Repérage précoce de la maladie d'Alzheimer en cabinet de médecine générale

Repérage précoce de la maladie d'Alzheimer en cabinet de médecine générale PDF Author: Sabrina Lecuir
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Languages : fr
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La maladie d'Alzheimer (MA) représente un enjeu majeur de santé publique. Environ 50% des cas ne sont pas diagnostiqués et un retard diagnostic important existe. Nous avons évalué les pratiques des médecins généralistes (MG) concernant le repérage précoce et nous les avons interrogé sur un potentiel dépistage de la MA. Un questionnaire en ligne a été adressé aux MG normands.162 réponses complètes ont été obtenues. Bonnes connaissances des MG sur les symptômes et diagnostics différentiels de la MA. Quelques lacunes concernent les facteurs influençants la MA et les structures spécialisées dans la démence. Les MG sont plus nombreux à débuter la démarche diagnostique si la plainte vient de l'entourage plutôt que du patient,75% contre 66% réalisent directement un MMSE. Moins de 30% adressent le patient vers un spécialiste,préférant débuter eux mêmes les explorations. Seulement 31 MG savent que la MA débute plus de 10ans avant l'apparition des symptômes. 92% des répondants sont favorables à un dépistage; certains sous conditions: formation théorique,nouvelle cotation avec revalorisation tarifaire. Les principaux freins sont l'absence de traitement curatif et le manque de temps; les principaux avantages sont:retarder la perte d'autonomie et l'institutionnalisation, la prise en charge rapide, l'aide aux aidants. L'interêt pour le dépistage est significativement influencé par l'exercice en milieu semi rural et urbain, la réalisation d'un stage en SSR, l'utilisation fréquente de tests cognitifs. Trop de freins existent pour qu'un dépistage de la MA ne soit recommandé. Repérer au plus tôt les personnes à risque ou avec troubles cognitifs débutants reste la principale mission des MG.

Repérage précoce de la maladie d'Alzheimer en cabinet de médecine générale

Repérage précoce de la maladie d'Alzheimer en cabinet de médecine générale PDF Author: Sabrina Lecuir
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La maladie d'Alzheimer (MA) représente un enjeu majeur de santé publique. Environ 50% des cas ne sont pas diagnostiqués et un retard diagnostic important existe. Nous avons évalué les pratiques des médecins généralistes (MG) concernant le repérage précoce et nous les avons interrogé sur un potentiel dépistage de la MA. Un questionnaire en ligne a été adressé aux MG normands.162 réponses complètes ont été obtenues. Bonnes connaissances des MG sur les symptômes et diagnostics différentiels de la MA. Quelques lacunes concernent les facteurs influençants la MA et les structures spécialisées dans la démence. Les MG sont plus nombreux à débuter la démarche diagnostique si la plainte vient de l'entourage plutôt que du patient,75% contre 66% réalisent directement un MMSE. Moins de 30% adressent le patient vers un spécialiste,préférant débuter eux mêmes les explorations. Seulement 31 MG savent que la MA débute plus de 10ans avant l'apparition des symptômes. 92% des répondants sont favorables à un dépistage; certains sous conditions: formation théorique,nouvelle cotation avec revalorisation tarifaire. Les principaux freins sont l'absence de traitement curatif et le manque de temps; les principaux avantages sont:retarder la perte d'autonomie et l'institutionnalisation, la prise en charge rapide, l'aide aux aidants. L'interêt pour le dépistage est significativement influencé par l'exercice en milieu semi rural et urbain, la réalisation d'un stage en SSR, l'utilisation fréquente de tests cognitifs. Trop de freins existent pour qu'un dépistage de la MA ne soit recommandé. Repérer au plus tôt les personnes à risque ou avec troubles cognitifs débutants reste la principale mission des MG.

