Élaboration d'un auto-questionnaire par les médecins généralistes à compléter par l'adolescent avant la consultation en médecine générale avec pour objectif de permettre une évaluation plus exhaustive des facteurs de risque et de protection ainsi que des besoins en termes d'information par consensus Delphi PDF Download
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Author: Candy Radjagobal
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Author: Candy Radjagobal
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Author: Yann Bégo
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Contextualisation : la consultation avec l'adolescent présente plusieurs difficultés : motifs réels de consultation inavoués, psychosociaux, temps, présence d'un tiers et confidentialité. Des questionnaires de santé pour les adolescents existent, principalement hospitaliers. Aucune étude n'a recueilli l'avis des adolescents à leur propos. Objectifs : cette étude a pour objectif d'explorer les ressentis, les attentes et les freins des adolescents, des parents et des médecins généralistes (MG) par rapport à l'utilisation d'un auto-questionnaire pré consultation en médecine générale. Méthode : une étude qualitative a été réalisée par focus group auprès d'adolescents volontaires de 11 à 17 ans, et par entretiens semi-dirigés individuels auprès de parents d'adolescents et de MG, avec une analyse par théorie ancrée. Résultats : les trois populations sont favorables à l'auto-questionnaire. Il permettrait de libérer la parole et d'améliorer la prise en charge des adolescents. La facilité, la rapidité et le secret médical représentent des attentes partagées. Les adolescents insistent sur l'attractivité et l'aspect ludique. Les parents et les MG rapportent une autonomisation de l'adolescent, avec une consultation dédiée à la prévention, avec une ambivalence sur la place souhaitée par les parents. Conclusion : l'auto-questionnaire est reçu favorablement par les trois populations étudiées. En définir les aspects pratiques permettra l'élaboration d'un auto-questionnaire destiné aux adolescents en médecine générale, qui devra être testé pour permettre son utilisation lors des consultations de prévention recommandées entre 11 et 16 ans.
Author: Jeanne-Charlotte Pesquidous
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Pages : 176
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L’adolescence est considérée comme une période de bonne santé, mais elle peut aussi se révéler à risque. L’objectif de ce travail est de développer un auto-questionnaire de dépistage transversal pour la consultation de médecine générale. Nous avons réalisé une analyse descriptive rétrospective, des données recueillies à l’aide de l’auto-questionnaire utilisé à l’Espace Santé Jeunes de Nanterre, puis une synthèse de la littérature sur les auto-questionnaires de dépistage. Enfin, nous avons évalué la faisabilité et l’acceptabilité du nouvel outil. Les jeunes ayant consulté à l’ESJ de Nanterre en 2011 provenaient principalement du milieu de l’insertion socio-professionnelle. Leur problématique de santé était le mal-être, l’addiction et les questions liées à la vie relationnelle et sexuelle. La recherche bibliographique a permis d’identifier 12 auto-questionnaires. Sept de ces questionnaires concernaient les troubles de l’humeur, deux les troubles du comportement alimentaire, deux les consommations excessives (drogue, alcool, tabac) et un, plus global permettait de mettre en évidence la plupart des comportements et conduites à risque chez l’adolescent. C’est ce dernier qui a été choisi par l’équipe de l’ESJ de Nanterre et validé sur un échantillon de jeunes consultant dans ce centre. Les autres outils retrouvés par notre recherche viendront le compléter afin d’aider au diagnostic des pathologies les plus courantes chez l’adolescent. Améliorer le dépistage et la prise en charge des adolescents par les médecins généralistes, est capital, afin de renforcer leur travail en réseau avec les différentes structures d’accueil spécialisées pour adolescents.
