Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir

Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir PDF Author: Hazal Pekdar
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Languages : fr
Pages : 156

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Résumé français

Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir

Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir PDF Author: Hazal Pekdar
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Languages : fr
Pages : 156

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Résumé français

Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir

Déterminants au recours à la téléconsultation dans le suivi des patients dépressifs en soins premiers, une étude qualitative miroir PDF Author: Priya Thalinjan (Paris 13).)
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Pages : 174

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Intérêt de la téléconsultation dans le suivi des patients atteints d'addiction en médecine générale

Intérêt de la téléconsultation dans le suivi des patients atteints d'addiction en médecine générale PDF Author: Rym Delel Benramdane
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La téléconsultation s'est démocratisé en France depuis la crise sanitaire, cependant elle est peu utilisée dans la pratique quotidienne du médecin généraliste. Il existe un écart entre l'offre de soin actuel en addictologie et le nombre de personne souffrant d'addiction. Le médecin généraliste étant la porte d'entrée dans le parcours de soin, nous avons tenté d'explorer les déterminants à l'utilisation de la téléconsultation dans le suivi des patients atteints d'addiction. Cette thèse miroir s'intéressant à l'avis des médecins. Méthode : C'est une étude qualitative inspirée de l'analyse interprétative phénoménologique. Des médecins généralistes d'ile de France ont été interrogé lors d'entretiens semi-dirigés par téléphone et au cabinet. Les données ont été retranscrites mot par mot, triangulées et analysées par le logiciel NVIVO. Résultats : Huit médecins ont été interrogés. Ils exposent des déterminants motivants et freinant l'utilisation de la téléconsultation. La prise en charge de la pathologie addictive est décrite comme complexe et chronophage par les médecins et est conditionnée par leurs représentations souvent négatives. L'usage du téléphone en addictologie apparait indissociable du suivi des patients atteints d'addiction. Conclusion : La téléconsultation aurait toute sa place dans la prise en charge des addictions malgré qu'il y ait encore beaucoup de réticence à son utilisation ainsi qu'à l'égard des addictions de la part des médecins généralistes. Elle pourrait améliorer l'offre de soin en addictologie. Aussi, il serait pertinent d'explorer ce qu'apporterai la télé expertise dans le suivi des patients atteint d'addiction en médecine générale.

Étude qualitative auprès de patients adultes en Nouvelle-Aquitaine, par entretiens semi dirigés, sur les difficultés de la continuité de soins d'un épisode dépressif caractérisé modéré à sévère suivi par des médecins généralistes en ambulatoire

Étude qualitative auprès de patients adultes en Nouvelle-Aquitaine, par entretiens semi dirigés, sur les difficultés de la continuité de soins d'un épisode dépressif caractérisé modéré à sévère suivi par des médecins généralistes en ambulatoire PDF Author: Kévin Maniere
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Introduction : la prise en charge de la dépression nécessite un suivi prolongé impliquant la continuité de soin. Notre étude a pour objectif de déterminer les facteurs de rupture de soins chez les patients souffrant d'un épisode dépressif suivis en ambulatoire. Méthode : étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés, avec analyse phénoménologique interprétative. Les entretiens se sont déroulés entre avril et novembre 2022, dans 6 cabinets de médecine générale de Nouvelle-Aquitaine. L'étude concernait des patients majeurs, sans déficit intellectuel ou trouble cognitif connu, suivis ou ayant été suivis en ambulatoire pour un épisode dépressif caractérisé modéré à sévère, stabilisé. Résultats : la reconnaissance du besoin de soin et l'acceptation de la maladie seraient liées à la confrontation entre l'image de soi et de la dépression. L'objectivation de la maladie par un professionnel et une posture éducative participent à instaurer et maintenir le soin. Le professionnel doit s'adapter à la temporalité du patient. Les attentes du patient sont parfois en décalage avec l'efficacité du traitement. La relation de confiance et l'éducation thérapeutique, dans l'attente du bénéfice du traitement, permettent de s'engager dans le soin. La phase de rémission est à aborder de façon spécifique. Les patients ont exprimé l'importance de leur autonomie, notamment dans le contexte de la prise médicamenteuse. Cette autonomie s'exerce mieux dans un cadre contenant adapté à sa progression et à l'évolution de ses symptômes. La disponibilité du professionnel et ses attitudes semblent déterminantes pour un lien de confiance et une continuité de soin solide. Conclusion : la continuité de soin dans le suivi de dépression est influencée par des facteurs propres à chaque patient pouvant évoluer dans le temps. La relation de confiance, l'éducation thérapeutique et l'attention portée à l'autonomie et à la temporalité du patient semblent être les clés afin de prévenir une rupture de soin.

