LE CALVAIRE. Sculpture en bois de J. W. F. XVII siècle. Le Christ se trouve au milieu des larrons; sous les pieds du Christ, se détachent de la Croix, des nuages avec un Ange ailé et deux têtes de Séraphines; sur le terrain quatre petits Anges dans diverses attitudes. L'un d'eux tient le St. Suaire. A terre se trouvent des fleurs et quelques pierres; sur l'une de ces dernières on lit les initiales de l'auteur (I. W. F.). Toutes les figures sont en buis à plein relief, sur la base il y a, également en buis, un cartouche rond sur lequel sont sculptés en demi-relief les vers suivants tirés de la II Epitre de ST. Paul auc Colosses. ET VOS CVM MORTVI ESSETIS IN DELICTIS CONVIFICAVIT CVM ILLO DONANS VOBIS OMNIA DELICTA: DELENS, QVOD ADVERSVS NOS ERAT CHIROGRAPHVM DECRETI, QVOD ERAT CONTRARIVM NOBIS, ET IPSVM TVLIT DE ME DIO AFFIGENS ILLVD CRVCI. ([...] Coloss., 2, 13, 14) Haut. totale [...] cent., haut. des figures sur les croix 24 cent

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TABERNACLE avec le Calvaire. Sculpture en bois. XVI siècle. Sous un portique en bois de noyer très finement sculpté, se trouve le Christ en croix au milieu des deux larrons. La Madeleine est agenouillée aux pieds de la Croix et debout se tiennent la St. Vierge d'un côte, et St. Jean de l'autre. Les six figures sont à haut-relief en bois oriental et méritent une attention spéciale pour la finesse et la perfection de l'exécution, qui ne laisse rien à désirer soit comme ensemble, soit comme forme, car les figures sont sculptées avec une grande Hardiesse. Haut. totale 1 m., larg. 67 cent.; haut. des figures 23 cent

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Le Calvaire. N. S.. Jésus-Christ est crucifié entre les deux larrons. Au pied de la croix du Rédempteur, Sainte Marie Madeleine. Au pied de la croix du bon larron, la très Sainte Vierge évanouie et secourue par les Saintes femmes. Au pied de la croix du mauvais larron, groupe de soldats et de pharisiens. Le centurion monté sur un cheval blanc, est au premier plan. Dans le fond la ville de Jérusalem. (Répétition exécutée, de la main ou sous la direction du maître, d'une composition célèbre). Sur bois. Bordure de bois doré. 0.47 X 0.34

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Le Calvaire. Jesus est sur la croix entre les deux larrons; les saintes femmes et un peuple nombreux sont à ses pieds; les femmes portent des coiffes blanches: au fond on voit Jérusalem. Tableau très curieux. Bois, haut. 79 cent., larg. 53 cent

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Plaquette en bronze de forme rectangulaire, représentant la déposition du Christ au tombeau; sur la partie supérieure: le Calvaire avec nombre de guerriers soit à pied ou à cheval; on y voit les deux larrons en croix tandis que la croix du milieu est vide; dans la partie inférieure, deux anges volant soutiennent un écusson armorié surmonté d'un chapeau de cardinal. Superbe travail avec beaucoup de figures. Magnifique conservation. XV Siècle. Haut. 9 cent., larg. 8 cent. Planche N. XVII.

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Le Calvaire, tableau à volets. Entre les croix des deux larrons, dont l'un blasphême et l'autre prie, s'élève la croix du Sauveur. Madelaine, à genoux, entoure de ses bras le bois sacré, auprès duquel Marie, à demi-évanouie, est soutenue par Saint Jean dont les regards sont empreints de la plus profonde affliction. Deux saintes femmes se tiennent derrière la Vierge, et partagent sa douleur. Sur le devant de la composition, un vieillard, à barbe blanche, ayant un marteau à la main, tourne ses regards effrayés vers Madelaine dont le désespoir semble toucher son âme. Au milieu de sombres nuages une troupe de séraphins se rassemblent au dessus de la tête du Sauveur. De nombreux soldats, les uns à pied, les autres à cheval, assistent à cette dernière scène de la Rédemption des hommes. Les murs de Jérusalem, s'élèvent au loin, dans un pays montagneux et couvert de rochers. Sur les volets le peintre a représenté le couple donateur: le mari, agenouillé devant un prie-dieu orné de ses armoiries, a derrière lui Saint Paul son patron; l'épouse, dans la même position, est accompagnée de Saint Calixte, pape et martyr. Ces figures se détachent sur des fonds de paysages embellis d'une multitude de détails. C'est encore par la Vérité des expressions et par la puissance du sentiment, que ce tableau vous arrête; ce sont là des qualités qu'on ne saurait contester à la plupart des anciens maîtres, qui les possédaient à des degrés plus ou moins éminents. Ce qui recommande encore cette composition, dans laquelle on compte vingt-cinq figures principales et autant de figurines, c'est le soin excessif apporté dans l'exécution des moindres détails, soit des vêtements, soit même du paysage qui est très avancé pour l'époque. B. H. 3 p. 10 p. 2 l. - L. 2 p. 6. p. 4 l. - L. V. L. 1 p. 1 p. 5 l

