Analgésie post opératoire après prothèse totale de hanche

Analgésie post opératoire après prothèse totale de hanche PDF Author: Lana Zoric
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Languages : fr
Pages : 106

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Introduction : L'arthroplastie de hanche est une procédure chirurgicale courante réalisée sur une population âgée porteuse de nombreuses co-morbidités.Actuellement, il n'existe aucune recommandation quant à la gestion de l'analgésie péri opératoire de ces patients.Objectif principal : Evaluer l'efficacité d'une infiltration péri articulaire d'anesthésiques locaux en injection unique sur la consommation de morphine à 24 heures.Matériel et méthodes : Etude prospective randomisée double aveugle controlée versus placébo sur soixante patients.Les prises en charge anesthésique (AG) et chirurgicale étaient standardisées.Quatre-vingt ml de ropivacaïne ou de sérum salé isotonique étaient infiltrés en fin de chirurgie.Nous avons recueilli les caractéristiques démographiques et per opératoires (consommation de sufentanil en per opératoire et de morphine en titration en SSPI), les EVA et les effets latéraux de la morphine à H2, H4, H8, H12, H24, J1, J2, J3, J4 et J5, la consommation de morphine à H24, le suivi du protocole de rééducation, l'évolution du taux d'hémoglobine, la taille des cicatrices et l'existence d'une zone d'hyperalgésie.Résultats : aucune différence statistiquement significative n'a été mise en évidence sur les caractéristiques pré et per opératoires.L'infiltration n'a pas permis une diminution de la consommation de morphine, ni des effets latéraux.Elle n'avait aucun effet sur le suivi du protocole de rééducation (levée, déambulation).Discussion : bien que notre population de patients inclus soit similaire à celle des études précédentes, y compris pour la consommation de morphine, nous n'avons pas observé de bénéfice à l'infiltration péri articulaire d'anesthésiques locaux seuls.Ceci peut s'expliquer par les plus faibles posologies utilisées ainsi que par l'absence d'anti inflammatoires dans l'infiltration contrairement aux études précédemment réalisées en orthopédie

Analgésie post opératoire après prothèse totale de hanche

Analgésie post opératoire après prothèse totale de hanche PDF Author: Lana Zoric
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Pages : 106

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Introduction : L'arthroplastie de hanche est une procédure chirurgicale courante réalisée sur une population âgée porteuse de nombreuses co-morbidités.Actuellement, il n'existe aucune recommandation quant à la gestion de l'analgésie péri opératoire de ces patients.Objectif principal : Evaluer l'efficacité d'une infiltration péri articulaire d'anesthésiques locaux en injection unique sur la consommation de morphine à 24 heures.Matériel et méthodes : Etude prospective randomisée double aveugle controlée versus placébo sur soixante patients.Les prises en charge anesthésique (AG) et chirurgicale étaient standardisées.Quatre-vingt ml de ropivacaïne ou de sérum salé isotonique étaient infiltrés en fin de chirurgie.Nous avons recueilli les caractéristiques démographiques et per opératoires (consommation de sufentanil en per opératoire et de morphine en titration en SSPI), les EVA et les effets latéraux de la morphine à H2, H4, H8, H12, H24, J1, J2, J3, J4 et J5, la consommation de morphine à H24, le suivi du protocole de rééducation, l'évolution du taux d'hémoglobine, la taille des cicatrices et l'existence d'une zone d'hyperalgésie.Résultats : aucune différence statistiquement significative n'a été mise en évidence sur les caractéristiques pré et per opératoires.L'infiltration n'a pas permis une diminution de la consommation de morphine, ni des effets latéraux.Elle n'avait aucun effet sur le suivi du protocole de rééducation (levée, déambulation).Discussion : bien que notre population de patients inclus soit similaire à celle des études précédentes, y compris pour la consommation de morphine, nous n'avons pas observé de bénéfice à l'infiltration péri articulaire d'anesthésiques locaux seuls.Ceci peut s'expliquer par les plus faibles posologies utilisées ainsi que par l'absence d'anti inflammatoires dans l'infiltration contrairement aux études précédemment réalisées en orthopédie

