommandations pour l'anesthésie loco-régionale aux urgences datent de 2002, et se sont suivi d'un intérêt pour son développement et sa formation, avec un net contraste dans sa pratique dans les services d'urgence où elle reste peu fréquente. Nous cherchons dans cette étude à montrer la demande et le manque de formation persistant, ainsi que la forte incidence des plaies faciales, de mains et pieds, dans ces services en comparaison avec une faible réalisation de blocs anesthésiques qui auraient toute leur place dans ces indications. Méthode : nous avons réalisé une enquête par le biais d'un questionnaire pour évaluer la formation reçue et leurs aptitudes en anesthésie loco-régionales qu'estime les médecins interrogés ainsi que les internes. Nous avons aussi étudié l'incidence des plaies notamment faciales et des extrémités de membre sur une année. Ceci est associé à une étude plus précise sur la durée d'un mois, concernant la prise en charge des plaies aux urgences d'Angoulême, notamment sur de plan de l'antalgie et de l'anesthésie locale et loco-régionale, en corrélation aux traitement local de ces plaies, tout particulièrement les sutures. Résultats : Le questionnaire aux médecins des urgences d'Angoulême a montré une différence importante entre la formation présumée à l'ALR avec 4 soit environ 26,7 % des DR et 4 soit 36,3 % des internes se déclarant formés contre une pratique courante aux urgences aux nombres respectifs de 13 soit 86,7 % et 11 soit 100 % (30,8 contre 92,3 % en moyenne). Également, on a pu constater une demande à la formation en ALR aux urgences à la hauteur de 96, 2% des personnes interrogées. Sur une année étudiée, l'incidence des plaies de la face aux urgences d'Angoulême correspond à 28,54 %, celles des mains et digitales à 39,28 %, et celles des pieds et orteils à 4,73 % environ, soit un ensemble de 72,56 % par rapport à l'ensemble des plaies hors chirurgicales ayant mené à une consultation à ces urgences. Par ailleurs leur prédominance se maintient peu importe l'époque de l'année. Sur les 214 plaies faciales, de main et pieds, vues en Mars 2018 au SAU du centre hospitalier d'Angoulême sur le mois de Mars 2018 on observe sur cette période la réalisation de 8 ALR (3,74 % des cas), réalisées 7 fois sur 8 par un interne en médecine, et une anesthésie locale par infiltration sous-cutanée réalisée dans 80 cas soit environ 37,38 % de l'ensemble des plaies étudiées. Parallèlement, 127 sutures ont été réalisées soit 59,35 % des cas étudiés, avec une prédominance de leur prise en charge par des internes en médecine. Discussion : nous avons pu constater un niveau de formation hétérogène à l'anesthésie loco-régionale avec sa pratique déclarée comme régulière mais relativement rare sur le plan observationnel, en opposition à une forte incidence des plaies, notamment de la face, des mains et digitales, dont la suture est le traitement local prédominant, sur ces plaies qui semblent éligibles à une potentielle réalisation de blocs anesthésiques faciles d'accès et d'apprentissage, et d'un intérêt évident. Conclusion : le développement de l'anesthésie loco-régionale semble avoir sa place en médecine d'urgence, et est corrélé à une forte demande notamment au niveau de la traumatologie faciale et des extrémités de membres, qui s'accorde avec une possibilité de blocs anesthésiques dont les avantages sont certains en SAU. L'adaptation organisationnelle de ces services, associée à une formation accessible et obligatoire pour tous les médecins, ainsi que les internes, à commencer par les blocs faciaux puis digitaux, ainsi que les blocs des nerfs du poignet paraît être un bon point de départ au développement de ces techniques et de leurs avantages.
Author: Emmanuelle Zamparini-Roux
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Category :
Languages : fr
Pages : 128
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Author: Mike Wells
Publisher: Elsevier Masson
ISBN: 2294726081
Category : Medical
Languages : fr
Pages : 212
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Les médecins travaillant aux urgences peuvent bénéficier de l’expérience tirée de l’utilisation des techniques d’anesthésie locale afin de réaliser des infiltrations et des blocs nerveux. Dans cet environnement, les anesthésiques locaux s’avèrent sûrs et efficaces pour le traitement de la douleur en cas de blessures ainsi que pour la pratique de gestes diagnostiques et thérapeutiques. Mais quels sont les repères pour le bloc de cheville ? Quelle est la technique pour réaliser un bloc nerveux de l’avant-bras sous échographie ? Comment traiter une douleur dentaire avec une anesthésie locorégionale ? La nécessité de se souvenir des repères ou de l’anatomie échographique en urgence peut dissuader le praticien au détriment du patient. Cet aide-mémoire pratique et synthétique, facile à transporter et à consulter, offre des informations précises sur : • les techniques d’administration de l’anesthésie locale ; • les repères et les techniques de blocs échoguidés de la face, du cou et des membres ; • une approche de la sédation de complément.
