Optimiser l'enseignement de l'échographie pour le médecin généraliste est pertinent PDF Download
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Author: Jessica Pividori
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Languages : fr
Pages : 84
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Book Description
INTRODUCTION : En France, la pratique de l'échographie en médecine générale existe, mais reste minoritaire. L'un des principaux freins à son utilisation semble être la formation, décrite comme peu adaptée à l'exercice de la médecine générale. L'objectif de cette étude était de recueillir et d'étudier les déterminants d'une formation optimale en échographie ou échoscopie à partir de l'expérience des médecins généralistes (MG) exerçant cette activité. MÉTHODE : Une analyse qualitative était adaptée à notre objectif compréhensif. Les MG pratiquant l'échographie dans le cadre de la médecine générale ont été interrogés lors d'entretiens individuels jusqu'à saturation des données. Après la retranscription de chaque entretien une analyse thématique des verbatims a été réalisée. Une triangulation des chercheurs a été réalisée à chaque étape. RÉSULTATS : Au total, 12 MG exerçant en région Rhône-Alpes Auvergne ont été interrogés entre octobre 2016 et juillet 2017. Leur vision de la formation optimale comportait des objectifs adaptés aux compétences du MG. Elle devait leur apporter une validité et son ouverture aux MG permettait ainsi la diffusion de cet outil. La pratique était au centre du contenu de la formation, prédominant sur la théorie. Intégrer cette formation dans le cursus universitaire était revendiqué. L'intégration se faisait auprès des internes de médecine générale, avec notamment des stages chez les maîtres de stage universitaires (MSU) échographistes, mais aussi auprès des externes en utilisant l'échographie pour l'apprentissage de la médecine, avec pour exemple l'écho-anatomie. CONCLUSION : L'enseignement de l'échographie en médecine générale a du sens, mais doit encore se développer en privilégiant l'aspect pratique. L'université a un rôle essentiel pour intégrer cet outil à la formation médicale initiale.
Author: Jessica Pividori
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Languages : fr
Pages : 84
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INTRODUCTION : En France, la pratique de l'échographie en médecine générale existe, mais reste minoritaire. L'un des principaux freins à son utilisation semble être la formation, décrite comme peu adaptée à l'exercice de la médecine générale. L'objectif de cette étude était de recueillir et d'étudier les déterminants d'une formation optimale en échographie ou échoscopie à partir de l'expérience des médecins généralistes (MG) exerçant cette activité. MÉTHODE : Une analyse qualitative était adaptée à notre objectif compréhensif. Les MG pratiquant l'échographie dans le cadre de la médecine générale ont été interrogés lors d'entretiens individuels jusqu'à saturation des données. Après la retranscription de chaque entretien une analyse thématique des verbatims a été réalisée. Une triangulation des chercheurs a été réalisée à chaque étape. RÉSULTATS : Au total, 12 MG exerçant en région Rhône-Alpes Auvergne ont été interrogés entre octobre 2016 et juillet 2017. Leur vision de la formation optimale comportait des objectifs adaptés aux compétences du MG. Elle devait leur apporter une validité et son ouverture aux MG permettait ainsi la diffusion de cet outil. La pratique était au centre du contenu de la formation, prédominant sur la théorie. Intégrer cette formation dans le cursus universitaire était revendiqué. L'intégration se faisait auprès des internes de médecine générale, avec notamment des stages chez les maîtres de stage universitaires (MSU) échographistes, mais aussi auprès des externes en utilisant l'échographie pour l'apprentissage de la médecine, avec pour exemple l'écho-anatomie. CONCLUSION : L'enseignement de l'échographie en médecine générale a du sens, mais doit encore se développer en privilégiant l'aspect pratique. L'université a un rôle essentiel pour intégrer cet outil à la formation médicale initiale.
