La Présentation de Jésus au temple, et la Fuite en Egypte. La Sainte Vierge, à genoux, et Joseph, debout un cierge allumé à la main, viennent de remettre l'enfant Jésus au grand-Prêtre qui, assisté d'un lévite en grand costume et l'encensoir à la main, se tient sur les marches d'un autel surmonté d'un tabernacle richement sculpté: près de l'autel se trouvent encore deux assistants. A l'entrée du temple, s'avancent deux femmes dont l'une porte un panier qui contient trois colombes. Dans le fond, un paysage où le peintre à représenté la Fuite en Egypte. B. H. 1 p. 10 p. 6 l. - L. 1 p. 1 p. 9 l

La Présentation de Jésus au temple, et la Fuite en Egypte. La Sainte Vierge, à genoux, et Joseph, debout un cierge allumé à la main, viennent de remettre l'enfant Jésus au grand-Prêtre qui, assisté d'un lévite en grand costume et l'encensoir à la main, se tient sur les marches d'un autel surmonté d'un tabernacle richement sculpté: près de l'autel se trouvent encore deux assistants. A l'entrée du temple, s'avancent deux femmes dont l'une porte un panier qui contient trois colombes. Dans le fond, un paysage où le peintre à représenté la Fuite en Egypte. B. H. 1 p. 10 p. 6 l. - L. 1 p. 1 p. 9 l PDF Author: Anonymous
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La Fuite en Egypte. Saint Joseph tenant dans ses bras l'enfant Jésus enveloppé dans un maillot rouge, le protége encore de son manteau; il précède la Vierge assise sur sa monture. La sainte famille qui vient de pénétrer dans l'intérieur d'une forêt, passe devant un petit temple dédié au soleil, et au même instant la statue de l'idole est renversée par le seul fait de la présence du jeune Sauveur. Un démon à figure hideuse, du haut d'un arbre où il s'est accroché, semble appeler des soldats à cheval qu'on aperçoit dans l'éloignement. Un groupe d'enfants morts placés sur le devant de la composition, en rappelant le sanglant édit d'Hérode, explique ingénieusement le motif du sujet. Cette scène a lieu pendant la nuit; elle n'est éclairée que par les reflets de l'auréole qui entoure la tête du fils de Dieu. L'habileté du peintre d'histoire se révèle dans cette petite composition qui ne sera déplacée dans aucun cabinet; elle porte le monogramme du maître et la date de 1608. C. H. 1 p. 2 p. 6 l. - L. 1 p

La Fuite en Egypte. Saint Joseph tenant dans ses bras l'enfant Jésus enveloppé dans un maillot rouge, le protége encore de son manteau; il précède la Vierge assise sur sa monture. La sainte famille qui vient de pénétrer dans l'intérieur d'une forêt, passe devant un petit temple dédié au soleil, et au même instant la statue de l'idole est renversée par le seul fait de la présence du jeune Sauveur. Un démon à figure hideuse, du haut d'un arbre où il s'est accroché, semble appeler des soldats à cheval qu'on aperçoit dans l'éloignement. Un groupe d'enfants morts placés sur le devant de la composition, en rappelant le sanglant édit d'Hérode, explique ingénieusement le motif du sujet. Cette scène a lieu pendant la nuit; elle n'est éclairée que par les reflets de l'auréole qui entoure la tête du fils de Dieu. L'habileté du peintre d'histoire se révèle dans cette petite composition qui ne sera déplacée dans aucun cabinet; elle porte le monogramme du maître et la date de 1608. C. H. 1 p. 2 p. 6 l. - L. 1 p PDF Author: Frans Francken
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La fuite en Égypte. La Vierge, tenant l'enfant Jésus endormi dans ses bras, est assise sur un âne que St. Joseph dirige par la bride au passage d'un gué, tout en adressant la parole à des bergers qui font paître leurs troupeaux aux environs de leurs cabanes. Des anges soutiennent une draperie au-dessus de Marie, pour la préserver, ainsi que son divin fils, de l'intempérie de l'air du soir. Sur le chemin oh vient de passer la sainte famille, on remarque les débris épars d'une statue renversée de son piédestal, épisode conforme à la tradition qui raconte qu'en Egypte toutes les statues des fausses divinités tombèrent à l'arrivée de l'Enfant-Dieu. A une imagination fertile, Sébastien Bourdon joignait une extrême facilité d'exécution; c'est là le secret du grand nombre de beaux tableaux qu'il a produits. Aucun sujet, d'ailleurs, n'était étranger à son pinceau: il abordait avec un égal bonheur l'histoire sacrée, la profane, le paysage, les scènes familières, et toujours un beau succès couronnait son talent. La Galerie Fesch possède de lui plusieurs tableaux fort remarquables : la sainte famille dont on vient de lire la description offre une composition très ingénieuse d'un style qui rappelle celui du Poussin. Dans la couleur, un effet agréable s'unit à une parfaite harmonie des tons, et le faire est d'une suavité qu'on ne se lasse pas d'admirer. T. H. 2 p. 10 p. - L. 4 p." p