Le repérage précoce de la Maladie d'Alzheimer en médecine générale

Le repérage précoce de la Maladie d'Alzheimer en médecine générale PDF Author: Matthieu Bonhomme
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Pages : 113

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La Maladie d’Alzheimer est une affection neurodégénérative irréversible du système nerveux central. Sa prévalence, son pronostic et ses conséquences médico-socio-économiques en font un enjeu majeur de santé publique. Depuis 2001, trois plans Alzheimer ont été mis en place ; il existe toujours un retard diagnostique important. L’objectif de ce travail est d’étudier le repérage précoce de la Maladie d’Alzheimer par les médecins généralistes de la Haute-Vienne à partir d’un questionnaire évaluant leur méthodologie, les incitations, les intérêts et freins théoriques au repérage précoce. Nos résultats montrent que les plaintes de la famille sont toujours mieux prises en compte par le médecin généraliste que celles émanant du patient, la plainte mnésique étant la plus considérée. Parmi les tests cognitifs réalisables, les médecins privilégient le Mini Mental State. Le diagnostic différentiel le plus souvent évoqué est le syndrome dépressif, mais le Geriatric Depression Scale est peu utilisé. Les centres mémoire sont l’orientation privilégiée en cas de repérage positif. Les intérêts théoriques au repérage précoce sont bien identifiés mais l’absence de plaintes, l’absence de traitement curatif, la complexité et le caractère chronophage des tests restent des freins majeurs au repérage. Une mise à niveau sur certains tests et/ou la création de tests plus simples et plus courts pourraient avoir un impact sur ce repérage. Délivrer une information éclairée au grand public permettrait de lever certains tabous. Enfin, une sélection des patients à risque pourrait améliorer ce repérage et la recherche scientifique doit être encouragée pour développer un traitement curatif.

Circonstances et modalités de dépistage de la maladie d’Alzheimer en cabinet de médecine générale

Circonstances et modalités de dépistage de la maladie d’Alzheimer en cabinet de médecine générale PDF Author: Virginie Casalta
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Pages : 198

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La maladie d’Alzheimer est un problème majeur de santé publique, seuls 50% des malades seraient diagnostiqués comme tels en France.Objectif : faire un état des lieux des pratiques professionnelles des généralistes libéraux sur le diagnostic précoce de cette maladie et mettre en évidence les intérêts et les obstacles rencontrés à ce repérage.Matériel et méthode:Etude observationnelle réalisée via un questionnaire envoyé par mail à 250 généralistes des Bouches-du-Rhône en 2016. Résultats : Le taux de réponses était de 48%. Ils ont répondu à 49,5% faire des tests de repérage de la maladie en moyenne 1 fois par mois.83,3% le font, devant une inquiétude de l’entourage,78,1% devant une plainte mnésique provenant du patient et 56,3% devant des perturbations des activités de la vie quotidienne.70,5% utilisaient le MMSE, seul 5,3% utilisaient les échelles ADL-IADL.85,4% réalisaient des examens complémentaires et 93,4% adressaient le patient en consultations spécialisées.77,1% trouvaient un intérêt au repérage précoce.70,8% évoquaient le manque de temps comme obstacle au repérage et 24% évoquaient le sentiment d’inefficacité des traitements. Conclusion : L’attitude des généralistes est conforme aux recommandations de l’HAS 2011 portant sur le diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer sauf pour l’évaluation du retentissement des troubles cognitifs sur les activités de la vie quotidienne trop peu souvent réalisée.Ils semblent sensibilisés à une prise en charge globale du patient et pas seulement médicamenteuse.Le manque de temps est un obstacle toujours présent pouvant expliquer en partie le sous diagnostic de la maladie.Dans l’avenir, il faudra travailler à remédier à cet obstacle.