Author: Maxime Dumesnil
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Languages : fr
Pages : 126
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La douleur est le principal motif de recours aux urgences en France, environ 85% des situations douloureuses sont en lien avec une douleur aiguë. Treize pour cent des consultations sont en lien avec une lésion post traumatique. Plusieurs moyens sont utilisés pour la gestion de la douleur aux urgences dont l'anesthésie locorégionale. Ce travail est une évaluation théorique de la pratique des médecins urgentistes de l'anesthésie locorégionale en Auvergne. Notre étude montre que la quasi-totalité des médecins interrogés ont des connaissances théoriques satisfaisantes de l'anesthésie locorégionale, mais malheureusement seulement le quart d'entre eux la pratique de façon régulière (une fois par semaine) avec une activité majoritairement extrahospitalière dans le cadre du SMUR. Elle est essentiellement utilisée en traumatologie, principalement dans la pratique du bloc ilio-facial et du bloc fémoral, avec rarement des accidents rapportés lié à l'anesthésie. Les praticiens ne rapportent que peu de complication, essentiellement à type de réaction anaphylactique. Si la majorité des praticiens considère que l'anesthésie locorégionale est efficace et plus sûre (moins d'effet indésirables), la pratique reste controversée pour plusieurs raisons dont en premier lieu le manque de formation initiale dédiée, puis l'absence de formation pratique continu (simulation, stage de formation) et enfin lié à la gestion du temps et le flux des patients aux urgences. Par ailleurs, les deux tiers des praticiens utilisent couramment l'échographe aux urgences, mais exceptionnellement pour l'anesthésie locale. Une formation en anesthésie échoguidé pourrait faciliter son utilisation de façon courante. La quasi-totalité des urgentistes interrogés sont convaincu de la place de l'anesthésie locorégionale en tant que technique efficace et sûre aux urgences. Des formations théoriques et pratiques destinées aux médecins urgentistes rendront cette technique plus accessible et plus maitrisé. L'inclusion de l'anesthésie échoguidé dans le cadre de la formation de la FAST-Echo ou l'échographie appliquée à l'urgence ainsi que l'apprentissage par simulation apparaissent comme des pistes prometteuses de formation. Enfin, des études observationnelle et prospectives sont la bienvenue pour démonter plus objectivement l'intérêt de cette technique et ses modalités pratiques aux urgences.
Author: Luce Neez
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Languages : fr
Pages : 290
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Introduction : Dans un service d'urgence, l'ancsthésie locorégionale (ALR) peut-être une alternative à l'ancsthcsie locale classique par infiltration (AL), pour la réalisation d'une suture de plaie de la main ou de la face. L'ALR est une technique d'anesthésic qui relevait jusqu'à présent de la compétence exclusive des anesthésistes réanimateurs. La conférence d'experts de juin 2003 autorise dorénavant le transfert de compétence de cette technique d'ancsthésie aux urgentistes. Il est donc intéressant d'évaluer sur le terrain, l'utilisation par les médecins urgentistes de cette technique. Objectifs : Evaluer l'efficacité et le confort pour le patient de l'ALR (bloc médian, radial, ulnaire, supra-orbitaire) par rapport à l'anesthésie locale, ainsi que la faisabilité et le taux de réussite de l'ALR par les médecins urgentistes nouvellement formés à la technique. Méthode : Etude prospective. Inclusion, après consentement éclairé, des patients ayant bénéficié dans le service des urgences, d'une suture de plaie de la main ou de la face, par anesthésie locale ou locorégionale. Les paramètres étudiés pour chaque groupe sont les suivants: qualité de l'opérateur (interne,urgentiste,anesthésiste), évaluation de la douleur par EVA, au cours de la réalisation de l'anesthésie et pendant l'acte de suture, qualité du bloc, motricité pendant la suture, durée d'occupation du box d'examen. La solution anesthésique utilisée est la lidocaïne 1% pour l'AL, et 2% pour l'ALR , formes non adrénalinées. Analyse statistique par test de Chi-2 et test de Student, valeurs exprimées en moyenne +/- IC95. Résultats : 69 patients ont été inclus, 44 AL et 25 ALR. Les AL ont été réalisées par l'anesthésiste (1 cas), l'urgentiste (10 cas), l'interne (32 cas) soit respectivement 2%, 23% et 74% des AL, les ALR par l'anesthésiste (15 cas), l'urgentiste (8 cas) et l'interne (2cas) soit respectivement 60%, 32% et 8% des ALR (p