La fuite en Égypte. La Vierge, tenant l'enfant Jésus endormi dans ses bras, est assise sur un âne que St. Joseph dirige par la bride au passage d'un gué, tout en adressant la parole à des bergers qui font paître leurs troupeaux aux environs de leurs cabanes. Des anges soutiennent une draperie au-dessus de Marie, pour la préserver, ainsi que son divin fils, de l'intempérie de l'air du soir. Sur le chemin oh vient de passer la sainte famille, on remarque les débris épars d'une statue renversée de son piédestal, épisode conforme à la tradition qui raconte qu'en Egypte toutes les statues des fausses divinités tombèrent à l'arrivée de l'Enfant-Dieu. A une imagination fertile, Sébastien Bourdon joignait une extrême facilité d'exécution; c'est là le secret du grand nombre de beaux tableaux qu'il a produits. Aucun sujet, d'ailleurs, n'était étranger à son pinceau: il abordait avec un égal bonheur l'histoire sacrée, la profane, le paysage, les scènes familières, et toujours un beau succès couronnait son talent. La Galerie Fesch possède de lui plusieurs tableaux fort remarquables : la sainte famille dont on vient de lire la description offre une composition très ingénieuse d'un style qui rappelle celui du Poussin. Dans la couleur, un effet agréable s'unit à une parfaite harmonie des tons, et le faire est d'une suavité qu'on ne se lasse pas d'admirer. T. H. 2 p. 10 p. - L. 4 p. Author: Sébastien Bourdon
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Jésus retrouvé dans le temple. Après trois jours d'inutiles recherches, Marie et Joseph viennent de rencontrer l'enfant-Dieu dans le temple, au milieu des docteurs. La Vierge adresse à son fils ce doux reproche: mon enfant, pourquoi avez-vous fait ainsi? Voici votre père et moi qui vous cherchions étant fort tristes. Jésus, debout devant elle, lève la main droite vers le ciel, et, montrant de la gauche le livre saint que tient un des docteurs, fait entendre sans doute ces paroles rapportées par L'Ecriture: ne savez-vous pas qu'il faut que je sois occupé de ce qui regarde mon père. Derrière eux, les docteurs, assis ou debout, compulsent les Ecritures. Marie, à demi-voilée, a un léger fichu sur le cou, et ses cheveux blonds relevés sont retenus par un ruban. Le Sauveur porte une robe rouge et un manteau bleu qui, passant sur le bras qu'il lève, se reploie ensuite autour de son corps; sa tête est ombragée par de longs cheveux châtains qui tombent en boucles-sur ses épaules. Son père adoptif, une main sur la poitrine, l'autre sur le bâton qui lui sert d'appui, se tient debout à côté de la Vierge, mais plus en avant de la composition. Deux anges planent dans le haut du temple dont l'architecture est de la plus grande magnificence. Ce tableau se trouvait autrefois au noviciat des Jésuites à Paris. T. H. 9 p. 5 p.-L. 6 p. 9 p

