La Contraception en Seine-Saint-Denis PDF Download
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Author: Martine Donars-Moneuze (médecin.)
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ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 130
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Book Description
Author: Martine Donars-Moneuze (médecin.)
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ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 130
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Book Description
Author: Marie-Claude Gorce-Gondry (médecin.)
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Category :
Languages : fr
Pages : 120
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Author: Finaritra Andriantafika
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Category :
Languages : fr
Pages : 140
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Introduction : en France la couverture contraceptive est forte mais on estime qu'une grossesse sur trois est non désirée. Afin d'apporter une aide à la prescription individualisée, il paraît utile d'identifier les femmes rencontrant des difficultés avec leur contraception orale. Matériel et méthode : notre objectif principal était de mesurer la prévalence des femmes non satisfaites de leur pilule et d'identifier les facteurs de risques de non adéquation de la contraception orale au mode de vie. Notre objectif secondaire était d'identifier les femmes envisageant de changer de méthode contraceptive. Il s'agissait d'une étude quantitative descriptive et analytique multicentrique dans la ville de Saint-Denis. Résultats : 182 questionnaires ont été analysés. 22,4% des femmes n'étaient pas satisfaites de leur contraception. Les situations de précarité socio-professionnelle, d'instabilité ou de fragilité affective et sexuelle, le nombre élevé d'enfants, les périodes de transition entre deux méthodes, de post-partum et post-abortum sont des facteurs de risque d'échec de la contraception orale. Lorsque la contraception ne leur convient pas, plus d'un tiers des femmes n'envisagent pas de changer de méthode contraceptive. Seules les femmes ressentant des difficultés dans leur relation de couple y songent. Discussion : un travaik sur la prise en compte du mode de vie, sur l'information fournie et sur les représentations autour de la contraception reste à faire. Ceci n'est pas simple du fait de la population étrangère prégnante à Saint-Denis. Il nous faut surmonter les barrières de la langue et prendre en compte, dans le respect, la dimension culturelle afin d'assurer une prise en charge de qualité.
Author: Marina Ouaktouf
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Languages : fr
Pages :
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Objectif : description des connaissances des femmes sous pilule de leur contraception en Seine-Saint-Denis. Matériels et Méthodes : Une étude épidémiologique observationnelle, descriptive, transversale a été réalisée du 16 janvier 2021 au 31 juillet 2021 grâce à un questionnaire anonyme réalisé en entretien direct en consultation de médecine générale à Pavillons-sous-bois, et Sevran auprès des femmes âgées entre 18 et 50 ans prenant une pilule oestroprogestative comme moyen de contraception. Résultats : sur les 52 femmes interrogées, cinq femmes soit seulement 9.6 % ne se sentaient pas du tout informées lors de la première prescription concernant la manière de prendre correctement la pilule. Une femme sur deux soit 51.9 % prenait le comprimé oublié dans les 12 heures alors que la connaissance de ce délai est capitale pour permettre une bonne gestion de la contraception, et pour prévenir efficacement la survenue de grossesse non désirée, une femme sur deux également soit 55.7 % prenaient le comprimé oublié même si cela faisait prendre deux comprimés le même jour. Quarante et une femmes soit 78.8 % savaient qu'elles pouvaient obtenir la contraception d'urgence sans ordonnance, et 32.7 % prenaient la pilule d'urgence après un rapport à risque au maximum dans les trois jours qui suivent le rapport. Cependant 96.2 % soit 50 femmes de notre étude prenaient la contraception d'urgence dans un délai suffisant pour éviter une grossesse non prévue. Les informations les moins connues pour le rattrapage contraceptif étaient l’enchainement des plaquettes lorsque l’oubli survient sur les sept derniers comprimés actifs de la plaquette en cours, le recours à la contraception d’urgence en cas de rapports sexuels dans les cinq jours précédents, et l’utilisation de préservatifs pendant les sept jours suivant l’oubli. Dans notre étude, 59.6 % des femmes s'estimaient dans l'ensemble suffisamment informées sur leur pilule contraceptive, ce résultat reste néanmoins insuffisant, il reste une part non négligeable des patientes de l'étude (40.4 %) s'estimant ne pas l'être. Conclusion : les femmes sont plutôt bien informées par les professionnels de santé sur leur contraception lors de la première prescription, et les connaissances générales ainsi que celles sur la contraception d'urgence sont plutôt bien acquises mais les connaissances sur la conduite à tenir en cas d'oubli ne sont pas du tout maitrisées puisque seulement une femme sur deux connaissait la règle des 12 heures.