Author: Germain Lassalle
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Introduction : La réalisation d'une consultation de prévention globale par le médecin généraliste n'est pas classique en France. Des questionnaires sont parfois utilisés par les organismes de protection sociale, impliquant le médecin traitant avec plus ou moins de réussite. C'est l'application d'un auto-questionnaire patient (AQP) adapté aux soins primaires dans une population de 50/65 ans et en amont d'une consultation dédiée à la prévention, puis son utilisation, qui sont évaluées dans ce travail. Méthode : La construction de l'AQP s'est faite à partir de la littérature médicale selon des critères pré-établis. L'enquête qualitative a été réalisée sur 7 médecins en variabilité maximum. 14 de leurs patients ont répondu à l'AQP. Une synthèse des dépistages positifs était envoyée aux médecins en amont de la consultation. L'objectif principal était de recueillir les ressentis des médecins à l'issue de cette consultation, et d'évaluer les actions entreprises. Résultats : L'AQP est divisé en 5 grandes parties: les problèmes socio-professionnels, les maladies cardio-vasculaires respiratoires et les addictions, les autres maladies prévalentes, les cancers, les infections. 26 tests composent celui des femmes, 24 celui des hommes. Près d'un quart des dépistages ont été retrouvés positifs et 65,3 % d'entre eux étaient inconnus des médecins traitants. Ceux-ci ont apprécié la clarté et la praticité de la fiche de synthèse leur permettant de réaliser une consultation structurée et selon une durée considérée comme habituelle. Au décours de ces consultations ont été observées, entres autres, 14 prescriptions médicamenteuses, 8 demandes d'avis spécialisés et 4 demandes d'examens complémentaires. Discussion/Conclusion : Ces résultats montrent qu'une consultation de prévention globale est possible pour les médecins généralistes sous certaines conditions. Il faudrait maintenant travailler au développement informatique de l'AQP pour aboutir à une fiche de synthèse sans intervention d'un tiers. Puis évaluer une expérimentation à une plus grande échelle, éventuellement en partenariat avec les caisses d'assurance maladie.
Author: Laurent Carof
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Languages : fr
Pages : 140
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Introduction : L'adolescence est une période de changement entre l'enfance et l'âge adulte. Ce passage est parfois difficile. Entre 10 et 25% des adolescents expriment ainsi un sentiment de mal-être. Le médecin généraliste est un acteur important dans l'accompagnement de ces jeunes. Nous avons voulu mesurer l'influence d'une consultation sur le ressenti d'adolescents potentiellement à risque de souffrir de mal-être. Objectif : Etudier les différences de ressenti entre les adolescents d'un groupe « à risque » et les adolescents d'un groupe témoin avant et après une consultation de médecine générale. Comparer l'évolution de ce ressenti entre les deux groupes. Méthode : Cette thèse a été réalisée à partir des résultats de l'étude SOCRATE menée en 2007. 53 médecins généralistes ont soumis deux auto-questionnaires, un avant et un après la consultation, aux 10 à 15 premiers adolescents de 12 à 20 ans consultant. Le médecin remplissait un questionnaire en fin de consultation. Ces questionnaires comportaient des questions fermées et des échelles analogiques évaluant le ressenti des adolescents sur leur sentiment de bien-être et leurs possibilités de recours en cas de soucis. Les questions adressées au médecin mesuraient sa projection sur les réponses de l'adolescent. Résultats : 665 adolescents ont répondu aux questionnaires. L'ensemble des adolescents ressent une amélioration à l'issue de la consultation. Dans le groupe « à risque » le ressenti initial était nettement inférieur mais, chez ces adolescents, la progression est significativement plus importante. Les médecins généralistes sous-estiment l'effet positif de la consultation mais différencient bien les deux groupes d'adolescents. Conclusion : Une consultation avec un médecin généraliste améliore le bien-être et les capacités d'expression des adolescents. Ce bénéfice est supérieur pour les adolescents potentiellement à risque.
Author: Mathilde Aubessard
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Introduction : le suivi de l'adolescent est complexe en médecine générale (MG). Ce travail visait à définir quels thèmes devraient être abordés dans un auto-questionnaire pour explorer la santé des adolescents de 11 à 16 ans. Méthode : une étude qualitative a été réalisée par focus group et par entretiens individuels semi-dirigés auprès de 73 adolescents. Les sujets étaient volontaires avec accord parental écrit. La retranscription du verbatim a été réalisée après anonymisation des données puis double codée à l'aide du logiciel RQDA et analysée par théorie ancrée. Cette étude s'inscrit dans le projet Qjeunes visant à créer un auto-questionnaire répondant aux attentes des adolescents, des parents et des médecins. Résultats : les résultats montrent que la plupart des adolescents disent jugés utile d'aborder leur santé via différents thèmes en consultation de MG (stress, sommeil, addictions, violences scolaires et familiales, sexualité et image de soi). Certains thèmes sont plus faciles à aborder que d'autres, en fonction de l'âge et du genre. L'âge des adolescents est à prendre en compte pour certains thèmes comme la sexualité, l'identité du genre ou le cyberharcèlement. Certains disent que le MG n'est pas un interlocuteur privilégié, et disent préférer s'adresser à des spécialistes. La présence des parents est un frein pour aborder ces différents thèmes, d'après la plupart des adolescents. Le respect du secret médical est jugé important. La plupart des adolescents disent que l'auto-questionnaire est un bon outil pour aborder ces thèmes car l'écrit permet de mieux se livrer. La plupart disent vouloir revenir sur leurs réponses le jour -même en consultation. Pour les adolescents, le thème doit être amené progressivement dans l'auto-questionnaire puis approfondi en face à face. Les questions directes sont à éviter. Enfin la plupart souhaite plus d'intervention scolaire concernant le harcèlement et la santé sexuelle, facilitant, avec l'auto-questionnaire, l'abord de ces thèmes en consultation. Conclusion : l'auto-questionnaire serait un outil utile et accepté par les adolescents. Il permettrait d'aborder progressivement des thèmes délicats qui pourraient ensuite être approfondis lors de la consultation en fonction des réponses. Ces premiers résultats permettront l'élaboration d'un auto-questionnaire qui sera validé dans un travail futur.