Intérêt de l'analgésie post-opératoire par bloc continu iliofascial après chirurgie pour reprise de prothèse totale de hanche

Intérêt de l'analgésie post-opératoire par bloc continu iliofascial après chirurgie pour reprise de prothèse totale de hanche PDF Author: Charles-Edward Béghin
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Pages : 150

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Introduction - Après chirurgie pour reprise de prothèse totale de hanche (rPTH), la place de l'analgésie postopératoire par cathéter iliofascial n'a pas été établie alors que cette technique est considérée comme optimale après PTH simple. L'objectif de cette étude prospective monocentrique randomisée, en double aveugle était d'évaluer l'intérêt du bloc continu iliofascial dans l'analgésie post-opératoire après rPTH. Matériel et méthodes - Après consentement éclairé, 26 patients consécutifs étaient inclus puis randomisés. Avant l'induction de l'anesthésie générale (AG), un cathéter iliofascial était posé et on injectait en dose de charge soit 30 ml de ropivacaïne 4,75 mg/ml (groupe R, n=13) soit 30 ml de sérum physiologique (groupe P, n=13). L'entretien postopératoire était assuré par 7 ml/h de ropivacaïne à la concentration de 2 mg/ml (groupe R) ou de sérum physiologique (groupe P) pendant 48 heures. L'ensemble des patients a bénéficié d'une technique d'AG standardisée ainsi que d'une analgésie postopératoire multimodale associant une PCA de morphine, du paracétamol et du néfopam les 48 premières heures. L'évaluation de la douleur par une échelle visuelle analogique au repos (EVAr) et au mouvement (EVAm), la consommation de morphine, les effets indésirables étaient recueillis durant les 48 premières heures. L'analyse statistique a été réalisée à l'aide d'un test non paramétrique de Kruskal et Wallis et de Mann et Whitney pour les variables quantitatives et par un test du chi 2 pour les variables qualitatives avec p

Étude rétrospective de l'impact du PENG bloc sur l'analgésie en post opératoire d'une chirurgie de prothèse totale de hanche réalisée sous rachianesthésie

Étude rétrospective de l'impact du PENG bloc sur l'analgésie en post opératoire d'une chirurgie de prothèse totale de hanche réalisée sous rachianesthésie PDF Author: Alexia Chaval
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Contexte : L'arthroplastie totale de la hanche (PTH) est une intervention chirurgicale fréquente qui vise à soulager la douleur et à améliorer la qualité de vie des patients. La prise en charge de la douleur péri opératoire de ces patients est un défi. Parmi les options disponibles, on retrouve la rachianesthésie (RA) associée aux opioïdes. Cependant, l'utilisation de morphine intrathécale dans le cadre de la RA peut être associée à des effets indésirables graves tels que la dépression respiratoire retardée. Les techniques novatrices d'anesthésie loco régionales pourraient constituer une alternative. Objectif : Évaluer l'antalgie après une chirurgie de prothèse de hanche avant et après une modification du protocole d'anesthésie. Méthode : Nous avons mené une étude rétrospective monocentrique comparant deux protocoles d'analgésie post-opératoire chez des patients opérés d'une PTH sous RA. Le groupe A recevait une dose intrathécale de morphine lors de la RA, suivie d'un bloc du groupe nerveux péri capsulaire (PENG) en salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI), tandis que le groupe B recevait une RA sans morphine intrathécale, suivie du PENG bloc en SSPI. Résultats : La consommation de morphine per os dans les 24 premières heures post-opératoires était significativement plus élevée dans le groupe B par rapport au groupe A (2,7 +/-5,4 mg vs 1mg +/-3,5mg, p=0,024). Il n'y avait pas de différence sur les effets indésirables imputables aux morphiniques hormis une augmentation des hypotensions artérielles dans le groupe B. Cependant, la durée de séjour hospitalier était significativement plus courte dans le groupe B. Conclusion : Retirer la morphine intrathécale lors de la PTH ne semble pas fournir un contrôle efficace de la douleur post-opératoire précoce. Cependant, cette modification de pratique a été associée à une réduction de la durée de séjour hospitalier sans effet indésirable majeur.