Author: Irielle Kiassi
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Languages : fr
Pages : 142
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L'offre contraceptive en France est très importante. Malgré cela, le taux d'interruption volontaire de grossesse en France reste élevé, environ 200 000 par an. La contraception est le plus souvent débutée par un gynécologue ou un médecin généraliste. Du fait de la modification de la démographie médicale, de plus en plus de médecins vont être amenés à assurer le suivi gynécologique de leurs patientes. La pilule contraceptive est le moyen le plus prescrit en France malgré les risques d'inobservance. L'implant contraceptif, tout comme le dispositif intra utérin, est un contraceptif de longue durée d'action. De nombreuses études ont montré son efficacité. Actuellement, il est majoritairement posé par des gynécologues. Le but de cette étude est de voir si les médecins généralistes, particulièrement ceux de la ville de Bondy et de ses environs les posent aussi. Il apparait que 15% des médecins interrogés en posent et parmi ceux qui ne le font pas, ils sont 45% à vouloir apprendre ce geste. Certains freins ont été mis en évidence notamment le manque de formation. Une amélioration de celle-ci ainsi que son accès pourrait inciter plus de médecins à choisir et à poser ce moyen contraceptif. Ces éléments pourraient favoriser une meilleure prise en charge contraceptive des femmes et ainsi peut être aider à diminuer le taux d'IVG.
Author: Marion Rémy (Paris 13).)
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Languages : fr
Pages : 168
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Le paysage contraceptif a évolué ces 50 dernières années avec un regain d'intérêt pour les méthodes de contraception naturelles. Suite à la crise de 2012 autour des pilules de 3 è et 4è génération 1 femme sur 10 se tournait vers ces méthodes. La méfiance des hormones semble être une cause insuffisante à cette hausse d'usage. L'objectif de l'étude est d'explorer les déterminants du choix des femmes de recourir à une contraception naturelle. Méthode : Méthode qualitative par entretiens semi-dirigés de 15 femmes de 18-45 ans utilisant une méthode naturelle en Seine Saint Denis. Résultats : Outre l'a priori refus d'hormones ou du corps étranger, ce sont le parcours contraceptif, médical et gynécologique, le mode de vie et les aspirations personnelles qui sont les principaux déterminants recensés. Le contexte socio-professionnel, conjugal et les convictions culturelles et religieuses ont aussi une place importante dans ce choix. Les informations délivrées par les médecins, l'entourage des femmes ainsi que les médias influencent cette prise de décision. Conclusion : Ce travail au sein d'un territoire diversifié a fait émerger des déterminants non explorés auparavant, intégrant les attentes de la femme ainsi que son environnement. Le conjoint y a une place importante, il serait intéressant d'explorer ses représentations et son ressenti à ce sujet. Les femmes sont désireuses d'une meilleure information autour de ces méthodes de la part des médecins pour permettre une meilleure compréhension de leur choix. Explorer les représentations et les connaissances de ces derniers serait pertinent.
