L'activité physique chez les diabétiques de type 2

L'activité physique chez les diabétiques de type 2 PDF Author: François Kazandjian
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Languages : fr
Pages : 442

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L'activité physique chez les diabétiques de type 2

L'activité physique chez les diabétiques de type 2 PDF Author: François Kazandjian
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Languages : fr
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Traitement du diabète de type 2 par l'activité physique

Traitement du diabète de type 2 par l'activité physique PDF Author: Caroline Forichon
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Languages : fr
Pages : 226

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La prévalence de l'obésité et du diabète de type 2 (DT2) augmente de manière dramatique dans le monde. La prévention et le traitement devraient passer par la diététique et l'activité physique (AP). Celle-ci diminue de 50% l'apparition du DT 2 chez des sujets à risque et abaisse de 0.6% l'HbA1c chez des sujets DT2 (programmes d'AP supervisés). Peu d'études ont suivi des sujets DT2 après un programme d'AP supervisée, et il s'agissait soit d'endurance, soit de résistance. Or l'AP combinée (endurance + renforcement musculaire) serait plus bénéfique chez ces sujets. Les objectifs de notre étude étaient doubles : 1) déterminer si des sujets DT2 sédentaires ayant bénéficié d'un programme de 4 mois d'AP combinée supervisée maintiennent par la suite un niveau d'AP plus élevé que celui qu'ils avaient avant le début du programme, et s'ils stabilisent ainsi le bénéfice obtenu sur l'équilibre glycémique (HbA1c) ; et 2) déterminer un seuil d'AP à domicile (durée, fréquence, intensité) permettant de maintenir les acquis sur l'HbA1c des 4 mois d'intervention active. Un programme d'AP supervisée a été mis en place au CHU de Clermont-Ferrand au printemps 2007. Le niveau d'AP (questionnaire de Baecke) et l'HbA1c des sujets DT2 en ayant bénéficié ont été suivis durant les 12 mois suivant la fin de ce programme. Chez les 15 sujets, à l'arrêt des 4 mois d'AP supervisée au CHU, le niveau d'AP est significativement augmenté et cette augmentation de l'AP se maintient durant les 12 mois de suivi à domicile. L'HbA1c diminue de 0.45% à la fin des 4 mois d'AP supervisée, puis diminue encore de 0.55% pendant 6 mois, soit presque 1% de baisse significative au 10ème mois. L'analyse détaillée de l'AP à domicile montre qu'après le programme d'AP supervisée, les sujets pratiquent en moyenne 30 minutes d'activité physique d'intensité modérée 5 jours par semaine. Ces résultats sont originaux et suggèrent que 30 minutes de marche 5 fois par semaine permettent de maintenir chez les DT2 les bénéfices d'une prise en charge supervisée par l'AP.

Evaluation de l’activité physique de patients diabétiques de type 2

Evaluation de l’activité physique de patients diabétiques de type 2 PDF Author: Thomas Dubuc
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Languages : fr
Pages : 270

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Introduction : La modification de notre mode de vie actuel est à l’origine de l’augmentation des principaux facteurs de risque de diabète de type 2. L’activité physique en tant que thérapeutique non médicamenteuse à part entière semble incontournable mais est encore beaucoup trop négligée. Objectif principal : Evaluer le niveau d’activité physique et de sédentarité de patients diabétiques de type 2 âgés de 18 à 75 ans consultant en médecine générale en Corrèze ou dans le service de diabétologie du CH Tulle (19). Méthode : Etude quantitative portant sur 90 patients inclus en consultation de médecine générale et de diabétologie entre septembre 2019 à janvier 2020. Evaluation de l’activité physique grâce à la version courte du questionnaire IPAQ. Résultats : L’Age médian de l’échantillon est de 67,5 ans, l’IMC médian est de 28 kg/m2 et l’HbA1c médiane est de 7,6 %. Le contrôle glycémique est par conséquent plus mauvais que celui de la population française de diabétique de type 2. De manière comparable à la population générale, 63 % de notre échantillon atteint les recommandations en termes d’activité physique. La marche est l’activité la plus pratiquée et est responsable de la principale dépense énergétique. Le niveau de sédentarité de l’échantillon est important avec 82 % déclarant un niveau ≪ modéré ≫ ou ≪ élevé ≫ et comparable à la population générale. Notre échantillon semble relativement bien informé (60 %) des effets bénéfiques de l’activité physique mais malgré tout une grande partie (48 %) déclare manquer de motivation. 78 % des patients pratiquent seuls et de façon non encadrée. Conclusion : Les patients diabétiques de type 2 sont encore trop sédentaires et inactifs. Les maisons sport-santé de par leurs objectifs et mode de fonctionnement représentent peut-être une solution intéressante pour améliorer les dépenses énergétiques des patients diabétiques de type 2 en mettant en contact les médecins et les patients avec les structures habilitées à encadrer l’activité physique adaptée.

