Author: Paul Curbilie
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Languages : fr
Pages : 196

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Le média Internet est présent dans les trois quarts des cabinets de médecins généralistes en France. 55% d'entre eux déclarent se connecter à des sites de bases de données au moins une fois par jour. Mais Internet se caractérise par son hétérogénéité et sa masse d'informations en perpétuelle évolution. La qualité des sources est très inégale et pose un problème de fiabilité. D'autre part, l'accès à l'information peut être complexe pour l'exercice du généraliste au quotidien. Nous proposons de réaliser un état des lieux des outils en ligne francophones d'aide à la décision médicale. Ils seront valides, répondront à l'utilisation d'internet dans le cadre de la consultation de médecine générale. La recherche des outils se fait par des métamoteurs généralistes, dans des annuaires médicaux déjà constitués, mais aussi grâce aux données du répertoire francophone médical de référence: le CISMeF. La sélection des sites repose sur l'utilisation d'une grille de critères garantissant la validité des données présentées au médecin et leur accessibilité. Le résultat de notre travail est un répertoire d'outils classés par thème, par usage et qui peuvent constituer une liste de favoris fiables et utilisables facilement en consultation.

Author: Marc-Antoine Boillot
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Languages : fr
Pages : 0

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Introduction : Les systèmes d'aide à la décision médicale en ligne (SADM) sont devenus une ressource importante pour les professionnels de la santé et les patients. Ces sites fournissent des informations et des recommandations sur les traitements médicaux, les diagnostics et les options de gestion des maladies. Nous avons souhaité examiner leur utilisation par les médecins généralistes en Franche-Comté. Matériels et méthodes : étude descriptive transversale menée auprès des médecins généralistes de Franche-Comté à l'aide d'un questionnaire en ligne. 12 SADM ont été analysés en utilisant la charte qualité des outils internet d'aide à la décision clinique proposée par le Département de médecine générale de Paris Diderot. Les médecins étaient également interrogés sur l'utilité perçue et sur les atouts et les limites en pratique professionnelle. Résultats : les SADM figurent parmi les supports de recherche d'information privilégiés et ont réduit ou n'ont pas affecté la durée des consultations pour 77% des médecins interrogés. Les médecins les plus jeunes étaient plus enclins à utiliser les SADM et ont signalé une durée de consultation non modifiée ou raccourcie, contrairement aux médecins plus âgés qui ont plutôt perçu une augmentation du temps de consultation. Les médecins de sexe masculin étaient également plus enclins à considérer les SADM comme chronophages. Discussion : dans l'ensemble, cette étude a mis en évidence que les SADM étaient largement utilisés par les médecins généralistes de Franche-Comté, mais qu'il existait encore des limites à leur utilisation, notamment en raison d'un manque de connaissance des outils disponibles. Des stratégies de sensibilisation adaptées, la création d'un répertoire de SADM et d'un label de qualité de l'information en santé pourraient faciliter l'utilisation de ces outils en pratique clinique par les professionnels de santé.

Author: Abdelouhab Ghazli
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Languages : fr
Pages : 54

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Introduction. Devant l'évolution de la médecine mobilisant des connaissances pléthoriques mises à jour de manière perpétuelle, le médecin généraliste se doit d'être performant et polyvalent. Cette évolution du soin s'accompagne d'une informatisation des cabinets de médecine générale et de l'apparition de nombreux d'outils d'aide à la décision. Quelle utilisation réelle de ces outils fait le médecin généraliste dans sa pratique quotidienne ? Méthode. Une étude qualitative, semi dirigée de septembre 2020 à janvier 2021 a été réalisée auprès des médecins généralistes de la Loire. Résultat. Les outils d'aide à la décision sont utilisés par les médecins généralistes comme outils de partage avec le patient et également comme justificatifs lors de décisions divergentes avec d'autres professionnels de santé. Ces outils sont une manière pour les médecins de mettre à jour leurs connaissances. L'accès immédiat et continu à une information de qualité simplifie le quotidien du praticien, grâce à leur fluidité ils s'intègrent aisément dans la consultation s'ils sont bien maitrisés. La décision partagée qu'ils offrent avec le patient améliore la relation perçue soigné-soignant. L'angoisse du défaut de connaissance est mise à distance et le médecin s'en trouve plus à même de se centrer sur le patient et la relation de qualité avec celui-ci. Discussion. L'usage des outils d'aide à la décision est d'autant plus pertinent que la médecine générale est une spécialité aux connaissances multiples et variées. Ces outils limitent l'incertitude en consultation et contribuent à la formation continue des médecins. Ils ne peuvent en rien remplacer le médecin, impliqué dans une relation forte et singulière avec les patients. Plus avant, au service du médecin, les outils font aujourd'hui partie intégrante des consultations de médecine générale et peuvent se mettre au service d'une décision partagée avec le patient.