Jésus retrouvé dans le temple. Après trois jours d'inutiles recherches, Marie et Joseph viennent de rencontrer l'enfant-Dieu dans le temple, au milieu des docteurs. La Vierge adresse à son fils ce doux reproche: mon enfant, pourquoi avez-vous fait ainsi? Voici votre père et moi qui vous cherchions étant fort tristes. Jésus, debout devant elle, lève la main droite vers le ciel, et, montrant de la gauche le livre saint que tient un des docteurs, fait entendre sans doute ces paroles rapportées par L'Ecriture: ne savez-vous pas qu'il faut que je sois occupé de ce qui regarde mon père. Derrière eux, les docteurs, assis ou debout, compulsent les Ecritures. Marie, à demi-voilée, a un léger fichu sur le cou, et ses cheveux blonds relevés sont retenus par un ruban. Le Sauveur porte une robe rouge et un manteau bleu qui, passant sur le bras qu'il lève, se reploie ensuite autour de son corps; sa tête est ombragée par de longs cheveux châtains qui tombent en boucles-sur ses épaules. Son père adoptif, une main sur la poitrine, l'autre sur le bâton qui lui sert d'appui, se tient debout à côté de la Vierge, mais plus en avant de la composition. Deux anges planent dans le haut du temple dont l'architecture est de la plus grande magnificence. Ce tableau se trouvait autrefois au noviciat des Jésuites à Paris. T. H. 9 p. 5 p.-L. 6 p. 9 p PDF Author: Jacques Stella
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La Vierge et plusieurs saints adorant l'enfant Jésus. L'enfant Jésus, nu et couché à terre sur des langes, la tête soutenue par un coussin bleu, reçoit les adorations de sa sainte mère, de sainte Catherine et de saint Jean, agenouillés autour de lui. Aux pieds de son cher enfant et les mains croisées sur son sein, la Vierge Marie a les yeux fixés sur lui avec un inexprimable sentiment où se confondent l'amour et le respect; ses beaux cheveux blonds sont relevés et maintenus par un diadème. Les regards de Jésus sont tournés vers saint Jean qu'il désigne de la main gauche. Celui-ci, une longue croix entre les mains et vêtu d'une robe blanche bordée de poils et d'un manteau lilas qui, passant par dessus l'épaule gauche, laisse à nu la partie supérieure de son corps, répond à cette auguste prévenance en croisant ses bras sur sa poitrine, comme pour en faire exhaler l'amour et la reconnaissance. Sainte Catherine, le front ceint d'une couronne, a les regards abaissés vers le fils de Dieu; sa main gauche étendue, la palme de son martyre qu'elle tient dans sa droite, tout en elle atteste et son amour et son admiration. Derrière ceux-ci, se tiennent debout quatre autres personnages: saint Sébastien dont le corps, nu et percé de flèches, n'est que faiblement couvert par une ceinture rouge et une draperie de même couleur; saint Jacques-le-Majeur en costume de pèlerin, son chapeau avec sa besace sur le dos et son bourdon à la main; enfin, saint Joseph faisant signe à l'apôtre saint Mathias de s'approcher de celui qui est né pour le salut des hommes. Au-dessus de cette scène, riche par le nombre des figures, imposante par leurs attitudes, agréable par leurs expressions, apparaît Dieu le père sur des nuées que soutiennent une multitude d'anges: il semble lui-même se complaire dans l'amour qu'il porte à son fils. A gauche de la composition, deux grandes maisons et quelques ruines forment un agréable repoussoir aux parties éloignées

La Vierge et plusieurs saints adorant l'enfant Jésus. L'enfant Jésus, nu et couché à terre sur des langes, la tête soutenue par un coussin bleu, reçoit les adorations de sa sainte mère, de sainte Catherine et de saint Jean, agenouillés autour de lui. Aux pieds de son cher enfant et les mains croisées sur son sein, la Vierge Marie a les yeux fixés sur lui avec un inexprimable sentiment où se confondent l'amour et le respect; ses beaux cheveux blonds sont relevés et maintenus par un diadème. Les regards de Jésus sont tournés vers saint Jean qu'il désigne de la main gauche. Celui-ci, une longue croix entre les mains et vêtu d'une robe blanche bordée de poils et d'un manteau lilas qui, passant par dessus l'épaule gauche, laisse à nu la partie supérieure de son corps, répond à cette auguste prévenance en croisant ses bras sur sa poitrine, comme pour en faire exhaler l'amour et la reconnaissance. Sainte Catherine, le front ceint d'une couronne, a les regards abaissés vers le fils de Dieu; sa main gauche étendue, la palme de son martyre qu'elle tient dans sa droite, tout en elle atteste et son amour et son admiration. Derrière ceux-ci, se tiennent debout quatre autres personnages: saint Sébastien dont le corps, nu et percé de flèches, n'est que faiblement couvert par une ceinture rouge et une draperie de même couleur; saint Jacques-le-Majeur en costume de pèlerin, son chapeau avec sa besace sur le dos et son bourdon à la main; enfin, saint Joseph faisant signe à l'apôtre saint Mathias de s'approcher de celui qui est né pour le salut des hommes. Au-dessus de cette scène, riche par le nombre des figures, imposante par leurs attitudes, agréable par leurs expressions, apparaît Dieu le père sur des nuées que soutiennent une multitude d'anges: il semble lui-même se complaire dans l'amour qu'il porte à son fils. A gauche de la composition, deux grandes maisons et quelques ruines forment un agréable repoussoir aux parties éloignées PDF Author: Perino (del Vaga)
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La Vierge tient debout sur ses genoux l'enfant Jésus qui joue avec la main de saint Joseph. Figures de grandeur naturelle. attribué à Geminiani. T. H. 4 p. 1 p. - L. 3 p. 0 p

