Prothèses totales de genou NK2® sans resurfaçage rotulien. Résultats cliniques et radiographiques à long terme. Facteurs d'échec fémoro-patellaires PDF Download
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Author: Joël Scalici
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Languages : fr
Pages : 298
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Author: Joël Scalici
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Languages : fr
Pages : 298
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Author: Nicolas Jan
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Languages : fr
Pages : 230
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Les prothèses totales de genou HLS II qui ont fait l’objet d’études cliniques rétrospectives à court terme dans notre institution montraient un bon résultat clinique, un faible taux de reprise mais des complications fémoro-patellaires plus fréquentes. Afin de confirmer ces hypothèses, nous rapportons les résultats à long terme d'une étude monocentrique comparative rétrospective non randomisée entre 2 séries de cas continus de prothèse totale de genou postérostabilisée par un 3ème condyle, avec resurfaçage patellaire, toute indication confondu : la série HLS II à 20 ans de recul (103 implants, 92 patients) versus la série HLS EVOLUTION à plateau fixe à 14 ans de recul (121 implants, 115 patients). Les taux de survie sans reprise sont estimés par la méthode de Kaplan-Meier. Au recul nous avons pu revoir respectivement 26 versus 65 patients (évaluation clinique et radiologique, ou questionnaire téléphonique). En cas de décès, nous avons pu statuer sur la reprise pour 31 versus 25 patients. Les taux de survie sans reprise sont de 90,3 % (+/- 0,066) à 20 ans et de 95,0% (+/- 0,061) à 14 ans. (p = 0,576). Afin de comparer ces résultats aux registres nationaux les taux cumulés de reprise à 10 ans sont de 5,21% (+/- 0,028) et de 5,0 % (+/-0,025). Cependant 27 % des cas ont présenté au moins une des complications définies par la Knee Society. Le taux cumulé de complications fémoro-patellaires ne montre pas de différence significative entre les deux séries : 10.5% à 20 ans vs 6.2% à 14 ans (+/- 0.067) (p= 0.955 log-rank). Les caractéristiques préopératoires des groupes montrent des différences significatives. Les patients restent satisfaits de l’opération tout au long du suivi (88 % vs 96,5 %). Le taux de survie sans reprise est le témoin de la fiabilité de l'implant dans le temps. Ces taux sont comparables aux taux moyens observés dans les Registres nationaux australien et suédois à 10 ans.
Author: Léopold Joseph
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La cinématique fémoro-patellaire joue un rôle primordial dans le résultat des prothèses totales de genou (PTG). Certains facteurs comme la rotation fémorale ou la libération latérale ont été décrites comme déterminante pour améliorer la course rotulienne. Cependant, l'influence de la taille du bouton rotulien reste inconnue. Le but de cette étude est d'évaluer l'effet des paramètres per opératoires sur la bascule rotulienne et notamment la taille du bouton rotulien. L'hypothèse était qu'un large bouton rotulien permettrait de réduite la bascule patellaire. Il s'agit d'une étude rétrospective monocentrique analysant une série de 878 PTG avec resurfaçage patellaire inclues entre Janvier 2015 et Octobre 2018. Les patients ont été répartis en deux groupes : rotule basculée (RB) et rotule non basculée (RNB) selon les mesures radiographiques réalisées à un an post-opératoire. L'analyse principale a recherché l'influence des paramètres fémoro-patellaires per-opératoires (taille du bouton rotulien, rotation fémorale, antériorisation fémorale, épaisseur de résection patellaire et section d'aileron externe) sur la bascule rotulienne selon une analyse multivariée. L'analyse secondaire comparait les résultats cliniques et le taux de reprises chirurgicales entre les deux groupes. L'analyse multivariée a montré que pour chaque augmentation de taille de bouton rotulien le risque de bascule patellaire diminuait de 37% (p
Author: Paul Maisongrosse
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Introduction : Les reprises de prothèses totales de genou sont des interventions dont le nombre d'indication va augmenter au cours des prochaines décennies. L'objectif de cette étude était d'évaluer les résultats cliniques et radiologiques des reprises de PTG quelque soit l'étiologie et d'identifier des facteurs favorisants les résultats. Matériel et méthode: Entre le 01 janvier 2001 et le 31 décembre 2011, 90 patients ont été opérés dans le service de chirurgie orthopédique de l'hôpital Purpan à Toulouse pour une révision de PTG. Les critères d'inclusion étaient les suivants: reprise chirurgicale majeure (partielle ou totale), 2 ans de recul minimum, révision mécanique et septique. Le recul moyen de suivi clinique était de 70 mois. 70 patients ont pu être évalués cliniquement et radiologiquement (9 patients décédés, 11 patients perdus de vue). Notre série se composait de 2 groupes, l'un concernant les reprises dans un contexte " septique " de 32 patients, l'autre " mécanique " de 38 malades. Résultats : Les résultats sont assez similaires en terme de résultats fonctionnels entre les groupes septique et mécanique avec néanmoins un taux de reprise chirurgicale suite à des complications significativement supérieur dans le groupe septique (59%) par rapport au groupe mécanique (18%). Concernant la série septique, le taux final de guérison est de 24 malades sur 32, soit 75%. Le score IKS est significativement amélioré, passant de 88 à 129. Dans la série des reprises mécaniques 29 patients sur 38 ont présenté une amélioration des scores fonctionnels sans complication nécessitant une reprise chirurgicale (76%). Le score IKS est significativement amélioré en passant de 97 à 131 en postopératoire. Cette étude retrouve qu'un IMC inférieur à 25 et des implants de type resurfaçage sont des facteurs favorisants de meilleurs résultats fonctionnels. Discussion : Les reprises de PTG permettent d'améliorer de façon significative les patients. Ces interventions ne sont pas sans risque et présentent un taux non négligeable de complications et de reprises chirurgicales itératives.