Les freins au diagnostic précoce de la maladie d'Alzheimer en médecine générale. Enquête d'opinion dans la Marne

Les freins au diagnostic précoce de la maladie d'Alzheimer en médecine générale. Enquête d'opinion dans la Marne PDF Author: Fanny Mathieu
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Introduction. La maladie d’Alzheimer, pathologie neurodégénérative responsable d’une perte d’autonomie est, actuellement en France, un problème majeur de Santé Publique. En effet, elle est la 4ème cause de mortalité et la 1ère cause d’institutionnalisation du sujet âgé. Le but de notre travail était de rechercher les freins rencontrés par les médecins généralistes pour comprendre les raisons de ce sous diagnostic. Matériel et méthodes. Il s’agissait d’une enquête d’opinion, basée sur le volontariat, à partir d’un questionnaire anonyme, adressé de façon aléatoire par voie postale, de mi-octobre à mi-novembre 2010 à 300 médecins traitants installés dans la Marne. Nous avons tenté de définir les différences entre la population des médecins ayant reçu une formation spécifique de la maladie d’Alzheimer (n=15) et celle de l’autre groupe (n=101). La comparaison de ces deux populations a été effectuée par le test du Chi2. Résultats. Les omnipraticiens français sont bien placés dans l’intérêt qu’ils portent à l’utilité du diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer, pourtant leur délai diagnostique est l’un des plus élevés en Europe (24 mois). Ce travail met en avant les freins à ce diagnostic précoce rencontrés par les médecins généralistes marnais : le manque de temps au cours des consultations (71,6%), le sentiment d’inefficacité des traitements (55,2%), la difficulté de ce diagnostic (51,7%) dû notamment à des lacunes sémiologiques (19%), le manque de soutien des services médico-sociaux (50,9%), l’absence de prescription médicamenteuse spécifique en première ligne (40,5%) et l’absence de rémunération spécifique (31%). Les médecins formés connaissent et pratiquent plus les tests de repérage des troubles mnésiques. Ils n’ont pas de lacunes sémiologiques et se sentent moins isolés dans la prise en charge de leurs patients déments, que leurs confrères n’ayant pas reçu de formation. Conclusion. La formation spécifique doit être développée auprès des médecins traitants afin de favoriser le repérage précoce de la maladie d’Alzheimer et d’informer ces derniers de l’existence de réseaux médico-sociaux créés pour mieux les aider dans leur pratique quotidienne.

Repérage de la maladie d'Alzheimer par le médecin généraliste au cabinet

Repérage de la maladie d'Alzheimer par le médecin généraliste au cabinet PDF Author: Claire Bartolomei
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Languages : fr
Pages : 198

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Résumé français : Contexte : Différentes études rapportent un sous diagnostic important des patients atteints de Maladie d'Alzheimer. Une hypothèse expliquant ce sous diagnostic serait que les outils de repérage de cette pathologie sont peu ou mal utilisé en médecine générale. Objectif : Le but de cette étude qualitative est de déterminer quel serait l'outil de repérage idéal de la Maladie d'Alzheimer adapté à la pratique en libéral. Matériel et Méthode : Le recrutement de douze médecins généralistes a été réalisé sur le région PACA. Des entretiens semi directifs puis une analyse adaptée ont permis de recueillir et d'adapter la totalité du verbatim. Résultats : Plusieurs catégories ont émergé : le repérage n'est pas systématiquement réalisé par les médecins généralistes, mais le MMSE reste le test le plus utilisé, les freins connus au repérage comme principalement le temps de la consultation ont été évoqués mais les médecins trouvaient surtout que les outils actuels ne permettaient pas de repérer un trouble dépressif associé ou non, ne prenaient pas en compte les troubles du comportement, et n'intégraient pas assez l'aidant dans le repérage, la prise en charge initiale faisait toujours appel au spécialiste, l'évaluation gériatrique standardisée était utilisée par seulement les gériatres avec l'aide de paramédicaux, les prescriptions thérapeutiques sont encore un sujet de discorde et l'intérêt du diagnostic précoce ne fait pas l'unanimité auprès des médecins. Conclusion : Cette approche permettait de montrer que les médecins souhaitaient un outil plus court (une dizaine d'items) et non uniquement centré sur les troubles mnésiques, c'est à dire intégrant les troubles du comportement, de l'autonomie, l'aidant et les répercussions psychologiques.