Déterminants de la prise en charge du patient dépressif en médecine générale

Déterminants de la prise en charge du patient dépressif en médecine générale PDF Author: Céline Gaihier (Lucile)
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Pages : 356

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La dépression est devenue un problème majeur de santé publique. Cette pathologie est responsable d'un lourd handicap pour les malades qui en souffrent, d'un fort coût en termes de dépenses de soins et d'une mortalité par suicides non négligeable. De plus, il existe souvent un retard du patient à consulter car les représentations associées à cette pathologie font honte au malade et à son entourage. Le généraliste est souvent le premier interlocuteur dans le parcours du dépressif et des études récentes ont démontré qu'il existait certains obstacles dans la gestion de la dépression en France. Il existe fréquemment des difficultés diagnostiques et une prise en charge thérapeutique qui pourrait être améliorée. Le but de notre étude a été d'aller à la rencontre de médecins généralistes et d'identifier, par l'analyse de leur discours, les principaux facteurs qui influencent leur prise en charge, leurs difficultés pratiques face au patient dépressif ainsi que les éléments de leur ressenti. Pour cela, nous avons réalisé une analyse qualitative de type thématique à partir d'entretiens semi-dirigés de dix praticiens.Les résultats confirment qu'il existe certains obstacles dans la prise en charge de la dépression tels que le manque de formation, le manque de temps,' des difficultés de communication avec les psychiatres correspondants et un sentiment d'isolement fréquent responsable parfois d'une souffrance du praticien. De plus, certains éléments ont été mis en évidence comme facteurs d'influences dans la gestion de cette pathologie

Proportion des déterminants qui influencent le recours à un médecin dit de "substitution" au cours de la pandémie de COVID 19

Proportion des déterminants qui influencent le recours à un médecin dit de Author: Shahana Hussain
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Durant la crise du Covid-19 en 2020, une communauté professionnelle territoriale de santé a instauré un centre d'information téléphonique. Ce dispositif proposait l'intervention d'un médecin dit "de substitution" (MS) en cas d'indisponibilité du médecin traitant de l'usager. Une étude qualitative a identifié plusieurs facteurs influençant le recours ou non au MS, tels que l'anxiété, la confiance, certaines caractéristiques individuelles et des besoins socio-administratifs. Afin d'améliorer l'organisation du système d'accès aux soins, nous cherchons à déterminer la prévalence de ces facteurs influençant le choix d'utiliser ou non ce dispositif. Méthode : Nous avons effectué une étude quantitative descriptive basée sur un questionnaire construit à partir d'une enquête qualitative préliminaire. Sur les 189 usagers auxquels un MS était proposé, 178 ont été sollicités pour participer, 11 ayant été exclus. Ils devaient classer les facteurs déterminants par ordre d'importance décroissante. Les variables qualitatives ont été exprimées en pourcentage, et les corrélations ont été évaluées grâce au test de Wilcoxon-Man-Whitney pour les variables quantitatives, et le test Chi2 pour les variables qualitatives. L'étude a été menée avec l'approbation du comité d'éthique du CNGE. Résultats : nous avons reçu des réponses de 133 personnes. Sur ces personnes, 73 (soit 550/0) ont consulté le MS. Le besoin d'examen physique était le facteur déterminant majeur (460/0), suivi de près par le besoin d'informations (420/0). Parmi ceux qui n'ont pas consulté le MS, l'accès à un autre médecin était le facteur principal (480/0), suivi d'une réassurance suffisante par le centre d'appel (18 0/0). 19 personnes n'ont pas eu recours au service soit par manque de confiance, soit parce qu'elles préféraient une visite à domicile. Conclusion : près de la moitié de la population (45 0/0) n'a pas sollicité le MS, ce qui suggère qu'une consultation téléphonique structurée pourrait répondre aux besoins ou permettre d'attendre une consultation avec un médecin connu dans environ la moitié des cas. Le besoin prioritaire d'examen physique souligne l'importance des consultations en présentiel. Bien que ces résultats soient issus du contexte spécifique de la Covid et ne soient pas généralisables, ils pourraient néanmoins éclairer les futurs dispositifs d'accès aux soins.