Author: Charlotte Lecomte
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Languages : fr
Pages : 80

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Résumé : Introduction : L'accès à internet s'est développé ces dernières années et ne cesse de s'accroître. Cette tendance s'observe également dans les recherches sur internet en matière de santé. Un retentissement sur l'exercice de la médecine et la demande de soins en général est inévitable, cependant, les effets attendus ne sont pas encore certains. L'objectif principal de cette thèse est de déterminer si la recherche sur internent avant une consultation pour un autodiagnostic modifie le délai de consultation des patients en médecine générale. Méthode : Étude descriptive, prospective, multicentrique réalisée auprès de patients consultant en médecine générale en Ile de France par l'intermédiaire d'un questionnaire. Résultat : Nous avons inclus 465 patients sur une période de 2 mois, 266 (57%) des patients avaient consultés internet pour un autodiagnostic avant leur consultation. Parmi ces 266 patients, 146 (55%) des patients ont modifié leur délai de consultation, 134 (50%) des patients ont avancé leur consultation, 12 (5%) ont retardé leur consultation et 120 (45%) des patients n'ont pas modifié leur délai de consultation. Notre étude n'a pas permis de mettre en évidence des facteurs influençant cette modification du délai de consultation suite aux recherche sur internet. Conclusion : Notre étude suggère d'une part que ces recherches n'entraînent probablement pas de retard de prise en charge, ce qui devrait rassurer les médecins généralistes quant aux risques de l'autodiagnostic sur internet, et d'autre part, que le médecin généraliste reste l'interlocuteur privilégié pour leur santé, internet leur permettant d'accéder à un savoir qui les place au centre des décisions médicales les concernant.

Author: Djazila Belghoula Haddadi
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Languages : fr
Pages : 114

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Les systèmes d'aide à la décision médicale sont des outils qui peuvent intervenir à toutes les étapes de la chaine de décision. Les plus simples permettent un accès simple et rapide aux recommandations de bonnes pratiques cliniques dont le nombre est très important et ne cesse de croitre. Les plus évolués sont des systèmes experts capables de produire un raisonnement. Nous avons réalisé une étude quantitative, descriptive et transversale, pour dresser un état des lieux de l'utilisation de ces outils. Cette étude a également permis d'identifier les motivations, les obstacles et les mesures à mettre en place qui influenceraient leur diffusion. 645 médecins français ont répondu à un questionnaire électronique anonyme sur la connaissance et l'utilisation de quatre types de SADM. Parmi les principaux résultats, en fonction du type de SADM, entre 2 et 5 médecins sur 10 ne les connaissent pas. Ceci montre la nécessité de créer un portail dédié aux SADM.La principale motivation de la majorité des médecins qui les pousserait à utiliser des SADM est l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins. Parmi les principales mesures attendues par les praticiens, il y a (i) l'intégration des SADM aux logiciels médicaux, (ii) une bonne ergonomie de leur interface graphique dont le contenu et les alertes seraient paramétrables, (iii) une co-labellisation par la HAS, et (iv) une introduction des SADM dans le cursus de formation des médecins. D'autre part, l'absence d'incitation financière n'est pas considérée comme un « obstacle majeur » par la majorité des praticiens.Enfin, une feuille de route a été proposée pour favoriser le développement et la diffusion des SADM en France.

Author: Manon David Muller
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Languages : fr
Pages : 0