Outils et freins au diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer et des démences apparentées

Outils et freins au diagnostic précoce de la maladie d’Alzheimer et des démences apparentées PDF Author: Claire Foucart
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Languages : fr
Pages : 166

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La médecine générale tient un rôle important dans la prise en charge de la maladie d'Alzheimer. L'objectif de la présente étude est de repérer les outils utilisés par ses acteurs et les facteurs limitant le diagnostic précoce de la maladie d'Alzheimer dans le cadre des soins primaires en France, en Europe et dans le monde. Méthode : Il s'agit d'une étude qualitative de type sondage d'opinion: des hétéro-questionnaires posés à des médecins généralistes au cours d'un congrès international de médecine générale (la WONCA) à Paris en 2007. Ils comprenaient 3 parties : des informations sur le praticien, 5 questions sur les modalités du diagnostic et 7 questions ouvertes. Il a été utilisé en français et en anglais. Résultats : 46 praticiens de 22 pays différents ont été interrogés (France (11) et les Pays-Bas (5)). Les arguments évocateurs des troubles de la cognition étaient : la plainte mnésique de l'entourage, la désorientation temporospatiale et les troubles du comportement. Les outils diagnostiques préconisés étaient pour 91 % le MMS (seuls 83% l'utilisaient), 76% le test de l’horloge et 60% les échelles IADL/ADL. 72% prescrivaient des examens d'imagerie. 85% avaient recours à un spécialiste, le neurologue dans 54% des cas. Un bilan biologique était prescrit dans % des cas. Les médecins généralistes sont favorables au diagnostic précoce, ils participaient à chaque processus diagnostic et à l'annonce dans 2/3 des cas sans que cela ne soit perçu comme un frein. En tant que « coordinateurs des soins » ils assuraient avec allant la prise en charge sociale. La primo-prescription médicamenteuse était assurée par les spécialistes mais était réclamée par les médecins généralistes tout en rappelant le caractère impératif d'une collaboration ou prise en charge multidisciplinaire. Les praticiens reconnaissent les difficultés et insistent sur la nécessité d'intégration des patients dans un réseau médico-psycho-social. De nouvelles perspectives, inspirées par nos collègues européens, semblent appropriées telles que les « dementia nurses » et le développement des structures de proximité.

Détection précoce des troubles cognitifs au cabinet du médecin généraliste

Détection précoce des troubles cognitifs au cabinet du médecin généraliste PDF Author: Marie Perchepied
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Le vieillissement de la population française entraine une augmentation des pathologies liées à l'âge et en particulier une incidence croissante de syndromes démentiels. De ce fait les médecins généralistes sont de plus en plus confrontés à la problématique de la prise en charge des patients ayant une plainte mnésique. L'objectif de cette étude était d'étudier la faisabilité et la performance d'un questionnaire rapide, simple et reproductible d'évaluation des troubles cognitifs chez des sujets âgés de plus de 65 ans au cabinet du médecin généraliste. Le choix des tests d'évaluation des fonctions cognitives s'est porté sur des tests ayant des consignes de passation simples et un temps de réalisation court : le Mini-Cog, l'IADL simplifié et le test des 5 mots de Dubois. Cent trente six patients ont été inclus entre le 01/04/2005 et le 30/06/2006 par 18 médecins généralistes exerçant en milieu urbain, semi-urbain et rural dans les départements de Seine-Maritime, de l'Eure et du Calvados. Cette étude a été coordonnée par la consultation mémoire du service de médecine interne gériatrique du CHU de Rouen.L'âge moyen était de 78,7 ans avec 2/3 de femmes. Le diagnostic de troubles cognitifs était porté chez 53,5 % des sujets au terme de l'évaluation par le médecin généraliste, et un diagnostic possible de démence retenu dans 9,4 % de l'échantillon. Près de la moitié des patients ont pu être suivi au terme de 6 mois : le diagnostic de troubles cognitifs représentait alors 35,5 % des cas, celui de démence probable dans 22,5 %. Le suivi des patients à 6 mois mettait en évidence 13 % de conversion de diagnostic de troubles cognitifs en démence montrant l'importance du suivi standardisé tous les 6 mois proposé par l'HAS dans la prise en charge de la maladie d'Alzheimer et des maladies apparentées.