Author: Grégoire Sorin
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Languages : fr
Pages : 110
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Contexte : il existe peu de données sur les facteurs influençant la survie des implants et sur les résultats fonctionnels à long terme des reprises de prothèse totale de genou (RPTG). Objectifs : l'objectif principal était de déterminer les facteurs influençant la survie des implants à long terme après RPTG. Les objectifs secondaires étaient d'analyser les résultats cliniques et radiologiques en fonction du type d'implant et des étiologies de reprises. Matériel et méthode : 120 RPTG de différents modèles ont été opérées au CHU de Caen entre 2000 et 2009 pour des motifs aseptiques. 3 modèles de prothèses étaient comparés : la Jade, la Wallaby III et la Guépar. Résultats : le suivi moyen était de 8,2 ans pour les résultats cliniques (n=97) et de 7,7 ans pour la survie (n=117). 18 reprises itératives avec changement des implants ont été effectuées. Le taux d'infections était de 5,8 %. La survie était de 81,8% à 10 ans. La raideur comme étiologie de reprise augmentait le risque de reprise itérative. Les scores fonctionnels et la flexion étaient meilleurs à 10 ans qu'en pré opératoire (p0,05) excepté dans le sous groupe raideurs et douleurs inexpliquées. Il n'y avait pas de différence de résultats fonctionnels ni de survie entre les 3 implants (p0,05). Les prothèses étaient mieux axées radiologiquement au dernier recul qu'en pré opératoire (p
Author: Damien Mondon
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Languages : fr
Pages : 158
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Les complications fémoro-patellaires sont responsables de la plupart des reprises chirurgicales après arthroplastie totale de genou. La prise en charge de la rotule dans l'arthroplastie de genou est à ce jour toujours controversée, aussi bien sur la décision du resurfaçage que sur le choix de la technique de resurfaçage. Il s'agit de l'étude rétrospective de 50 genoux chez 45 patients, portant sur l'analyse radiologique d'une technique de resurfaçage particulière utilisant un implant rotulien enfoui fixé sans ciment. Les patients ont tous été opérés entre janvier 1993 et décembre 1996. L'âge moyen était de 69 ans et le recul moyen était de 11,2 ans. Aucune PTG n'a été reprise pour une complication fémoro-patellaire isolée (survie = 100%). Le positionnement de l'implant est bon pour le centrage (70% d'implants correctement centrés) mais décevant pour la bascule (52% d'implants non basculés). L'épaisseur rotulienne a été conservée grâce à cette technique de resurfaçage. Les résultats sont également très satisfaisants, concernant la bascule (86% de rotules non basculées) et le centrage fémoro-patellaire (84% de rotules correctement centrées). Cependant, un taux élevé d'ostéolyse rotulienne a été mis en évidence (4 PTG sur 50) témoignant d'une mobilité de l'implant. Toutes les hypothèses posées par cette étude, dont le but était d'analyser cette technique de resurfaçage particulière, ont été respectées. Seule le résultat de la bascule de l'implant reste décevante, sans toutefois n'avoir d'influence sur la bascule fémoro-patellaire plutôt dépendante des erreurs de rotation des implants. Enfin le scellement systématique de l'implant rotulien pourrait limiter l'apparition de l'ostéolyse.
Author: Michaël Butnaru
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Languages : fr
Pages : 234
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Introduction : La prothèse totale de genou (PTG) est une chirurgie efficace avec plus de 560000 cas opérés chaque année en Europe. La douleur antérieure et l'instabilité fémoro-patellaire font partie des causes les plus fréquentei de reprise chirurgicale, indépendamment du resurfaçage patellaire. L'étiologie de cette douleur est encore à étudier mais les causes possibles sont la cinématique fémoro-patellaire anormale, la forme et la position de la patella. La prothèse HLS Kneetec® (Tornier-Corin, France) possède une trochlée fémorale à sulcus constant plus profonde, prévue pour accepter une patella en dôme. L'objectif principal de cette étude était de chercher une corrélation entre la forme de la patella, la congruence fémoro-patellaire et les scores cliniques après arthroplastie totale de genou sans resurfaçage patellaire. Matériel et Méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective de 100 genoux, par PTG sans ciment et sans resurfaçage patellaire. A 1 an de recul minimum, les mobilités et la cinématique fémoro-patellaire ont été évaluées. La douleur, les scores fonctionnel Forgotten Joint Score (FJS) et OKS (Oxford Knee Score) ont été mesurés. Une radiographie en défilé fémoro-patellaire a été réalisé pour mesurer les paramètres évaluant la position de la patella. Résultats : Les patellas étaient classées selon la classification morphologique de Wiberg. Le score OKS postopératoire (79 ± 14,4) était moins bon pour les patellas Wiberg type III (g = -11,4; p=0,020). La douleur antérieure (2 ± 2) était plus importante dans les genoux présentant le signe de la baïonnette (g = 2,8 ; p
