Pratique de l'échographie en médecine générale PDF Download
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Author: Nathalie Anglesio-Huicq
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Languages : fr
Pages : 280
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Book Description
L’échographie est un acte radiologique qui n’a pas de spécialité définie, elle peut donc être pratiquée par le médecin généraliste. Elle apporte une aide diagnostique immédiate, diminuant la latence diagnostique, permettant d’affiner la démarche diagnostique et d’éliminer certains diagnostics différentiels. Aux mains du généraliste, elle se veut être un prolongement de l’examen clinique, certains voient même en elle « le stéthoscope du troisième millénaire ».Le suivi du patient ainsi que la réalisation de son examen clinique sont-ils des arguments permettant d’améliorer la qualité de l’acte échographique ? Nous nous sommes intéressés à la pratique des ces médecins généralistes atypiques. Comme illustration, nous avons choisi trois cabinets de médecine générale creusois équipés d’un échographe. Un recueil prospectif sur l’année 2009 nous a permis d’étudier 786 échographies et de dégager le contexte clinique de réalisation de chaque acte. Nous nous sommes également intéressés à cette pratique en situation d’urgence, de dépistage et de suivi. La réalisation d’échographies au cabinet impose un lourd investissement financier : pour rentabiliser le matériel il faut réaliser un nombre minimum d’actes et dans ce système de paiement à l’acte l’auto-prescription pose problème.La formation à l’échographie est longue et exigeante mais cette question reste primordiale. Le DIU est indispensable pour faire preuve de sa compétence et de sa responsabilité professionnelle.
Author: Nathalie Anglesio-Huicq
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Languages : fr
Pages : 280
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L’échographie est un acte radiologique qui n’a pas de spécialité définie, elle peut donc être pratiquée par le médecin généraliste. Elle apporte une aide diagnostique immédiate, diminuant la latence diagnostique, permettant d’affiner la démarche diagnostique et d’éliminer certains diagnostics différentiels. Aux mains du généraliste, elle se veut être un prolongement de l’examen clinique, certains voient même en elle « le stéthoscope du troisième millénaire ».Le suivi du patient ainsi que la réalisation de son examen clinique sont-ils des arguments permettant d’améliorer la qualité de l’acte échographique ? Nous nous sommes intéressés à la pratique des ces médecins généralistes atypiques. Comme illustration, nous avons choisi trois cabinets de médecine générale creusois équipés d’un échographe. Un recueil prospectif sur l’année 2009 nous a permis d’étudier 786 échographies et de dégager le contexte clinique de réalisation de chaque acte. Nous nous sommes également intéressés à cette pratique en situation d’urgence, de dépistage et de suivi. La réalisation d’échographies au cabinet impose un lourd investissement financier : pour rentabiliser le matériel il faut réaliser un nombre minimum d’actes et dans ce système de paiement à l’acte l’auto-prescription pose problème.La formation à l’échographie est longue et exigeante mais cette question reste primordiale. Le DIU est indispensable pour faire preuve de sa compétence et de sa responsabilité professionnelle.
Author: Alexis Gilardeau
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Languages : fr
Pages : 118
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L'échographie est un examen idéal de premier recours, il est rapide, non invasif et de plus en plus performant. Afin de proposer la formation la plus adaptée possible à la médecine générale, il convient d'observer la pratique des différents généralistes utilisant déjà l'échographe. L'objectif principal de cette étude était de décrire quelles étaient les principales indications de l'échographie et/ou de l'échoscopie en médecine générale et d'essayer de savoir en quoi cet examen pouvait modifier la prise en charge des patients. C'était une enquête observationnelle épidémiologique, descriptive, transversale, multicentrique. Cinq médecins généralistes échographistes remplissaient un questionnaire après la réalisation de chaque examen. 2 ont finalement été inclus. 184 questionnaires ont été recueillis sur 3 mois, 150 ont été analysés. Les types d'examens les plus fréquemment réalisés ont été abdominal (42,6 %), vasculaire (16 %) et gynécologique (16%) et les principales indications étaient en accord avec la liste proposée dans « Sonosthéto ». 67,8% des examens ont permis une modification de la prise en charge. Le type de modification le plus fréquemment retrouvé est l'instauration ou la modification d'un traitement. L'échographie semble avoir toute sa place en médecine générale. Il est donc nécessaire de développer cette compétence, et d'aider les médecins généralistes à l'acquérir en leur proposant une formation adaptée à leur pratique.