Place de l'activité physique dans la prise en charge du diabète de type 2

Place de l'activité physique dans la prise en charge du diabète de type 2 PDF Author: Jean-Baptiste Cavey
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Languages : fr
Pages : 232

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Dans les pays industrialisés, l'évolution du mode de vie se traduit par un accroissement du travail sédentaire et des loisirs physiquement passifs. Il en résulte une augmentation de l'incidence de maladies cardiovasculaires dont le diabète de type 2. L'activité physique a des effets bénéfiques sur la santé en général, en particulier sur les maladies cardiovasculaires, l'obésité, la mortalité, les cancers et la santé mentale. Qu'elle soit pratiquée en loisir, en compétition mais aussi lors de tâches quotidiennes, l'activité physique montre des bénéfices en terme de prévention et de thérapeutique sur le diabète de type 2. Au niveau préventif, la pratique régulière d'une activité physique montre une diminution de l'incidence du diabète de type 2. Elle agit également sur les composantes de ce dernier, à savoir l'insulinorésistance, l'équilibre glycémique, mais aussi ses complications. Le pharmacien d'officine a évidemment un rôle important en matière d'éducation thérapeutique, de suivi des patients diabétiques afin de promouvoir la pratique régulière d'une activité physique.

Barrières à l'activité physique chez les diabétiques de type 2 en Auvergne

Barrières à l'activité physique chez les diabétiques de type 2 en Auvergne PDF Author: Sébastien Nado
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Languages : fr
Pages : 208

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L'incidence du diabète de type 2 (DT2) est en nette augmentation en France. Malgré l'effet bénéfique de l'activité physique (AP) sur cette pathologie et la parution de recommandations dans la littérature, la pratique de l'AP chez les DT2 reste faible. Les objectifs de l'étude étaient les suivants : déterminer s'il existe des barrières, d'une part, à l'activité physique chez les DT2, et d'autre part, à la prescription d'activité physique chez leurs médecins, dans la région Auvergne. Tous les médecins généralistes de la région Auvergne ont été contactés afin de savoir s'ils acceptaient de participer à l'étude. Ceux qui ont accepté ont reçu un questionnaire qui leur était destiné ainsi que 10 questionnaires à distribuer à leurs patients DT2. Nous avons utilisé le questionnaire BAPAD2 (Barrières à l'Activité Physique chez les Diabétiques de type 2) réalisé à partir du questionnaire BAPAD1 (Barriers to Physical Activity in Diabetes type 1) validé pour les diabétiques de type 1 (Dubé et al. 2006). 51 médecins ont participé à l'étude incluant 362 DT2. L'analyse du BAPAD2 montre qu'il existe peu de barrières à la pratique de l'AP chez les DT2 et à la prescription de l'AP chez les médecins de ces patients (scores respectifs : 2,96(+/-1,30)/7 et 2,25(+/-0,73)/7). Cependant, les 3 principales barrières identifiées sont identiques chez les diabétiques de type 2 et chez les médecins. De plus, les diabétiques ayant un score BAPAD2 élevé (c'est à dire un niveau de crainte élevé par rapport à l'AP) ont un profil qui se détache du reste de la population DT2 (AP faible, HbA1c élevée, craintes différentes par rapport à l'AP de l'ensemble de la population des DT2 étudiés). Les 3 principales barrières à l'AP chez les DT2 et à la prescription d'AP chez les médecins sont l'état de santé actuel des diabétiques en excluant le diabète (question n°9), risque que les conditions climatiques les empêchent de pratiquer une AP de façon régulière (question n°10), et le risque d'échec en raison d'un niveau de forme insuffisant (question n°6). Or, les raisons invoquées dans les questions n°9, 10 et 6 ne sont pas justifiées en pratique. Il serait donc intéressant "d'éduquer" les patients et les médecins à ce sujet. De plus, le questionnaire BAPAD2 permet d'isoler les patients à risques plus élevés de sédentarité ou de non pratique de l'AP ayant un score particulièrement élevé et de les faire bénéficier en priorité d'un programme d'information sur les bénéfices de l'AP.