La Vierge tient debout sur ses genoux l'enfant Jésus qui joue avec la main de saint Joseph. Figures de grandeur naturelle. attribué à Geminiani. T. H. 4 p. 1 p. - L. 3 p. 0 p PDF Author: Italian school
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La Vierge et saint Joseph adorant l'enfant Jésus. En dehors d'une construction en briques qui marque l'entrée de l'étable, au fond de laquelle on aperçoit un boeuf, l'enfant Jésus est couché nu dans une corbeille pleine de paille, déposée à terre et recouverte d'un linge blanc. Saint Joseph et Marie se tiennent, tous deux, agenouillés et adorent en silence le fils de Dieu: le premier tient un bâton passé entre ses bras croisés sur la poitrine; la Vierge joint les mains, et ses regards, comme ceux de son époux, sont abaissés vers l'enfant. Cette simple et naïve composition tient de bien près aux ouvrages de Garofolo. B. H. 1 p. 10 p. - L. 1 p. 6 p

La Vierge et saint Joseph adorant l'enfant Jésus. En dehors d'une construction en briques qui marque l'entrée de l'étable, au fond de laquelle on aperçoit un boeuf, l'enfant Jésus est couché nu dans une corbeille pleine de paille, déposée à terre et recouverte d'un linge blanc. Saint Joseph et Marie se tiennent, tous deux, agenouillés et adorent en silence le fils de Dieu: le premier tient un bâton passé entre ses bras croisés sur la poitrine; la Vierge joint les mains, et ses regards, comme ceux de son époux, sont abaissés vers l'enfant. Cette simple et naïve composition tient de bien près aux ouvrages de Garofolo. B. H. 1 p. 10 p. - L. 1 p. 6 p PDF Author: Ortolano
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La Sainte famille. La Vierge assise sur les marches d'un Temple tient sur ses genoux l'Enfant Jésus. Au second plan, Saint Joseph appuyé à un pillier. Fond de paysage. Bois. Haut. 0.45, larg. 0.62

La Sainte famille. La Vierge assise sur les marches d'un Temple tient sur ses genoux l'Enfant Jésus. Au second plan, Saint Joseph appuyé à un pillier. Fond de paysage. Bois. Haut. 0.45, larg. 0.62 PDF Author: Bartolomeo Schedoni
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Sainte Famille. La Vierge Marie tient sur ses genoux l'Enfant Jésus attaché à son sein, et abaisse ses regards sur ce cher objet de sa tendresse. A sa droite saint Jean à genoux sur un coussin, les mains jointes, témoigne par sa douce expression du bonheur qu'il éprouve à contempler le Fils de Dieu. Saint Joseph à gauche, placé un peu en arrière de la Vierge, suit tous les mouvements du divin Enfant avec non moins de sollicitude. Ces belles figures de haut style se détachent sur un rideau vert qui laisse aussi apercevoir sur la droite du tableau quelque peu d'architecture et qui complète cette composition, dont le grand caractère justifie l'origine attribuée depuis longtemps à cette œuvre remarquable; attribution qu'appuient encore un beau faire, une touche large et énergique, enfin une couleur claire et brillante

Sainte Famille. La Vierge Marie tient sur ses genoux l'Enfant Jésus attaché à son sein, et abaisse ses regards sur ce cher objet de sa tendresse. A sa droite saint Jean à genoux sur un coussin, les mains jointes, témoigne par sa douce expression du bonheur qu'il éprouve à contempler le Fils de Dieu. Saint Joseph à gauche, placé un peu en arrière de la Vierge, suit tous les mouvements du divin Enfant avec non moins de sollicitude. Ces belles figures de haut style se détachent sur un rideau vert qui laisse aussi apercevoir sur la droite du tableau quelque peu d'architecture et qui complète cette composition, dont le grand caractère justifie l'origine attribuée depuis longtemps à cette œuvre remarquable; attribution qu'appuient encore un beau faire, une touche large et énergique, enfin une couleur claire et brillante PDF Author: Michelangelo Buonarroti
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LA MADONE ET L'ENFANT JÉSUS. La Vierge (demi corps) avec la tête légèrement inclinée et tournée vers la droite, couverte d'un manteau qui retombe de sa tête, tient de ses deux mains l'Enfant Jésus debout sur son genou gauche. Il est nu et lève la main droite en benissant. Haut-relief en marbre blanc. XVe siècle. Haut. 0.56 X 0.42

LA MADONE ET L'ENFANT JÉSUS. La Vierge (demi corps) avec la tête légèrement inclinée et tournée vers la droite, couverte d'un manteau qui retombe de sa tête, tient de ses deux mains l'Enfant Jésus debout sur son genou gauche. Il est nu et lève la main droite en benissant. Haut-relief en marbre blanc. XVe siècle. Haut. 0.56 X 0.42 PDF Author: Sienese school
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