Author: Isabelle Cibois-Honnorat
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Languages : fr
Pages : 0
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Author: Sayfeedine Ben Khaled
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Les maladies chroniques représentent actuellement un problème majeur de santé publique. Acteur central de la prise en charge de ces pathologies, le médecin généraliste développe de nouvelles pratiques afin d'offrir le meilleur suivi possible à ses patients. C'est dans ce contexte que l'on a vu apparaître ces dernières années l'échographie dans les cabinets de médecine générale. Une étude quantitative observationnelle descriptive a été menée afin de décrire les habitudes des médecins généralistes pratiquant l'échographie pour le suivi de maladies chroniques. Ces praticiens ont été interrogés sur 8 indications échographiques préalablement sélectionnées en se basant sur les recommandations du guide du bon usage des examens d'imagerie médicale. Un questionnaire a été envoyé par voie électronique à 131 médecins généralistes pratiquant l'échographie dans toute la France. Au total, 61 réponses ont été analysées. Les résultats obtenus montrent que pour 4 indications, une majorité des médecins réalisent eux-mêmes le suivi échographique de leurs patients. Concernant les autres indications, moyennement voire très peu réalisées, le manque de formation représente le principal motif de non réalisation de l'examen Initialement perçue comme une aide diagnostique, l'échographie peut être utilisée en médecine générale pour le suivi de certaines maladies chroniques. L'intégration d'enseignements d'échographie dans le cursus universitaire permettrait en outre le développement de cette pratique.
Author: Flavio Hoarau
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Languages : fr
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Introduction : L'objectif principal est de déterminer si la réalisation d'une échographie par le médecin généraliste modifie l'orientation des patients. Méthode : Étude quantitative, rétrospective, et monocentrique. Rencontre des médecins ayant participé à la formation d'échographie appliquée à la médecine générale à La Réunion, proposée par le Collège des généralistes enseignants de l'océan indien (CGEOI), en février 2018. Les 10 dernières échographies de chaque médecin sont analysées avec un questionnaire. Ils doivent répondre à la question suivante : « si vous n'aviez pas eu accès à l'échographie au cabinet, auriez-vous modifié l'orientation du patient ? ». Le critère principal « orientation du patient » est un composite des critères secondaires suivants (auxquels le médecin doit répondre par « oui » ou « non ») : « orientation vers les urgences », « ... vers un cabinet d'imagerie », « ... vers un laboratoire », « ... vers un spécialiste », « si suspicion de thrombose veineuse profonde (TVP), traitement par anticoagulation probabiliste ». Résultats : Parmi les 38 praticiens ayant participé à la formation, 15 sont inclus. 150 échographies sont analysées. Dans 67 % des cas, la réalisation de l'échographie a modifié l'orientation des patients en évitant 56 % d'orientation en cabinet d'imagerie, 7 % en laboratoire, 6 % aux spécialistes, 3 % aux urgences. Conclusion : Cette étude est un argument de plus en faveur de l'utilité de l'échographie en médecine générale de par sa capacité à modifier l'orientation des patients, particulièrement en évitant des orientations en cabinet d'imagerie.
Author: Mathilde Lemoine (médecin).)
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Languages : fr
Pages : 154
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Introduction: une étude observationnelle a tenté de montrer l'intérêt de l'échographie dans une maison de santé pluridisciplinaire en milieu rural auprès de deux médecins généralistes. Matériel et méthode: cette étude a comporté deux volets : un aspect quantitatif sous forme d'un questionnaire avec les caractéristiques du patient et de l'examen échographique, un aspect qualitatif exploré par des entretiens semi-directifs. Résultats : 102 patients ont été étudiés sur une période de 3 mois : l'âge médian était de 58 ans, 85,3 % des échographies ont été effectuées à visée diagnostique dans le cadre de soins aigus, 43 % ont concerné l'étage abdominal, 71,6 % ont été réalisées dans un intervalle de 5 à 10 minutes. Le retour à domicile a été possible pour 98 % des patients ; seul un tiers de ces patients a nécessité l'avis d'un spécialiste et/ou un examen radiologique complémentaire. Quatre grands thèmes ont émergé de l'analyse qualitative : en dépit de son caractère chronophage, l'échographie est un outil de diagnostic simple, accessible, valorisant, renforçant le lien médecin-patient; en milieu rural l'échographie permet de dédouaner l'urgence, d'améliorer le confort de la personne âgée, d'attirer le spécialiste et pourrait séduire le jeune généraliste. Discussion et conclusion : malgré les limites de l'étude, l'échographie présentè un intérêt en médecine générale rurale mais il manque des investigations complémentaires pour démontrer le potentiel sanitaire et économique en santé publique de cet examen
Author: Marie Lemanissier
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Languages : fr
Pages : 178
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La pratique de l'échographie par le médecin généraliste dans certaines situations serait une aide majeure au diagnostic et à la prise en charge du patient. Une enquête de type Delphi a été menée afin de valider une première liste d'indications d'échographies réalisables en médecine générale. D'abord, une synthèse de la littérature puis la discussion argumentée d'un groupe de travail formé d'experts en médecine générale et en échographie ont été réalisées. Une liste initiale d'indications, justifiées en médecine générale sur des critères de prévention quaternaire et sur la définition européenne de la médecine générale a ainsi été élaborée. Ensuite, un questionnaire électronique interrogeant sur cette liste a été envoyé à un groupe de médecins généralistes pratiquant l'échographie. 36 réponses ont été collectées. 1 seule ronde a été réalisée. L'étude a donc validée une liste de 11 indications d'échographies réalisables en médecine générale nommée SONOSTETHO 1.0. C'est un pas vers une protocolisation de l'échographie comme outil diagnostique en médecine générale.