Author: Chloé Prieur
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Languages : fr
Pages : 146
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Book Description
Introduction : Le constat de l'intérêt international pour l'échographie en médecine générale est indéniable. En France, de nombreux travaux s'intéressent à différentes thématiques relatives à l'échographie, et à son application en médecine générale. Cette étude vise à comprendre les motivations amenant certains médecins généralistes à intégrer l'échographie dans leurs pratiques. Méthode : Etude qualitative par entretiens semi-dirigés auprès de médecins généralistes pratiquant l'échographie en Loire-Atlantique et Vendée. Les entretiens sont réalisés jusqu'à saturation des données. Un double codage est effectué et une analyse thématique permet de classer les données issues des entretiens. Résultats : Dix médecins généralistes expriment leurs motivations à l'intégration de l'échographie, à travers huit thèmes principaux et deux thèmes secondaires. L'initiation à l'échographie est motivée par l'apparente accessibilité de la technique. Elle se propose en complément de l'examen clinique et constitue un outil d'approfondissement professionnel, de développement de la relation médecin-patient et d'enrichissement personnel. Sa pratique paraît renforcer la fonction du médecin généraliste au sein du système de soin et participe à optimiser la prise en charge de situations cliniques en ville. L'intégration de l'échographie à la médecine générale pourrait améliorer l'accès aux soins. Enfin, l'échographie représente un outil d'avenir en soins primaires. Les formations sont de formats et durées hétérogènes. Les difficultés évoquées sont principalement liées à la formation, à l'aspect économique et à la nouveauté de la pratique. Discussion : Exercer en groupe facilite l'intégration de l'échographie dans la pratique du médecin généraliste, qui nécessite toutefois l'accord de ses collègues. Les médecins semblent s'orienter vers une pratique ciblée pour laquelle il n'existe actuellement pas de cotations. L'investissement financier est relativisé au regard de l'intérêt pour la pratique. L'échographie est pertinente dans le dépistage et la prévention, ainsi que dans différentes situations cliniques décrites dans la littérature. Elle a une répercussion sur la prise en charge des patients. L'intérêt pour l'échographie est communicatif ; une formation plus adaptée et accessible aux médecins généralistes est souhaitée. Les difficultés rencontrées sont surmontables et partagées à travers le globe. Conclusion : Cette étude présente les différents facteurs de motivation à l'initiation, au maintien et à l'entretien de la pratique de l'échographie en médecine générale, en Loire-Atlantique et Vendée. D'autres études permettraient d'établir une formation universitaire adaptée à la médecine générale et pourraient évaluer l'impact de cette pratique sur les prises en charge des patients, ainsi qu'en étudier la répercussion économique à l'échelle du système de soins. Face à l'engouement international, et la multiplication de l'intérêt pour ce sujet en France, allons nous assister à une démocratisation de l'échographie en médecine générale ?
Author: Bachra Mouelhi
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Languages : fr
Pages : 0
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Introduction : l'échographie en médecine générale est un sujet récent et les études adaptées à sa pratique dans ce domaine sont rares. Pourtant, la formation des généralistes à cet outil semble représenter un enjeu majeur. Une liste d'articles ciblés et commentés semble être une ressource externe pertinente à utiliser et permettrait de renforcer les compétences du médecin généraliste. L'objectif de cette étude est donc d'illustrer par une bibliographie commentée l'intérêt de l'échographie en médecine générale. Matériel et méthode : une recherche bibliographique a été réalisée entre août 2017 et février 2019 utilisant les bases de données Medline, Cochrane Database, Sudoc, Google Scholar, Cismef et certains sites et livres de référence. Pour chaque problématique échographique, un article a été choisi et résumé. Les critères d'inclusion étaient de répondre aux besoins du médecin généraliste, de présenter une date de publication la plus récente possible et de figurer dans une revue d'impact factor le plus élevé possible. A la suite du résumé, l'ensemble de la recherche bibliographique initiale a été mise à profit pour élaborer commentaires et messages ciblés pour la pratique du médecin généraliste. Résultats : 37 problématiques correspondant aux situations cliniques les plus pertinentes auxquelles le médecin généraliste peut être confronté ont été retenues. 40 articles sur 324 références bibliographiques ont été résumés et commentés. Conclusion : l'échographie améliore la prise en charge des patients par sa rapidité d'exécution et son innocuité. Ce recueil d'articles s'inscrit dans une volonté de faciliter le recours à l'échographie en médecine générale et d'optimiser la pratique des généralistes échographistes. La recherche bibliographique réalisée confirme le manque d'études sur sa pratique en médecine générale. A l'image de nombreux pays européens, l'échographie tend à se développer c'est pourquoi la poursuite de travaux de recherche spécifiques à la médecine générale est indispensable.