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Introduction : en 2022, les étudiants en médecine doivent maîtriser 362 items pour l'ECN. Les données médicales doublent tous les deux mois et demi environ. Or le médecin généraliste doit savoir traiter toutes sortes de pathologies en un temps limité. Exercer en appliquant les dernières recommandations de bonnes pratiques est un défi pour tout praticien. Le médecin généraliste se doit d'entretenir et perfectionner ses connaissances. Dans ce contexte d'évolution permanente des connaissances médicales, et à l'heure de l'omniprésence des nouvelles technologies et d'Internet, de nombreux systèmes d'aide à la décision médicale (SADM) ont vu le jour ces dernières années. L'objectif de cette étude était d'étudier les représentations, expériences et attentes des médecins généralistes concernant l'utilisation des systèmes d'aide à la décision médicale en consultation. Matériel et méthode : une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été menée d'avril 2021 à mars 2022 auprès de médecins généralistes libéraux du Var et des Bouches-du-Rhône. Les entretiens individuels ont été conduits par les deux enquêtrices à l'aide d'un guide d'entretien qualitatif. L'analyse des données s'est inspirée de la théorisation ancrée et le traitement des données a été réalisé selon un processus inductif itératif. Le double codage des données a permis une triangulation de l'analyse. Résultats : les résultats ont montré que l'usage des SADM, bien que fréquent, restait assez limité. Leur manque d'adaptation à la pratique, la perte de temps occasionnée par leur usage, ou encore l'ignorance de leur existence expliquait ce constat. Les principales qualités appréciées et requises par les généralistes pour un bon SADM était la rapidité d'utilisation, afin qu'il puisse être utilisé dans le temps de la consultation, mais aussi la clarté des informations et l'actualisation des données. Les praticiens semblaient suggérer qu'un outil unique, mis à jour, fiable, et présenté sous forme d'arborescences décisionnelles pourrait leur permettre d'accroître leur usage des SADM. Conclusion : les médecins, bien que conscients de l'assistance que pourraient leur offrir les SADM en les aidant à améliorer et sécuriser leurs pratiques (grâce à l'application des dernières recommandations), ont tout de même du mal à modifier leurs habitudes. La réalisation d'un SADM répondant à leurs attentes et sa mise à l'épreuve serait intéressante, afin d'évaluer si un gain en santé pour le patient et un bénéfice économique pour le système de santé s'en suivraient. Le cas échéant, cela serait sans doute une motivation à l'utiliser au quotidien.

Author: Pierre-Antoine Crespin
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Languages : fr
Pages : 164

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Introduction : Internet est devenu une source d'informations majeure utile à la prise de décision des médecins généralistes. La diversification des systèmes d'aide à la décision médicale a mené au développement de nombreux Outils en Ligne d'Aide à la Décision (OLAD) référencés sur le portail Web KitMédical®. Aucune mesure de certification de la qualité de ces outils n'est en vigueur actuellement. L'objectif de notre étude était de déterminer la proportion d'OLAD répondant à un ensemble de critères de qualité essentiels. Méthode : Nous avons réalisé une étude descriptive transversale auprès des OLAD référencés par KitMédical® en date du 4 juin 2019. L'évaluation a été menée après élaboration d'une grille synthétique composée des sept critères transversaux les plus représentés parmi quinze référentiels de qualité existants : identité, datation, sources, révélation, professionnalisme, description et relecture. Ces critères d'évaluation binaires permettaient d'établir un score sur 7 pour chaque OLAD. Le critère de jugement principal correspondait au nombre d'OLAD obtenant un score maximal de 7/7. Ce groupe a ensuite été comparé au reste de l'échantillon (Score

Author: Alicia Poiron
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Languages : fr
Pages : 0

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Introduction : Internet prend une place croissante dans la pratique des médecins généralistes en France. En consultation, les médecins ont besoin d'une information validée, mais surtout triée et adaptée à un patient donné. Dans ce contexte, les sites d'aide à la décision médicale (SADM) se développent depuis plusieurs années. Aucun dispositif de certification n'est validé en France pour évaluer la qualité de ces sites. L'objectif de notre étude était d'élaborer une grille de critères qualité évaluant les SADM et d'étudier sa fiabilité via le calcul d'un score kappa. Méthode : Nous avons réalisé une étude descriptive transversale en utilisant les SADM référencés sur la plateforme Kitmédical®. A partir d'une première liste de critères qualité issue d'une revue de la littérature internationale, une grille de 35 critères qualité a été élaborée. Nous avons ensuite évalué individuellement les SADM inclus dans notre étude avec cette grille actualisée. Afin d'étudier la fiabilité de cette grille, nous avons enfin calculé un score inter-juge kappa pour chaque critère. Le critère de jugement principal de notre étude correspondait à la proportion de critères qualité ayant au moins une reproductibilité inter-juge dite moyenne soit un score kappa = 0,41. Résultats : 13 critères avaient au moins une reproductibilité inter-juge dite moyenne soit un score kappa = 0,41 sur les 28 critères évaluables, soit 46 %. Le score kappa n'était pas calculable pour 7 critères car il n'existait aucune variabilité dans nos réponses. Les trois critères les plus respectés par les SADM évalués étaient : le critère n°6 : “L'objectif est pertinent”. Le critère n°16 : “Vocabulaire adapté au public”, le critère n°33 : “Facilité d'utilisation”. Conclusion : Ce travail a mis en avant les éventuelles améliorations à apporter aux critères afin d'en garantir la qualité. L'objectif de futurs travaux serait de restructurer et de valider cette grille qualité grâce à l'avis d'un groupe d'experts. Nous pensons que la création d'un label ou la mise en place d'une certification officielle est indispensable.