Obstacles au diagnostic de la maladie d' Alzheimer et des syndrômes apparentés en médecine générale

Obstacles au diagnostic de la maladie d' Alzheimer et des syndrômes apparentés en médecine générale PDF Author: Nelly Thuret Lagrange
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Languages : fr
Pages : 82

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La maladie d'Alzheimer et les syndromes apparentés sont sous diagnostiqués et quand ils le sont c'est souvent avec retard. L'objectif de cette étude est de décrire les obstacles au diagnostic de la maladie d'Alzheimer et des syndromes apparentés en médecine générale. Etude qualitative par entretiens individuels semi dirigés auprès de onze médecins du Puy de Dôme et de l'Allier réalisée d'octobre 2013 à février 2014. L'analyse a été réalisée de manière thématique. Des obstacles sont retrouvés à tous les stades de la prise en charge du patient. Il existe des difficultés dans le repérage des troubles cognitifs notamment chez des patients souvent vus sans accompagnant, lors de consultations jugées trop courtes ou dont le suivi régulier fréquent ne permet pas de constater la dégradation de leur état cognitif. La reconnaissance des symptômes de démence peut être difficile avec une confusion entre vieillissement normal et début de démence par le patient, son entourage mais aussi par le médecin. Quand les troubles sont repérés, les médecins ressentent un certain embarras à faire une évaluation cognitive. Ils craignent la réaction du patient et l'inquiétude suscitée par l'évocation du diagnostic de démence. Ils doivent faire face au déni et au refus de prise en charge. Le manque de temps est un obstacle souvent cité. Certains médecins se donnent un âge limite pour faire des investigations ce qu'ils justifient par l'absence de prise en charge spécifique. De nombreux freins existent que ce soit en rapport avec le patient, son entourage ou le médecin. Pour favoriser le diagnostic des démences, il faut informer la population et changer les représentations négatives de la démence. Il faut sensibiliser les médecins sur l'existence d'une prise en charge médicale spécifique centrée sur la prévention des complications.

Dépistage de la maladie d'Alzheimer et prévention en médecine générale

Dépistage de la maladie d'Alzheimer et prévention en médecine générale PDF Author: Mohammed Chamouma
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Languages : fr
Pages : 260

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Le dépistage de la maladie d'alzheimer par le médecin généraliste

Le dépistage de la maladie d'alzheimer par le médecin généraliste PDF Author: Nicolas Boudet
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Category :
Languages : fr
Pages : 218

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Book Description
La maladie d'Alzheimer devient, avec le vieillissement de la population, un problème majeur de santé publique. Le faible taux de repérage des cas de démence surtout dans ses formes débutantes incite à en rechercher les causes. Les médecins généralistes étant en première ligne, il est naturel d'étudier leur comportement à cet égard. Une enquête à un temps donné auprès de 232 médecins de Haute-Garonne a permis d'évaluer leurs pratiques. Il en ressort qu'il existe de grandes disparités entre les praticiens, selon leur formation ou leur type d'exercice, au niveau de leurs connaissances et de leur comportement. Néanmoins, certaines explications du faible taux de dépistage ressortent nettement comme le manque de temps, les difficultés à pratiquer et à interpréter les tests ou la crainte de diagnostiquer une telle maladie. La réforme des études médicales et la disponibilité des centres mémoires devraient cependant permettre d'améliorer la situation.