Lutte contre la sédentarité chez les diabétiques de type 2

Lutte contre la sédentarité chez les diabétiques de type 2 PDF Author: Daniel Thiollier
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Languages : fr
Pages : 218

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De nombreuses études montrent que les recommandations médicales en matière d'activité physique, parmi toutes celles données dans le traitement du diabète, sont celles pour lesquelles l'observance des patients est la moins bonne. La pratique d'une activité physique pourrait être favorisée par l'habitude. Un modèle psychosocial visant à prédire l'adoption d'un comportement de santé a introduit le concept d'habitude parmi les déterminants possibles. L'habitude pourrait représenter un moyen important pour éviter de rechuter dans la non-observance une fois que le comportement de santé a été adopté. Intuitivement, on conçoit qu'une fois que l'habitude est forgée, l'effort nécessaire pour mettre en œuvre l'activité physique diminuera. Si cela était confirmé, on pourrait insister sur l'accompagnement du patient au début de la mise en route de l'activité physique, jusqu'à ce que l'habitude soit prise. Le but de cette thèse a été d'une part de faire le point sur la place de l'activité physique dans le traitement du diabète de type 2 et sur l'observance aux recommandations qui sont données dans ce domaine, d'autre part, plus spécifiquement, d'évaluer la place de la sensation d'effort et d'habitude dans leur mise en œuvre. Nous avons donné à cinquante patients diabétiques présentant un surpoids ou une obésité un questionnaire visant à déterminer leur degré de sédentarité et comment ils ressentaient l'effort nécessaire pour suivre chacune des six recommandations de l'HAS (exemple, prendre l'escalier). Trois mois plus tard, on leur a demandé d'évaluer leur niveau d'activité, l'effort nécessaire et le degré d'habitude atteint. Les résultats confirment l'hypothèse de travail : à trois mois, plus les patients ont le sentiment d'avoir l'habitude de suivre ces recommandations, moins l'effort pour le faire leur semble important; moins l'effort est important, plus ils déclarent pratiquer ces activités. Enfin, le niveau de sédentarité initial permet de prédire dans une certaine mesure la mise en œuvre des recommandations.

Comment promouvoir l’activité physique chez les patients diabétiques de type 2 en médecine générale ?

Comment promouvoir l’activité physique chez les patients diabétiques de type 2 en médecine générale ? PDF Author: Mélanie Vinatier Vaillant
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Languages : fr
Pages : 156

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Dans la prise en charge du diabète de type 2, l’efficacité de l’activité physique ne fait aucun doute, mais son application reste difficile à promouvoir. Cette étude a pour but d’étudier les pratiques des médecins généralistes pour inciter à l’activité physique et d’appréhender les difficultés qu’ils rencontrent. Pour cela, un questionnaire a été envoyé aux médecins généralistes de Saône et Loire avec différents items : leur pratique clinique, les freins de leurs patients et les aides potentielles. Les résultats mettent en évidence que pour les médecins généralistes, la thérapeutique médicamenteuse et les mesures diététiques sont plus efficaces que l’activité physique. Leurs pratiques d’incitation à l’activité physique sont ressenties comme peu efficace et sont souvent basées sur l’information et le conseil du patient avec peu d’orientation pour déléguer l’éducation. L’absence d’envie des patients, leur état de santé et leur manque de temps sont des barrières à l’activité physique fréquemment identifiées par les médecins. Les propositions d’aides qu’ils retiennent sont le soutien des campagnes grand public, la possibilité d’avoir plus de temps et la possibilité de déléguer ces tâches d’éducation, en premier lieu aux réseaux puis aux paramédicaux. Malgré leur difficulté dans cette mission éducative, peu de médecins sont formés. L’adhérence à un réseau change les attitudes et les besoins des soignants : ils sont plus formés et demandent plus à être formés, ils orientent plus leurs patients dans des structures relais et ils délèguent plus. Ces résultats permettent de s’interroger sur les pistes d’amélioration possibles : La poursuite du développement des relais d’éducation à travers les réseaux ? L’acquisition de compétence par les paramédicaux pour leur déléguer des tâches d’éducation ? La création d’offres accessibles d’activité physique adaptée ? L’amélioration de la formation des étudiants et une offre de formation plus adaptée aux médecins en exercice ?

Quel est le niveau d'activité physique des patients diabétiques de type 2 dans la région Nord-Pas-de-Calais? Que pensent-ils de l'utilisation des nouvelles technologies afin de promouvoir l'activité physique?

Quel est le niveau d'activité physique des patients diabétiques de type 2 dans la région Nord-Pas-de-Calais? Que pensent-ils de l'utilisation des nouvelles technologies afin de promouvoir l'activité physique? PDF Author: Guillaume Dewevre
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Languages : fr
Pages : 176