Author: Romain Fouchard
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Languages : fr
Pages : 62
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Contexte : L'échographie est une technique d'imagerie non invasive utilisée par les radiologues, mais aussi quotidiennement en consultation par de nombreuses spécialités. Bien que sa pratique soit possible en médecine générale, et quedes formations existent, elle reste anecdotique en consultation de soins primaires. Elle serait une aide majeure à la prise en charge du patient dans certaines situations. L'objet de notre étude était d'approfondir les freins au développement de cette pratique en médecine générale. Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude qualitative par entretiens semi-dirigés en face à face auprès de 10 médecins généralistes, la saturation ayant été obtenue au huitième. Résultats : L'intérêt du développement de cette pratique ne semble pas une évidence. Les délais d'obtention d'un examen d'échographie sont jugés satisfaisants, ne faisant pas ressentir le besoin de ce type d'équipement. L'acquisition des compétences nécessaires est jugée comme un prérequis indispensable, mais les besoins et possibilités de formation sont méconnus et semblent rédhibitoires. Les aspects logistiques et financiers sont flous et source d'interrogations quant à la rentabilité en libéral. L'absence de cadre défini ne permet pas d'imaginer spécifiquement la place de l'échographie en médecine générale. Faute d'un champ d'application suffisamment délimité avec des indications précises, elle est considérée souvent comme un examen complémentaire qui serait réalisé par le médecin généraliste à la place du radiologue, et non pas comme un prolongement de l'examen clinique. Conclusion : La réflexion sur le développement de la pratique de l'échographie en cabinet de médecine générale doit encore être poussée pour envisager un développement plus large. Il existe des réticences. 11 faudrait en préciser les indications, les besoins techniques et la place dans le parcours de soins pour permettre de définir une formation adaptée
Author: Thomas Blanchet (auteur en médecine).)
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Languages : fr
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La pratique de l'échographie en cabinet de médecine générale est peu répandue en France. Le but de cette étude était d'identifier les obstacles à la pratique de l'échographie dans les cabinets de médecine générale et de comprendre pourquoi elle était si peu pratiquée par les généralistes français. Une enquête qualitative a été réalisée auprès d'un échantillon hétérogène de généralistes de Savoie et de Haute-Savoie, pratiquant ou non l'échographie. Des entretiens individuels et collectifs ont été réalisés après constitution d'un guide d'entretien. Ils ont été retranscrits puis codés à deux en respectant la règle de la triangulation. Le logiciel N'vivo a été utilisé pour le codage et le classement des données. Notre étude a conduit à identifier des obstacles qui portaient sur la difficulté à maîtriser la technique de l'échographie, le manque d'expérience de l'échographie en médecine générale, la place incertaine de l'échographie dans l'activité du médecin généraliste, des réticences liées à la sensibilité personnelle du médecin et le risque médico-légal. Un enseignement de connaissances élémentaires en matière d'échographie pendant les études médicales permettrait d'apporter une meilleure information aux futurs médecins généralistes et une certaine familiarisation avec cette technique d'imagerie, leur ouvrant ainsi la possibilité éventuelle de se l'approprier. La création d'un diplôme spécifique pour les médecins généralistes pourrait être discutée. Des études françaises devraient être réalisées dans l'avenir, afin de préciser l'intérêt et la place de l'échographie dans l'exercice de la médecine générale.
Author: Adrien Sejean
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Languages : fr
Pages : 132
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Author: Thomas Pebre
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Languages : fr
Pages : 156
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Introduction : L’échographie est un examen non invasif, non irradiant et peu cher. Sa pratique en soins primaires se développe dans de nombreux pays autre que la France. Objectifs : L’objectif principal était de mettre en évidence un profil type de médecin généraliste pratiquant l’échographie en Haute-Normandie. Les objectifs secondaires étaient de connaitre les réticences des généralistes au développement de cette technique d’imagerie et de proposer des solutions pour y remédier. Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle descriptive transversale réalisée à l’aide d’un questionnaire auto-administré chez l’ensemble des généralistes haut-normands. Résultats : 45 médecins inclus, 7 pratiquent l’échographie soit 16%. Exercer en milieu rural et à distance des cabinets de radiologie favorisent la pratique. Les principaux freins exposés sont : la formation, l’information, les frais engendrés et le manque de temps. Conclusion : L’échographie peut devenir un outil important en médecine générale pourtant elle ne progresse pas en France autant qu’ailleurs. Les solutions primordiales pour augmenter cette pratique sont l’information des généralistes concernant les formations possibles, les coûts des différents appareils et les cotations d’une part. La pratique en groupe avec une réorganisation de la pratique quotidienne d’autre part.