Analgésie postopératoire par infiltration locale peropératoire versus blocs fémoral et cutané latéral de la cuisse dans la chirurgie de prothèse totale de hanche

Analgésie postopératoire par infiltration locale peropératoire versus blocs fémoral et cutané latéral de la cuisse dans la chirurgie de prothèse totale de hanche PDF Author: Roxane Silve
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Pages : 124

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La reprise rapide de la déambulation après chirurgie de prothèse totale de hanche (PTH) nécessite une analgésie efficace dès la période postopératoire immédiate. Outre l'analgésie multimodale par voie systémique, l'anesthésiste utilise une anesthésie locorégionale (ALR) échoguidée postopératoire par blocs fémoral et cutané latéral de la cuisse. Plus récemment, la technique d'infiltration d'anesthésiques locaux (IAL)peropératoire s'est développée. L'objectif de notre étude était de montrer que l'analgésie postopératoire par IAL était supérieure à celle obtenue par ALR après la chirurgie de PTH, avec diminution de la consommation de morphine dans les 72 premières heures postopératoires. Tous les patients de plus de 18 ans opérés d'une première PTH réglée unilatérale ontété inclus dans notre étude prospective, comparative, contrôlée, interventionnelle, en simple aveugle et monocentrique. Arès randomisation, en plus de l'anesthésie générale ou rachidienne, chaque patient bénéficiait d'une technique analgésique : soit une IAL peropératoire par le chirurgien ( 150 mL de ropivacaine à 2 mg/ mL), soit une ALR échoguidée par blocs fémoral et cutané latéral de la cuisse (20 mL de ropivacaine à 7,5 mg/mL) par l'anesthésiste en salle de surveillance post-interventionnelle (SSPI). Le critère de jugement principal était l'analgésie postopératoire, grâce à la mesure de la consommation de morphine à différents temps: en SSPI, H4, H8, H12, H24, H48 et H72. Les critères de jugement secondaires étaient l'échelle visuelle analogique (EVA) au repos et à la mobilisation, le délai entre la fin d'intervention et le premier appui, le délai entre la fin d'intervention et la marche, la satisfaction des patients la durée d'hospitalisation et les éventuels effets secondaires. Le nombre de sujets nécessaires était 76 (38 dans chaque groupe) avec une durée d'inclusion de 18 mois. Lors de notre analyse intermédiaire, 43 patients ont été inclus, dont 38 analysables, randomisés en deux groupes comparables. Malgré une tendance à des scores de douleur moins élevés et à une certaine épargne morphinique, l 'IAL n'a pas en traîné de baisse significative de la consommation de morphine dans les 72 premières heures postopératoires. Par rapport à l'ALR. De plus, elle n'a pas permis de réduire de façon significative ni les délais de reprise de l'appui bipodal ou de la marche, ni la durée d'hospitalisation. La satisfaction des patients était identique dans les deux groupes. Aucun effet secondaire n'était retrouvé. En conclusion, l'intérêt de l 'IAL reste à définir par rapport à l'ALR par blocs fémoral et cutané latéral de la cuisse dans les chirurgies de PTH. Notre étude, une fois menée à son terme, participera à préciser la place de cette procédure dans la prise en charge analgésique postopératoire.

Évaluation en vie réelle de l'introduction du PENG bloc dans la stratégie analgésique après mise en place de la prothèse totale de hanche programmée

Évaluation en vie réelle de l'introduction du PENG bloc dans la stratégie analgésique après mise en place de la prothèse totale de hanche programmée PDF Author: Sacha Meimoun
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Pages : 104