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Le diabète de type 2 atteint 3 millions de Français et ne cesse de croître étroitement lié à l’obésité. Les recommandations d’activité physique font partie du projet thérapeutique du diabète de type 2 et sont peu suivies par les patients. Ce travail a pour but d’évaluer le niveau d’activité physique dans notre région et l’intérêt de ces patients pour la promotion de l’activité physique grâce aux nouvelles technologies. Cette étude est observationnelle, descriptive et transversale d’une durée de 12 mois dont 4 mois d’inclusion et un mois de recueil de données, réalisé par le questionnaire IPAQ téléphonique long et un questionnaire propre à l’étude. L’évaluation statistique a été réalisée avec le logiciel STATISTICA. Sur 200 patients initialement prévus, 117 ont été inclus par 18 médecins investigateurs dont 88 (47 hommes et 41 femmes) ont répondu aux questionnaires. L’âge moyen est 59 +/- 7 ans, l’HBa1c moyenne 7.38 +/- 1.52%, l’activité physique moyenne est de 12.84 +/- 11.61 Mets/heures/semaine. Le questionnaire sur les moyens ‘multimédias’ montre que 91% des patients possèdent un téléphone mobile, 81% un ordinateur et 77% sont intéressés par la stimulation de l’activité physique grâce aux nouvelles technologies en lien avec le taux d’équipement et d’utilisation de ces outils. L’intérêt des patients diabétiques de type 2 pour les nouvelles technologies et la nécessité d’améliorer l’activité physique doit nous conduire à élaborer une offre de Télémédecine efficace, en complément du programme SOPHIA, grâce aux sms et mails, après validation de ces outils par une étude prospective et interventionnelle.

Activité physique adaptée chez le diabètique de type 2

Activité physique adaptée chez le diabètique de type 2 PDF Author: Vanessa Clément Farcy
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Languages : fr
Pages : 138

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L'activité physique (AP), améliorant l'insulinorésistance et le contrôle glycémique, participe au traitement du diabète de type 2 (DT2). Le médecin traitant pour promouvoir l'exercice chez le diabétique doit évaluer la motivation, le niveau d'AP, délivrer des conseils individualisés et orienter si nécessaire son patient vers des structures. La moitié des médecins généralistes de la Haute-Vienne ont répondu à notre enquête de pratique. Il en ressort que les médecins généralistes pratiquant une AP conseillent l'exercice plus souvent, et que pensant avoir un impact estiment que plus de 30% de leurs patients atteignent les objectifs d'AP. Leur conseil est fréquent, leur prend du temps, mais n'a pas l'impact qu'ils voudraient. Ils adressent peu vers les structures sportives. Ils manquent de supports adaptés, de temps, et d'informations sur les structures relais. Ils souhaiteraient créer des liens avec le mouvement sportif. Le programme d'éducation thérapeutique du réseau Diablim propose un cycle de séances pratiques d'AP. Ce programme permet bien la reprise d'une activité adaptée, sécurisante et progressive, dont les bénéfices sont démontrés par des questionnaires et tests d'évaluation (améliore équilibre glycémique, condition physique et psychologique). En revanche, les résultats sont moins satisfaisants quant à l'autonomisation ultérieure des patients. Les offres AP adaptée se multiplient sur le département. Des fédérations sportives (gymnastique volontaire, natation) forment des animateurs spécifiquement à l'accueil de personnes diabétiques. Des programmes d'éducation thérapeutique sont présents au sein de centres hospitaliers ou en ville.

Activité physique en ateliers éducatrifs pour des patients diabétiques de type 2 du réseau diabète de l'estuaire du Havre

Activité physique en ateliers éducatrifs pour des patients diabétiques de type 2 du réseau diabète de l'estuaire du Havre PDF Author: Judith Fischer
Publisher:
ISBN:
Category :
Languages : fr
Pages : 372

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Book Description
La prévalence du diabète de type 2 augmente, favorisée, entre autre, par la sédentarité croissante qui caractérise les pays développés. L'activité physique recommandée au patient diabétique constitue un changement dans ses habitudes, souvent difficile à mettre en ceuvre de façon durable et régulière. Dans un contexte où l'éducation thérapeutique est considérée comme un volet important de la prise en charge médicale, la problématique de la motivation au changement pour le patient et du rôle aidant que peut jouer le soignant dans ce cadre concerne le médecin généraliste plus que tout autre puisqu'il est souvent le premier recours de ces patients. Ce travail est né de l'intérêt porté à cette problématique et du projet porté par le réseau diabète de l'Estuaire du Havre de mettre en place des ateliers d'activité physique pour ces patients diabétiques de type 2. L'objectif de l'étude est de décrire le vécu et les changements mis en évidence par les patients .ux-mémes. à la suite d'une pratique régulière dans ces ateliers pendant huit à douze mois. Pour cela. une étude qualitative par entretiens individuels approfondis a été réalisée auprès de seize ^articipant de ces ateliers. Cette étude met en évidence le grand besoin de réassurance de ces personnes quant à leur corps et à leurs compétences physiques mais aussi leur adhésion et leur forte motivation à la pratique physique lorsque les conditions leur semblent « adaptées ». Leurs capacités d'expertise de leur corps et de leurs sensations se sont accrues en même temps que leur sentiment d'efficacité personnelle. La pratique est considérée comme bénéfique en terme de bien être et d'autonomie, le décentrage de l'activité par rapport au diabète est mis en valeur : les interrogés ont fait un cheminement personnel vers l'autonomisation sans pour autant adopter les représentations du schéma médical.