Author: Maiaita Guiresse
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Pages : 350
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Objectif : proposer un outil d'aide à la consultation des nouveaux patients. Elaborer un auto-questionnaire puis recueillir l'avis des médecins généralistes qui l'ont testé. Méthodes : une recherche bibliographique a permis la construction du questionnaire. Un focus groupe de médecins généralistes a débattu de son intérêt et de son utilisation. La compréhension des items du questionnaire a été évaluée auprès d'un groupe de patients. Une étude prospective qualitative auprès de médecins généralistes a été réalisée de juin à décembre 2011. Les critères d'évaluation principaux étaient l'intérêt du questionnaire pour la tenue du dossier médical, le recueil d'informations, l'éducation et la responsabilisation du patient, et la structuration de la consultation. La relation médecin-malade, la durée de consultation ainsi que l'accueil des patients étaient aussi évalués. Les critères secondaires étaient le lien avec le statut sociodémographique des médecins. Résultats : un premier questionnaire a été proposé à un focus groupe, qui a préconisé de le raccourcir et de le proposer en fin de première consultation, uniquement aux patients entrant dans le cadre du dispositif médecin traitant. Il a été jugé compréhensible par tous les patients testeurs. 26 médecins ont participé à l'étude prospective : 20 ont considéré l'outil intéressant pour la tenue du dossier médical, 24 pour le recueil d'informations, 15 pour l'éducation et la responsabilisation des patients, et 18 pour la structuration de la consultation. 19 médecins ont considéré qu'il ne modifiait pas la relation médecin-malade, 24 qu'il n'allongeait par la durée de la consultation, et 6 ont trouvé qu'il la raccourcissait. 24 médecins ont considéré que l'accueil par les patients était bon et 19 souhaitaient continuer de l'utiliser. Conclusion : les médecins de l'étude ont trouvé un intérêt certain à ce questionnaire et jugé qu'il méritait d'être diffusé pour être largement utilisé. http://questionnairemedical.pagesperso-orange.fr/questionnaire.pdf.
Author: Fanny Dousseau
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Contexte : si le carnet de santé est très sollicité dans la consultation du jeune enfant, il est difficile de définir sa place dans la consultation de l'adolescent. Objectif : il s'agit à travers cette thèse de comprendre l'utilisation du carnet de santé que font les médecins généralistes lorsqu'ils reçoivent des adolescents, puis d'évaluer la pertinence de l'intégration d'un auto questionnaire de pré-consultation au carnet de santé pour améliorer leur prise en charge. Méthode : une étude qualitative a été réalisée entre avril et aout 2021 à travers des entretiens semi dirigés présentiels et téléphoniques, interrogeant des médecins généralistes dans le Var. Résultats : le carnet de santé est peu demandé par les médecins lors de la prise en charge d'adolescents et peu amené par les parents ou l'ado lui-même. Le motif d'utilisation du carnet de santé le plus récurent dans cette tranche d'âge, est la vaccination suivie par la surveillance staturo-pondérale lors de l'élaboration de certificats sportifs. Il est perçu néanmoins comme un guide à la consultation et comme un outil permettant de faire le lien entre les différents professionnels de santé. Il est également utilisé comme support à la prévention. Le CS apparaît désuet et incomplet dans sa forme actuelle. La disparité de la fréquence de consultation dans cette tranche d'âge ou encore son manque d'évolutivité avec le jeune, semblent être en corrélation avec son manque d'utilisation dans cette population. L'adaptation numérique du CS ou encore l'ajout d'un auto-questionnaire de pré- consultation sont les pistes proposées par nos médecins que nous avons choisis d'explorer dans cette thèse. Conclusion : le carnet de santé est peu utilisé par les médecins dans la consultation de l'adolescent pourtant son intérêt semble reconnu par ces derniers. Bien qu'il soit amené à disparaître, on peut encore espérer qu'il perdure grâce au numérique ou encore à l'ajout d'un auto-questionnaire adapté au jeune.