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Le PENG bloc est une nouvelle technique d'analgésie loco-régionale décrite en 2018. Plusieurs études dans la littérature rapportent un bon contrôle de l'analgésie postopératoire avec cette technique dans la chirurgie de la hanche. Nous avons mené une étude rétrospective de type avant-après dans le service d'Anesthésie Réanimation de l'hôpital Saint Antoine, étudiant la nouvelle utilisation du PENG bloc dans la chirurgie prothétique de hanche programmée. Méthode : Il s'agit d'une analyse observationnelle rétrospective monocentrique des patients opérés d'une chirurgie prothétique de hanche entre janvier 2020 et mars 2021. Les patients ont soit bénéficié d'un PENG bloc (volume et dose d'anesthésique local à la discrétion de l'anesthésiste) en préopératoire, soit du protocole d'analgésie habituelle comprenant une infiltration périarticulaire d'anesthésique locaux par le chirurgien en fin d'intervention. Résultats : Au total, 43 patients ont été inclus dans l'étude, 23 patients ont bénéficié d'un PENG bloc et 20 patients d'une infiltration articulaire chirurgicale. Les scores médians de douleurs étaient plus faibles dans le groupe PENG bloc 12 heures après la chirurgie (2/10 [1 , vs 3/10 [2,3 p 0,034). Il n'existait aucune différence statistiquement significative concernant la consommation de morphine postopératoire, paramètres de mobilisation postopératoire ou durée de séjour hospitalier. Conclusion : Le PENG bloc paraît être une technique prometteuse pour le contrôle de la douleur postopératoire dans la prothèse totale de hanche programmée. Les volumes et dosages d'anesthésiques locaux optimaux restent à déterminer. De plus amples essais contrôlés randomisés sont nécessaires pour confirmer son intérêt en chirurgie prothétique de la hanche.

La kétamine dans l'analgésie multimodale

La kétamine dans l'analgésie multimodale PDF Author: Charlotte Le Tendre
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Languages : fr
Pages : 80

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Facteurs associés aux douleurs persistantes postopératoires après prothèse totale de hanche

Facteurs associés aux douleurs persistantes postopératoires après prothèse totale de hanche PDF Author: Valérie Lafon
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Pages : 72

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Après prothèse totale de hanche (PTH), des douleurs postopératoires persistent chez 27 à 28% des patients. Leur intensité est modérée à sévère chez 5 à 11% des patients. Leur survenue est associée à la présence de douleurs pré et postopératoires immédiates. Les autres facteurs associés à leur survenue sont mal identifiés, notamment ceux liés aux protocoles chirurgicaux et aux antalgiques utilisés en péri-opératoire. Objectif : Étudier les facteurs associés à la présence de douleurs postopératoires persistantes 6 mois après PTH, en particulier les facteurs chirurgicaux et les protocoles antalgiques. Matériel et méthodes : Une étude mono centrique prospective incluant les patients opérés pour une prothèse totale de hanche au CHU de Tours de janvier 2006 à janvier 2012 a été réalisée. Parmi les 851 patients pouvant être inclus, 718 patients (84%) ont répondu à un questionnaire téléphonique. Les 4 critères principaux étaient la présence de douleur au repos, à la marche, la présence de douleurs modérées à sévères au repos, à la marche. Leur association avec des données démographiques, les comorbidités, les données chirurgicales et les protocoles antalgiques ainsi que les douleurs pré et post-opératoires immédiates a été testée par une analyse univariée puis une régression logistique. Résultats : Après régression logistique, des douleurs préopératoires au repos ailleurs qu’à la hanche opérée, une fracture per ou postopératoire et l’absence d’administration périopératoire de kétamine étaient associés à 3 ou 4 des 4 critères principaux. L’utilisation chronique préopératoire d’anxiolytiques, des douleurs préopératoires anciennes (>2 ans), un jeune opérateur, la survenue postopératoire précoce de douleur modérée à sévère, une complication septique du site opératoire, étaient des facteurs associés à 1 ou 2 des 4 critères principaux. Aucun des facteurs chirurgicaux testés n’était associé indépendamment aux critères principaux. Conclusion : Ces facteurs devraient être pris en compte lors de l’information préopératoire des patients, ainsi que pour l’élaboration des protocoles chirurgicaux et surtout antalgiques péri-opératoires.