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PANNEAU en noyer représentant le Calvaire. Travail à " graffito" noir. Au dernier plan, le Christ au milieu des larrons; à ses côtes se trouvent deux anges qui receuillent dans des calices le sang qui jaillit des blessures. Au pied de la Croix, on voit la Vierge défaillante soutenue par les Saintes Femmes, Marie Madeleine et St. Jean. Sur le chemin qui conduit au Calvaire, plusieurs groupes de soldats qui à pied, qui à cheval, s'en retournent; au premier plan, deux soldats jouent aux des les vetements du Christ; deux autres soldats assistent à la partie. Toutes ces figures sont à " graffito" sauf les casques, les lances des soldats et les fers des chevaux qui sont en métal. Ce panneau est fait dans le même genre que les stallos du chœur de l'eglisw de St. Dominique à Bologne, exécutées aussi par le même artiste, qui travaills pour la cathédrale de Bergame et pour l'église de St. Pierre à Pérouse. 0,73 X 0,[...]3

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Jésus-Christ, tombé sous la croix et sontenu par un ange. Groupe en bronze doré et en argent. Socle contourné en bois garni d'ornements en argent. Sculpture du XVIIe siècle. Haut. avec le socle m. 0.42

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Tableau sur bois formant la composition suivante: Le couronnement de la Vierge et Jésus Crucifix. - Divisé en deux compartiments, dans l'un des quels se trouve Jésus Christ sur la croix ayant à ses côtés la Sainte Vierge, et Saint Jean, et, agenouillée embrassant la croix, la Magdelaine. Dans l'autre compartiment Jésus qui couronne la Sainte Vierge et on voit sur leur tête l'iris sur lequel se tient une nombreuse gloire d'anges. Dans une bande, sous les deux compartiments, le Rédempteur, la Sainte Vierge, et les Apôtres en demies figures. La très Sainte Trinité et Saints. - Dieu le Père est assis sur des nuages, des quels sortent des rayons de lumière qui forment une éllipse environnée de gracieuses petites tétes ailées de séraphins. Lui, les bras ouverts, il soutient aux extrémités latérales la croix, dans laquelle se trouve expirant le Fils unique. Sur lui descend du sein de l'Eternel la mistique colombe. Aux pieds de ce groupe on voit le soleil et la lune. A droite se trouvent agenouillés Saint Jean Baptiste et Saint Geraldo, à gauche deux autres Saints sous l'un desquels on lit S. Benedictus,- Ces deux tables sont de Simon des Crucifix. L'Annunciation. - Deux petits panneaux à aiguille peints, avec la perfection des miniatures et avec une exquise élégance de dessin. - Attribuées à Dino di Sano, de Siena. M. 1,37 X 0,80. (Voir illustration, planche VIII).

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Le Christ en Croix. Sur un rocher brunâtre, derrière lequel d'autres rochers moins sombres détachent leurs masses arrondies, s'élève le signe de la rédemption des hommes. Au delà du Calvaire, dans le fond d'une vallée baignée par un beau lac et protégée à droite et à gauche par de hautes montagnes dont les bases verdoyantes vont se perdre dans les eaux, la ville de Jérusalem semble se reposer des commotions et des agitations dont elle vient d'être le théâtre. Une douce clarté se répand encore sur toute la nature; le soleil et la lune apparaissent à la fois, et la croix à laquelle le Christ est attaché tranche seule sur la pureté du ciel. Deux anges, soutenus dans l'air par de faibles nuages qu' ils touchent à peine de la pointe du pied, se tiennent, attristes et les atles étendues, de chaque côté du Christ, et recueillent dans des vases d'or le précieux sang qui coule du côté et des mains du rédempteur des hommes. Tous deux sont légèrement vêtus, l'un d'une robe verte, l'autre d'une robe jaune, sermités à la taille par de grands rubans noirs dont les extrémités voltigent autour d'eux. Aucune crispation de nerfs, aucune contraction de muscles, n'annoncent dans le Christ une mort violente; il paraît au contraire sommeiller doucement sur l'instrument de son supplice; sa belle tête couronnée d'épines, en d'affaissant sur sa poitrine, est demeurée légèrement inclinée sur l'épaule droite: tous les traits de son visage ont conservé leur aimable régularité. L'amour ayant été le seul mobile de ce grand sacrifice, le peintre n'a pas voulu, à côté de la reconnaissance qu'il doit inspirer, laisser de place à la pitié. Quatre personnages se trouvent sur le calvaire: les deux plus rapprochés de la croix sont Marie-Madelaine et Jérôme. Tous deux à genoux, ils ont les yeux élevés vers le Christ, et l'expression de leur visage annonce moins de désespoir que d'amour, moins de douleur que d'admiration. Une chevelure bl

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