Author: Marie Campot
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Languages : fr
Pages : 123

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Introduction : : La polypathologie et son corollaire, la polymédication, représentent un enjeu de santé publique. En médecine générale, optimiser les ordonnances des patients de 75 ans ou plus est une préoccupation quotidienne des praticiens. L'outil STOPP/START v.2 informatisé est un outil d'aide à la prescription accessible aux médecins généralistes. L'objectif de notre travail était de recueillir leur ressenti sur l'utilisation de cet outil. Matériel et méthodes : Étude qualitative par analyse thématique d'entretiens semi-dirigés réalisés auprès des médecins gardois investigateurs de l'étude TAPAGE. Résultats : Neuf entretiens réalisés dans cette étude, entre février et mai 2019, ont permis de définir le contexte du renouvellement de traitement des patients de 75 ans ou plus en médecine ambulatoire et de faire un état des lieux des outils déjà utilisés par les médecins. La pertinence, théorique et pratique, de l'outil STOPP/START v.2 informatisé a été évaluée et des améliorations nécessaires à la généralisation de son utilisation ont été déterminées. Nous avons pu souligner la complexité d'une consultation de renouvellement de traitements chez les patients âgés de 75ans ou plus, et mettre en évidence les points forts et les faiblesses de l'outil. Discussion : Nous avons établi que, pour la plupart des médecins interrogés, l'outil est globalement pertinent même si son versant pratique pourrait être revu et amélioré. Pour encourager son utilisation et favoriser sa diffusion, il est indispensable de prévoir son intégration au logiciel métier. Conclusion : Cette étude a permis de montrer l'intérêt que portent les médecins généralistes à l'utilisation de cet outil dans leur pratique quotidienne, pour l'édition des ordonnances mais surtout pour la révision du dossier médical et pour l'amorce d'un dialogue médecin-patient afin de le convaincre du bien-fondé des choix thérapeutiques.

Author: Marjorie Vivo
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Languages : fr
Pages : 0

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Introduction : La décision médicale partagée est le fruit d'une évolution multifactorielle dans le temps qui a abouti au modèle de décision médicale partagée. La définition de la décision médicale partagée comprend au minimum : l'échange d'information entre le médecin et le patient, la délibération et la décision commune. L'objectif de notre travail était de faire un état des lieux des pratiques de la décision médicale partagée en médecine générale en 2014. Méthode : Nous avons réalisé une enquête qualitative, descriptive par entretiens semi-dirigés en focus groupe dans les départements des Alpes-Maritimes et du Var entre juin et septembre 2014. Les focus groupes étaient enregistrés de manière anonyme et ont été retranscrit en verbatim puis analysés à l'aide du logiciel Nvivo.Résultats : 17 participants ont été inclus en 3 focus groupes. Nous avons recueilli de nombreuses expériences dont la définition de la décision médicale partagée selon nos participants. Le rôle primordial du patient dans la décision médicale partagée a été mis en avant. L'éthique et le respect des différences de chacun ont été mentionnés par nos participants. Le consensus de la décision médicale partagée a été signalé et le caractère asymétrique de la relation médecin-patient aussi soulevé. Nous avons retrouvé la notion de degré de partage avec une décision médicale partagée qualifiée comme étant sur « différents niveaux ». Nous avons identifié des facteurs qui peuvent influencer la décision médicale partagée classé en trois catégories : liés au médecin, liés au patient et liés à la situation. Conclusion : La décision médicale partagée est un modèle relationnelle qui doit faire partie de la panoplie du médecin mais ne doit pas en être le seul modèle et ne doit pas être imposé dans la relation médecin-patient. Elle nécessite une adaptation de chaque instant de la part du médecin.