Analgésie après arthroplastie totale de hanche

Analgésie après arthroplastie totale de hanche PDF Author: Sébastien Rosier
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Languages : fr
Pages : 96

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Introduction : L'arthroplastie totale de hanche concerne des patients de plus en plus âgés et polymédiqués, avec de multiples co-morbidités. Trois techniques analgésiques différentes sont utilisées au CHU de Rennes après chirurgie d'arthroplastie de hanche : le bloc lombaire, le bloc fémoral, et l'analgésie multimodale intraveineuse. Ce travail a pour but de comparer l'efficacité de ces trois techniques analgésiques, en post-opératoire immédiat. Matériels et Méthodes : Nous avons colligé les caractéristiques démographiques, anesthésiques, et chirurgicales de 93 patients, bénéficiant d'une arthroplastie de hanche. Trois groupes de patients ont été individualisés, selon le type d'analgésie post-opératoire : «Bloc Fémoral», «Bloc Lombaire», «Absence de Bloc». Les résultats sont exprimés en moyenne ± écart-type. La comparaison des variables quantitatives utilise un test t de Student. La comparaison des variables qualitatives se fait grâce au test du x2. Résultats : L'EVA à l'extubation était significativement moins élevée dans le groupe bloc lombaire que dans le groupe bloc fémoral (p=0,013). Si les EVA à l'extubation étaient nettement plus faibles dans le groupe bloc lombaire que dans le groupe sans bloc, aucune différence significative n'a pu être mise en évidence (p=0,08). La différence entre le groupe bloc fémoral et le groupe sans bloc n'était pas significative (p=0,68). Concernant les EVA à la sortie de SSPI, aucune différence significative n'a été mise en évidence entre les trois groupes. 90% des patients avaient une EVA inférieure ou égale à 4, quelque soit l'analgésie utilisée. Une différence significative en terme de consommation de sufentanyl per-opératoire a été mise en évidence entre le groupe bloc lombaire et le groupe sans bloc (p=0,033). Aucune différence significative n'a été mise en évidence entre le groupe bloc fémoral et le groupe sans bloc. Les doses de morphine post-opératoire n'étaient pas différentes entre les trois groupes. Discussion : L'efficacité du bloc lombaire pour assurer l'analgésie après arthroplastie de hanche est clairement démontrée dans la littérature. Les résultats de cette étude vont dans le même sens. Néanmoins, ses effets indésirables et ses complications font actuellement diminuer son intérêt. Pour le bloc fémoral, la littérature est contradictoire. Avec nos habitudes de pratique anesthésique et avec les limites de l'échantillon étudié, nous n'avons pas mis en évidence d'intérêt à la réalisation d'un bloc fémoral pour cette chirurgie.

Prise en charge de la douleur post-opératoire après pose d'une prothèse de hanche

Prise en charge de la douleur post-opératoire après pose d'une prothèse de hanche PDF Author: Véronique Rouchouze
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Languages : fr
Pages : 24

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Analgésie régionale continue après prothèse totale de genou

Analgésie régionale continue après prothèse totale de genou PDF Author: Etienne Gautheron
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Languages : fr
Pages : 122

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Si le bloc fémoral continu a permis d'améliorer la gestion de la douleur postopératoire après prothèse totale de genou (PTG), le bénéfice de l'association de cette technique à un bloc sciatique reste encore controversé. Le but de cette étude était de démontrer l'intérêt de réaliser un bibloc fémoro- sciatique continu pour l'analgésie après PTG. Dix huit patients ont été inclus dans cette étude prospective, randomisée, comparant un groupe bénéficiant d'un bloc fémoral continu (BF) et un groupe bénéficiant d'un bibloc fémoro- sciatique continu (BFS) après chirurgie pour prothèse totale de genou. Les patients du groupe BFS présentaient des scores de douleur plus faibles en salle de surveillance post-interventionelle (p=0,0001) et en hospitalisation durant les 48H postopératoires (p=0,036). On observait une réduction de la consommation de morphine de 74% dans ce même groupe (p=0,021). Ces résultats suggèrent qu'un bloc combiné du nerf sciatique et du nerf fémoral offre une meilleur analgésie et un plus grand confort aux patients dans la période postopératoire après prothèse totale de genou.