Author: Séverine Ouanounou Bouaziz
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Pages : 138
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Introduction : Entre la naissance et la sixième année de vie, l'enfant bénéficie en moyenne de vingt consultations. Par la suite, aucune visite médicale obligatoire n'est prévue. Le médecin généraliste voit environ 1 adolescent par jour, c'est le professionnel le plus consulté par les jeunes. La prévention chez les patients de 10 à 19 ans est de son ressort. Objectif : Recueillir les pratiques de médecins généralistes sur sept items de prévention chez l'adolescent : examen clinique, sexualité, vaccinations, santé en général (obésité), psychologie, sécurité, addictions Méthode : Il s'agissait d'une étude quantitative transversale sur les pratiques déclarées des médecins généralistes par un questionnaire de 35 questions auprès de 59 médecins généralistes participant aux Journées nationales de la médecine générale, et de 24 médecins généralistes appartenant à un pôle de santé (Gennevilliers-Villeneuve La Garenne) ou faisant partie des maitres de stage de l'université Paris VII, selon un échantillon à visée représentative. L'analyse des données était uni-variée. Résultats : Quatre-vingt-trois réponses ont été acceptées et un questionnaire a été exclu. Dans la population étudiée, lors de consultations avec les adolescents : - 53 % déclaraient aborder la sexualité même si le motif de consultation est différent, 52 % parlaient des infections sexuellement transmissibles seulement lors d'une situation en lien avec la sexualité, 100 % prescrivaient la pilule et 34 % y associaient systématiquement la pilule d'urgence - 90 % déclaraient vérifier systématiquement les vaccinations - 67.5 % calculaient systématiquement l'indice de masse corporelle et 54 % ne vérifiaient les habitudes alimentaires que s'ils le jugeaient nécessaire. - 60 % déclaraient n'évaluer l'état psychologique de l'adolescent en consultation que si nécessaire, mais 67 % déclaraient évaluer le risque suicidaire systématiquement - Plus de 60 % ne posaient pas de questions sur leur sécurité (environnement, violence, sommeil) - L'alcoolisation massive en soirée et la consommation de drogues n'étaient dépistées que si nécessaire dans plus de 40 %. - Les sept items leur paraissaient pertinents à aborder en consultation Discussion : La population étudiée n'abordait pas suffisamment la sexualité en consultation et ne recherchaient pas assez les facteurs de risque d'infections sexuellement transmissibles. La prévention du risque suicidaire était insuffisante car plus de la moitié des médecins ne l'évaluait que si nécessaire. La prévention des addictions et consommations excessives de produits semblait aussi insuffisantes par rapport à la fréquence de ces conduites. Pourtant les données de l'état de santé des jeunes incitent à améliorer la prévention dans ces trois domaines. La solution la plus citée était d'organiser une consultation annuelle systématique plus longue.
Author: Airelle Planques
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Book Description
Contexte : Les comportements à risque et les pathologies psychiatriques sont nombreux dans la période de l'adolescence. Le médecin généraliste est le médecin de premier recours pouvant être sollicité en cas de trouble psychiatrique. Pourtant, un nombre réduit d'adolescents consulte pour ces motifs. Objectif : Faire un état des lieux des facteurs facilitants et difficultés ressenties par les adolescents à risque pour leur prise en charge par le médecin généraliste. Méthode : Réalisation d'une revue de la littérature selon les critères PRISMA via les banques de données Pubmed, Science Direct, Psycinfo et la Banque de Donnée de Santé Publique ainsi que les références bibliographiques des études incluses. Les lignes de recherche comprenaient les notions de médecin généraliste, d'adolescent, de comportement à risque et de relation. La sélection des études a été réalisée sur le titre, le résumé puis l'article entier en double lecture. Résultats : 10 études ont été incluses (2 qualitatives, 4 quantitatives observationnelles, 3 quantitatives interventionnelles et 1 revue de la littérature). 16 facteurs et 3 outils ont été retrouvés. Ils ont été classés en facteurs liés au médecin, facteurs liés à l'adolescent et facteurs externes. Les facteurs retrouvés sont entre autres les attitudes des médecins et des adolescents lors de la consultation, l'expérience antérieure de consultation, le manque de connaissances chez l'adolescent en santé mentale et sur leurs droits, la confidentialité, le fait d'être un garçon et les problèmes d'accès à la consultation. Des outils favorisant la relation comme l'assurance de confidentialité de la part du médecin ou bien la réalisation d'un programme d'intervention scolaire ont montré leur efficacité. Conclusion : Les facteurs favorisants et difficultés ressenties mis en évidence influencent les différentes étapes du processus de recherche d'aide. Des outils étudiés ont fait preuve de leur efficacité et les changements à envisager ne dépendant pas seulement du médecin généraliste.