Author: SANDRINE.. COLLIN BOUDAULT
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Languages : fr
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Author: Romain Siaffa
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Languages : fr
Pages : 214
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Les ALR de la face et au poignet sont des techniques recommandées pour les médecins non anesthésistes-réanimateurs depuis plus de 10 ans. Pourtant, en contexte d'urgence, elle sont peu pratiquées. Nous avons évalué les connaissances et les pratiques des ALR dans la région PACA au moyen d'un questionnaire internet. Seuls 55 % des praticiens connaissent les recommandations d'experts, Moins de 23 % ont déjà effectué un bloc de la face et moins de 14 % un bloc de la main au poignet. Ils sont 44 % à juger ces techniques difficiles. Nous avons ensuite mis en place ne étude prospective sur 9 mois au SAU de l'Hôpital d'Instruction des Armées de Toulon. Après une formation théorique et pratique, l'efficacité des blocs était recueillie et comparée à l'anesthésie locale. Nous avons analysé 251 plaies de la face et 316 plaies de la main (respectivement 63 blocs de la face et 130 blocs au poignet). L'efficacité des blocs est équivalente à l'anesthésie locale. Pour les plaies de la face, nous mettons en évidence avec l'ALR une diminution significative du nombre de points d'injection et de la quantité d'anesthésique locale. Pour les plaies de la main, l'ALR réduit le nombre de points d'injection mais la quantité d'anesthésique local est supérieur pour les petites plaies. La douleur de l'anesthésie et le confort des opérateurs sont comparables pour les deux localisations. La quasi-totalité des gestes a été effectuée par des internes de médecine générale. L'enseignement et la pratique de ces techniques devraient être étendus à tous les médecins amenés à prendre en charge des plaies, en contexte d'urgence, conformément aux recommandations formalisées d'experts
Author: Agathe Daunan
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Languages : fr
Pages : 0
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La douleur et la traumatologie sont des motifs de consultation extrêmement fréquents dans les services d'urgence.L'anesthésie locorégionale constitue un excellent moyen antalgique. L'échographie connaîtun essor important dans les services d'urgences. Coupler les deux techniques paraît une idée intéressante, d'autant que l'anesthésie locorégionale échoguidée a fait ses preuves chez les anesthésistes-réanimateurs.L'objectif de ce travail était d'évaluer l'intérêt et la faisabilité de l'anesthésie locorégionaleéchoguidée dans les services d'urgence du Grand Est.Méthode : étude descriptive, basée sur un questionnaire diffusé par mail aux médecinsurgentistes du Grand Est, de février à juillet 2014. L'objectif principal était d'évaluer sil'anesthésie locorégionale échoguidée est pratiquée dans les services d'urgence.Résultats : on note un très faible taux de participation, de 18%. Globalement, on retrouve une non-maîtrise des blocs accessibles aux médecins urgentistes, ainsi qu'une formationinsuffisante à l'échographie, de l'ordre de 50%. Certains blocs sont tout de même mieuxmaîtrisés, comme le bloc iliofascial, le bloc de la gaine des fléchisseurs et les blocs de la face,sans échoguidage. Les freins à la pratique de l'anesthésie locorégionale échoguidée sont des problèmes logistiques (frein des spécialistes, manque de matériel), un manque de formation et de pratique. Les médecins sont cependant plutôt favorables à la réalisation de l'anesthesie locorégionale échoguidée.Conclusion : l'anesthésie locorégionale échoguidée a une indication théorique dans lesservices d'urgence mais sa place « pratique » reste encore à prouver.
Author: Jean-Louis Mora
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 152
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Author:
Publisher: Odile Jacob
ISBN: 2738192165
Category :
Languages : en
Pages : 301
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