Author: Kirushaanthy Yogesparan Navinan
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Languages : fr
Pages : 252
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Objectifs de l’étude : Les conditions socio-économiques précaires ainsi que la barrière linguistique peuvent être responsable d’une part d’une limitation de l’accès à la contraception et d’autre part d’une moins bonne connaissance de son mode d’action et de son utilisation. Le post-partum est une période propice à la prescription d’une contraception adaptée afin de favoriser son observance. Le but de cette étude est d’évaluer les connaissances initiales des femmes sur la contraception et d’étudier l’impact de la précarité et de l’information reçue sur la contraception en maternité sur le choix de la méthode contraceptive et sur l’observance. Matériel et méthodes : Etude de cohorte prospective unicentrique réalisée dans le service de Gynécologie-Obstétrique de l’hôpital Jean Verdier situé en Seine Saint Denis. De juillet à décembre 2014, un questionnaire évaluant les connaissances sur la contraception a été distribué aux patientes ayant accouché dans le service. Les patientes ont été recontactées à 3 mois afin d’évaluer la satisfaction et l’observance de leur contraception. Le critère de jugement principal était le taux de bonnes réponses au questionnaire et le critère de jugement secondaire le taux d’observance à 3 mois. Les facteurs associés au taux de bonne réponse et à l’observance à 3 mois ont été secondairement analysés. Résultats : Sur 250 questionnaires distribués, 110 ont été analysés. A 3 mois, 83 patientes ont été recontactées. Le taux de bonne réponse était supérieur à 50% pour 17 patientes seulement (21%). Le taux d’observance à 3 mois était de 59%. La précarité concernant 47% de la population d’étude était significativement associée à un taux de bonne réponse inférieur à 50% (p0.05). Elle n’était cependant pas associée de façon significative à une moins bonne observance (p0.05). Conclusion : La précarité a un impact négatif sur l’accès à la contraception et sur la connaissance des différentes méthodes contraceptives. Un suivi rapproché et une information adaptée aux patientes en situation précaire pourrait améliorer leur observance et ainsi limiter les échecs de contraception.
Author: Mathilde Roze
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Languages : fr
Pages : 178
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L'accès à la contraception, sans concertation parentale, est un droit pour les mineurs. Malheureusement, les jeunes sont confrontés à différents obstacles. Afin de faciliter cet accès, l'île de France met en place le « Pass' Santé Contraception » en 2011. Cette thèse étudie la prévalence et les caractéristiques associées aux rapports sexuels et à l'utilisation de la contraception chez 430 lycéens de Seine-et-Marne et de Seine-Saint-Denis et évalue la connaissance du Pass' Santé Contraception parmi ces lycéens, des infirmières scolaire et des médecins généralistes d'île de France. L'âge médian du premier rapport sexuel semble diminuer puisque d'après cette étude il est de 15ans. Malgré cette précocité, 89,37% des lycéens interrogés avaient utilisé une contraception lors de leur premier rapport sexuel (préservatif dans 85,81% des cas). La contraception d'urgence n'est pas assez connue, mais elle est facilement utilisée puisque dans cette étude 53,65% des jeunes sexuellement actifs l'ont déjà utilisée. Il apparait aussi clairement dans cette étude que le Pass' Santé Contraception est encore méconnu des lycéens et des professionnels de santé. Il serait sans doute nécessaire de sensibiliser les soignants pour le proposer plus largement dans les pharmacies et chez le médecin généraliste par exemple.
Author: Hélène Brétin
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Languages : fr
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Book Description
L'utilisation du contraceptif injectable dans les sociétés du tiers monde a donné lieu à une polémique internationale. Il est peu en utilise en France et concerne des populations particulières : femmes en milieu psychiatrique, femmes d'origine étrangère, femmes dans des situations sociales précaires cette thèse étudie comment l'injectable se constitue comme révélateur d'inégalités sociales des femmes devant la contraception. La recherche associe des centres de planification en Seine-Saint-Denis. Des interviews de praticiens montrent la marginalité de l'injectable et des logiques de prescription qui a caractère social. Elles interrogent le rôle et le pouvoir médical dans la société française. Des récits de vie de femmes montrent les mécanismes qui amènent à utiliser cette technique et les autres méthodes (pilule et stérilet). Les résultats inscrits dans la logique de l'offre contraceptive et de la demande de contraception marquent le décalage entre une offre à caractère technique et une demande complexe. L'injectable est un compromis révélateur des inégalités sociales des femmes devant la contraception. Trois axes principaux les caractérisent : les rapports hommes femmes, les rapports de classes, les rapports nord sud. Au-delà des propositions concrètes modifiant les contextes de prescription de l'injectable, la perspective s'ouvre sur le rôle de la technique dans les choix faits au sein d'une société inégalitaire, sur la démédicalisation, sur les rapports hommes femmes et l'évolution de la sexualité en référence à la distinction plaisir procréation
Author:
Publisher: Odile Jacob
ISBN: 2738193404
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Languages : en
Pages : 321
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