Author: Jessica Pividori
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Languages : fr
Pages : 84
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INTRODUCTION : En France, la pratique de l'échographie en médecine générale existe, mais reste minoritaire. L'un des principaux freins à son utilisation semble être la formation, décrite comme peu adaptée à l'exercice de la médecine générale. L'objectif de cette étude était de recueillir et d'étudier les déterminants d'une formation optimale en échographie ou échoscopie à partir de l'expérience des médecins généralistes (MG) exerçant cette activité. MÉTHODE : Une analyse qualitative était adaptée à notre objectif compréhensif. Les MG pratiquant l'échographie dans le cadre de la médecine générale ont été interrogés lors d'entretiens individuels jusqu'à saturation des données. Après la retranscription de chaque entretien une analyse thématique des verbatims a été réalisée. Une triangulation des chercheurs a été réalisée à chaque étape. RÉSULTATS : Au total, 12 MG exerçant en région Rhône-Alpes Auvergne ont été interrogés entre octobre 2016 et juillet 2017. Leur vision de la formation optimale comportait des objectifs adaptés aux compétences du MG. Elle devait leur apporter une validité et son ouverture aux MG permettait ainsi la diffusion de cet outil. La pratique était au centre du contenu de la formation, prédominant sur la théorie. Intégrer cette formation dans le cursus universitaire était revendiqué. L'intégration se faisait auprès des internes de médecine générale, avec notamment des stages chez les maîtres de stage universitaires (MSU) échographistes, mais aussi auprès des externes en utilisant l'échographie pour l'apprentissage de la médecine, avec pour exemple l'écho-anatomie. CONCLUSION : L'enseignement de l'échographie en médecine générale a du sens, mais doit encore se développer en privilégiant l'aspect pratique. L'université a un rôle essentiel pour intégrer cet outil à la formation médicale initiale.
Author: Robin Lhotellier
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Languages : fr
Pages : 0
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Introduction : les médecins généralistes s'intéressent de plus en plus à la pratique de l'échographie dans leur pratique quotidienne. La douleur abdominale reste un motif de consultation fréquent et justifie souvent une prescription d'imagerie complémentaire. Il parait donc intéressant d'évaluer l'apport de l'échographie dans l'exploration des douleurs abdominales lors d'une consultation de médecine générale. Objectif : l'objectif était de déterminer la proportion d'échographies ayant apporté une modification dans la prise du patient au décours de la consultation. Matériel et méthode : l'étude réalisée était une étude observationnelle, rétrospective, multicentrique chez une population de médecins généralistes pratiquant l'échographie au cabinet. Après chaque échographie, le médecin remplissait un tableur avec différentes données (hypothèses diagnostiques, paraclinique prescrite, apport de l'échographie). Les échographies réalisées sans contexte de douleurs abdominales ont été exclues de l'étude. Résultats : 68 échographies, réalisées par 9 médecins généralistes, ont été incluses dans cette étude. Ces médecins ont estimé que la prise en charge du patient était modifiée dans 51.5 % des cas. Une confirmation du diagnostic était possible dans 48.5% des cas et une prise en charge spécialisée optimisée dans 29.4% des cas. Conclusion : notre étude montre que la prise en charge de patients consultant pour douleur abdominale est modifiée dans plus d'un cas sur deux. Cela permet donc une prise en charge optimale avec un gain de temps et une prescription de traitement/paraclinique orientée. Il serait intéressant de pouvoir réaliser des études de grande envergure chez des médecins ayant reçu une formation homogène afin de confirmer cette hypothèse.
Author: Thomas Pebre
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Languages : fr
Pages : 156
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Introduction : L’échographie est un examen non invasif, non irradiant et peu cher. Sa pratique en soins primaires se développe dans de nombreux pays autre que la France. Objectifs : L’objectif principal était de mettre en évidence un profil type de médecin généraliste pratiquant l’échographie en Haute-Normandie. Les objectifs secondaires étaient de connaitre les réticences des généralistes au développement de cette technique d’imagerie et de proposer des solutions pour y remédier. Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle descriptive transversale réalisée à l’aide d’un questionnaire auto-administré chez l’ensemble des généralistes haut-normands. Résultats : 45 médecins inclus, 7 pratiquent l’échographie soit 16%. Exercer en milieu rural et à distance des cabinets de radiologie favorisent la pratique. Les principaux freins exposés sont : la formation, l’information, les frais engendrés et le manque de temps. Conclusion : L’échographie peut devenir un outil important en médecine générale pourtant elle ne progresse pas en France autant qu’ailleurs. Les solutions primordiales pour augmenter cette pratique sont l’information des généralistes concernant les formations possibles, les coûts des différents appareils et les cotations d’une part. La pratique en groupe avec une réorganisation de la pratique quotidienne d’autre part.