Author: Anne-Sophie Balanche
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Languages : fr
Pages : 137
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Book Description
Introduction : annoncé comme le stéthoscope du XXIème siècle, l'échographe attire de nombreux médecins et intègre les possibilités diagnostiques des omnipraticiens. L'objectif de ce travail était de recueillir les impressions de ces médecins généralistes qui se sont lancés dans une formation récente à l'échographie et qui doivent se confronter à sa mise en place. Matériel et méthode : onze entretiens semi-dirigés ont été retranscrits auprès de médecins généralistes libéraux, exerçant en Franche-Comté, devenus échographistes depuis peu. Une analyse qualitative en double codage axial de Verbatim a été réalisée et a permis de créer un arbre de concepts. Résultats : l'évolution des pratiques en médecine générale permet d'inclure l'échographie comme un moyen technique médical fondamental grâce à son service médical rendu. Les médecins généralistes disent améliorer leur pratique et utilisent une nouvelle compétence auprès de leurs patients. Des indications dites de soins primaires ont déjà été identifiées. L'échographie ou l'échoscopie permet de répondre à des questions diagnostiques binaires, réduisant l'incertitude diagnostique : la sécurité des soins en est meilleure, le parcours de soins diminué. Des outils financiers et logistiques sont utilisés par ces médecins pour rendre cet exercice moins contraignant. Nos médecins généralistes entreprennent des actes d'imagerie tout en connaissant leurs limites. Ils considèrent que la médecine générale va devoir dorénavant composer avec ces instruments technologiques, ceci rehaussant l'attrait pour le métier en ouvrant de nouveaux horizons. Cependant, les formations demandent un investissement en temps important. Les institutions ne s'accordent toujours pas. laissant le médecin généraliste échographiste isolé et cela impactant sur le système de soins français. Conclusion : insidieusement, les médecins généralistes s'approprient l'échographie. Les médecins sont désireux de clarifications et espèrent l'intégration d'une formation de qualité dans le cursus de l'internat. Un rapprochement avec les sociétés savantes d'imagerie médicale permettraient certainement une avancée dans la mise en commun de cet outil.
Author: Mélodie Gaumont-Darcissac
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Languages : fr
Pages : 0
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Book Description
Introduction : l'échoscopie est un outil clinique très utile en cabinet de médecine générale, permettant une amélioration de la pratique professionnelle. Il n'y avait à ce jour pas de formation dédiée aux internes de médecine générale (IMG). Objectif principal : proposer un enseignement des bases de l'échographie rattaché au Diplôme d'études spécialisées (DES) de Médecine Générale à La Réunion. Matériel et méthode : il s'agissait d'une étude interventionnelle, réalisée auprès des internes motivés, inscrits en DES de Médecine générale à La Réunion. Le critère de mesure de l'intervention était l'acquisition de nouvelles connaissances. Résultats : 39 internes étaient inscrits en juillet 2022. Motivation principale (90 %) : « performances diagnostiques, écarter les urgences, mieux orienter ». Les fiches pédagogiques ont été élaborées à partir de quatre supports, et reprenaient les notions principales à maitriser pour débuter. Trois journées de formation, théorique et pratique, étaient proposées en phase 1. Progression des notes entre les questionnaires « pré » et « post » : 6,84 à 12,82/17. La formation a répondu aux attentes de 97,1 % des participants. La phase 2 « consolidation » était mise en place pour les 6 mois suivants sous forme d'ateliers pratiques mensuels. Conclusion : l'enseignement mis en place a permis une amélioration des connaissances en échographie des IMG. L'échographie peut s'inscrire dans la lignée des nombreux outils mis à disposition du médecin généraliste, à condition d'y être formé. Nous avons voulu apporter aux internes des clés vers une autonomie progressive avec l'outil échographique, afin de renforcer leur confiance en leur pratique et leur permettre d'envisager sereinement leur exercice futur.
Author: Eugénie Gambier
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Languages : fr
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Book Description
Introduction : La pratique de l'échographie dans les soins primaires et en médecine générale montre un intérêt diagnostic essentiel. Elle a l'avantage d'être un examen peu coûteux et non irradiant. La pratique de l'échographie commence à se démocratiser chez les médecins généralistes en France. Mais la pratique des médecins généralistes à La Réunion a elle été changée après formation à l'échographie et acquisition d'un échographe au cabinet ? L'objectif de notre étude était d'explorer la modification des représentations et de la pratique des médecins généralistes après formation à l'échographie et acquisition d'un échographe au cabinet. Méthode : Étude qualitative qui utilisait le principe de l'analyse inductive générale par entretien individuel semi dirigé chez dix médecins généralistes universitaires à la Réunion après formation à l'échographie et acquisition d'un échographe au cabinet. Résultats : Pour l'ensemble des médecins généralistes interrogés, leur pratique a été changée. Elle n'a pas changé leur examen clinique mais était perçue comme le prolongement de leur examen. Elle a modifié la relation médecin-patient. L'échographie leur permettait d'être plus complet dans leur prise en charge. Elle demandait des changements organisationnels. L'échographie modifiait leur conduite en tant que médecin dépisteur. La formation apportait les bases nécessaires afin de se lancer dans l'échographie et permettait de lever les appréhensions. Elle demandait une autoformation par la suite.L'échographie était un outil utile, un plaisir personnel et un outil pédagogique non négligeable. Conclusion : L'échographie a modifié la pratique et la perception des médecins généralistes à La Réunion.
